Portrait d’entreprise – Mécanique SL Plus

Sébastien Bernard et Louis Parent ont acquis le Garage Point S, à Nouvelle, en février 2022. Déjà copropriétaires de Transport Philippe Day, une entreprise voisine, ils y voyaient une belle occasion de complémentarité. Rencontre avec les deux associés au sujet du garage, renommé Mécanique SL, qui a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.


L’entreprise, en bref

Mécanique SL propose des services de mécanique automobile, de vente et d’installation de pneus, de réparation de remorques, d’esthétique automobile, ainsi que de réparation d’air conditionné. L’entreprise fait aussi la vente de pièces de camions lourds, un département qui prendra sous peu de l’expansion.

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?

Mécanique SL se distingue par la qualité et l’efficacité de son service, de même que la courtoisie de son personnel, un commentaire qui revient souvent. La clientèle s’y sent en confiance. « Ça arrive fréquemment que je donne des conseils ou explications aux gens qui viennent me voir, ou même par téléphone! », mentionne Louis, qui possède 13 ans d’expérience comme mécanicien de véhicules lourds. Enfin, la clientèle apprécie également les différents moyens mis à sa disposition pour communiquer avec le personnel du garage, incluant les messages textes.

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?

Lors de la mise en vente de Transport Philippe Day, Sébastien et Louis, qui y travaillaient, ont saisi l’opportunité d’en faire l’achat. Les deux associés souhaitaient que les intérêts de l’entreprise demeurent dans la région. « On a ça à cœur, dit Sébastien. Ça va faire 30 ans que je suis là, je voulais que ça continue! » Lorsqu’ils ont entendu que le Garage Point S allait fermer, ils ont aussi voulu l’acquérir. « De fil en aiguille, on a remarqué [une hausse de] l’achalandage pour la vente de pièces chez Philippe Day. On avait le projet d’agrandir », mentionne Louis. Les associés ont finalement opté pour acheter le garage Point S. « Ça restait dans la place et ça nous ouvrait d’autres portes », précise Sébastien. C’était « une belle opportunité pour garder le service mécanique et la vente de pièces », ajoute Louis.

Qu’est-ce que la SADC vous a apporté?

« Un soutien financier très précieux. On a eu un bon coup de pouce et de l’accompagnement », affirme Sébastien. « On peut les appeler quand on veut s’il y a une problématique. Peu importe le problème, on se parle une fois de temps en temps et ils nous rappellent leurs services. Ils peuvent contribuer à faire grandir l’entreprise. »


Parlez-nous d’un « bon coup » dont vous êtes particulièrement fier comme entrepreneur en matière de développement durable?

Pour le moment, c’est surtout en privilégiant les achats dans les entreprises locales que Mécanique SL fait sa part. « On encourage vraiment beaucoup les entreprises d’ici », précise Sébastien. Et c’est une roue qui tourne : « en donnant au local, le local vient à notre garage », ajoute-t-il. L’entreprise s’assure également de disposer des matières résiduelles selon les normes en vigueur. De plus, elle se prépare en vue de faire former ses mécaniciens pour les véhicules électriques.

Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

« S’entourer des bonnes personnes, comme la SADC », mentionne Sébastien. « Des fois, le monde a peur de se servir des organismes qu’on a par ici. Il y a beaucoup de choses que le monde sait pas à propos des services qu’ils peuvent offrir! » Il faut aussi, selon lui, être en mesure d’avoir une grande implication dans l’entreprise pour assurer sa réussite. « Il faut avoir un bon état d’esprit, essayer de comprendre les gens, être à l’écoute. »

À propos des copropriétaires

Sébastien Bernard a commencé à travailler chez Transport Philippe Day comme camionneur pour ensuite devenir répartiteur, puis directeur général. Louis Parent compte quant à lui 13 ans d’expérience comme mécanicien poids lourd, dont 10 chez Transport Philippe Day.

Portrait d’entreprise – Gasse Électrique inc.

Antoni Gasse a fondé Gasse Électrique inc. en 2018, à Nouvelle. Justin Simoneau, qui a joint l’équipe en 2020, a rapidement fait ses preuves et est devenu copropriétaire au début 2023. Rencontre avec Antoni et Justin au sujet de l’entreprise, qui a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.

 

L’entreprise, en bref

Gasse Électrique inc. offre une grande variété de services en électricité, que ce soit pour des projets de construction ou de rénovation résidentielle, commerciale ou industrielle. Employant neuf personnes, l’entreprise compte des électriciens à Bonaventure, Maria, Carleton-sur-Mer et Nouvelle. Elle peut ainsi répondre rapidement aux besoins de la clientèle sur le territoire qu’elle dessert, allant de Matapédia à Paspébiac.

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?

« Au niveau de l’efficacité, affirme Justin. On a une bonne structure en place, qui nous permet de bien desservir la clientèle. On répond aux besoins rapidement. » Selon Antoni, Gasse Électrique inc. se distingue aussi par son équipe jeune et dynamique, et un autre atout de taille : « On n’a pas de manque de main-d’œuvre. Les employés viennent à nous et ne voient pas l’intérêt de partir. On met de l’avant la qualité de vie au niveau de l’employé, on est très accommodants. Et on a la vision de s’entourer des bonnes personnes. »

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?

Antoni a travaillé comme électricien à l’extérieur du Québec, où il a géré de gros chantiers et des équipes, une expérience qui lui a beaucoup plu. Il est ensuite revenu. « Je suis un Gaspésien pur laine et mon but, c’était d’être dans la région. » Il souhaitait aussi rester auprès de sa famille. « Après un certain temps à l’emploi d’une entreprise ici, j’ai décidé de faire le saut moi-même. Je voyais ça comme un défi. » Justin est quant à lui embauché en 2020 comme électricien chez Gasse Électrique inc. Après un certain temps, il veut s’investir davantage dans l’entreprise. « J’ai un côté gestion. J’aime trouver des opportunités, voir comment être plus efficace, proactif. J’ai mentionné à Antoni que je pouvais apporter ce côté-là. » C’est de cette façon qu’ils sont devenus associés. « Antoni, c’est un gars de Nouvelle qui connaît tout le monde. Moi, je suis un externe, objectif. C’est ce “merging”-là qui fait que ça fitte! »

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

Antoni a bénéficié d’un prêt du programme Stratégie jeunesse de la SADC pour l’acquisition d’un bâtiment avec espace à bureaux et garage pour l’entreposage des équipements. « La bâtisse est un gros plus, souligne Justin. On est capables d’avoir un inventaire. Ça nous rend beaucoup plus efficaces. » L’entreprise a aussi obtenu du financement de la SADC pour l’accompagnement d’une comptable en vue d’optimiser son mode de gestion. Ce soutien a permis à Gasse Électrique inc. de se doter d’un tableau de bord et de se réorganiser au point de vue de l’administration.

Parlez-nous d’un « bon coup » dont vous êtes particulièrement fiers comme entrepreneurs.

« Avoir passé à travers la pandémie, c’est une victoire en soi! », mentionne Antoni. « On n’avait pas les reins aussi solides que maintenant. » Antoni et Justin se disent très fiers de la croissance de l’entreprise par la suite. « Depuis environ deux ans, on est allés chercher des bons employés, on a fait notre association, précise Justin. On est allés chercher deux véhicules supplémentaires de services, et une adjointe formidable. On a trouvé des partenariats d’affaires structurants. La compagnie, qui a grossi, nous a permis d’aller chercher des contrats intéressants, stimulants. »

Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

« S’associer avec quelqu’un qui vient d’ici! », lance Justin en riant. Originaire de Québec, il apprécie être en affaires avec quelqu’un de la place qui connaît tout le monde. Il apporte, de son côté, une vision extérieure complémentaire. Mais plus sérieusement, selon lui, pour se lancer dans l’entrepreneuriat, il faut savoir foncer, avoir « une bonne tête, prendre les bons conseils ». Il ajoute que la qualité et le souci du détail sont d’autant plus importants dans un petit milieu. « Il y a une pression supplémentaire par rapport à ça. » Il recommande aussi de « focusser sur les gens satisfaits. C’est eux qui vont rappeler! »

 


À propos d’Antoni Gasse et Justin Simoneau

Maître électricien, Antoni Gasse a fondé Gasse Électrique inc., à Nouvelle, en 2018. Embauché au sein de l’entreprise comme électricien au début 2020, Justin Simoneau est officiellement devenu associé en février 2023.

Portrait d’entreprise – Ford et Subaru New Richmond

Copropriétaire de Subaru New Richmond depuis 2010, René Leblanc a aussi acquis Ford New Richmond avec Adam et André Leblanc (ses frères) et Matthew O’Reilly en 2018. Ensemble, ils ont entrepris d’importants travaux d’agrandissement pour Subaru et la construction d’un nouveau bâtiment pour Ford. Rencontre avec René au sujet de ces entreprises, qui ont récemment obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.

 

Les entreprises, en bref

Ford et Subaru New Richmond proposent une vaste gamme de véhicules neufs et d’occasion. Que ce soit au département des ventes, du service après-vente ou de l’entretien, leurs équipes offrent un accueil chaleureux et un service personnalisé. Les deux entreprises s’assurent de répondre aux besoins des acheteurs et propriétaires de véhicules Ford et Subaru de la Gaspésie, tout en adoptant une approche jeune et dynamique en matière d’expérience client. Leurs équipes combinées comptent 27 personnes.

En quoi vos entreprises se démarquent-elles?

« Là où on essaie d’être différents, c’est dans l’approche familiale qu’on peut avoir comme propriétaires occupants », affirme René. Ses associés et lui s’efforcent d’insuffler un côté humain et personnalisé à leurs entreprises, et ils ont à cœur leur pérennité. « On est des gens de la place et on n’a pas peur de s’ancrer ici. On s’implique dans toutes sortes de causes. On est une entreprise locale qui participe au développement. »

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?

« Je suis tombé là-dedans quand j’avais 21 ans, raconte René. (…) Je faisais un bac en kinésiologie. Mon frère Adam était mécanicien à Québec. » Ce dernier lui a proposé d’acquérir un « garage » avec lui. Après réflexion, René, adepte de voitures, embarque dans le projet. « Si on est là aujourd’hui, c’est parce que Peter [Cyr, propriétaire de Subaru, à l’époque] a pris la décision de vendre à deux jeunes. Il nous a visualisés comme étant sa succession et nous a montré les rouages. »

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

« À chaque projet, la SADC était là! » affirme René, qui précise que lui et ses associés ont obtenu à quelques reprises du financement grâce au Fonds d’investissement et au programme Stratégie jeunesse pour leurs deux entreprises. « Mais le plus gros soutien de la SADC, il n’est pas monétaire, c’est le fait de donner de la confiance au dossier. » René souligne qu’une fois l’appui de la SADC obtenu, « les autres partenaires embarquent » plus facilement.

Parlez-nous d’un « bon coup » dont vous êtes particulièrement fier comme entrepreneur.

« Notre plan du Ford », mentionne René, en référence au bâtiment construit en 2021. Selon lui, tout a été pensé par les quatre associés : l’emplacement, la luminosité, le nombre de pas à faire dans le bâtiment, etc. « On en a visité plusieurs et on s’est assis à la table à dessin. Le plan, on l’a tellement travaillé, réfléchi et bien pensé que Ford nous l’a acheté et c’est rendu le prototype pour une concession de type D. » Ainsi, selon René, pour les concessions ayant un volume de ventes annuel similaire à celui de Ford New Richmond, « c’est ce frame-là qui va être utilisé partout dans le monde! »

Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

« Pose-toi la question si c’est vraiment ce que tu veux faire, et si oui, fais-le! », affirme René. « J’ai toujours trouvé que la place la plus cool pour se lancer en affaires, c’est en Gaspésie. Il y a tellement de choses à faire! Et pas besoin de réinventer la roue. » Il précise toutefois que l’entrepreneuriat n’est pas fait pour tout le monde. C’est exigeant et on doit beaucoup s’investir. Il faut, selon lui, « un amour inconditionnel de ce que tu fais. »

 


 

À propos des propriétaires

René Leblanc, Adam Leblanc et Matthew O’Reilly sont copropriétaires de Ford New Richmond depuis 2010. En 2016, André Leblanc se joint à l’équipe. Il bonifie le volet véhicules d’occasion, puis devient actionnaire. Les quatre associés acquièrent ensuite Ford New Richmond en 2018.

Portrait d’entreprise – Microbrasserie La belle aventure

En lançant La belle aventure, en août 2022, trois jeunes gaspésiens souhaitaient doter Bonaventure d’un lieu festif et rassembleur jumelant les volets bistro-bar, restauration et événementiel. Rencontre avec Sébastien Cayouette, copropriétaire, au sujet de cette microbrasserie qui a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.

 

L’entreprise, en bref

Mise sur pied par trois jeunes Gaspésiens, Marc-Olivier Forest-Poirier, Sébastien Cayouette et Marie-Pier Dion, la Microbrasserie La belle aventure est un lieu festif et rassembleur. Elle propose cinq bières classiques – blonde, rousse, blanche, IPA et stout –, auxquelles s’ajoutent ponctuellement des bières de saison aux saveurs locales. Son bistro-bar met en valeur des produits régionaux (saumon fumé, salsa, charcuteries…), des spiritueux gaspésiens et les vins de fraises et de rhubarbe de la Ferme Bourdages Tradition.

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?

D’après Sébastien, la Microbrasserie se distingue d’abord par les différents volets qu’elle propose, en combinant production et commercialisation de ses bières, événementiel et bistro-bar. « Au bistro, il y a une ambiance différente, qu’il n’y avait pas à Bonaventure et dans les environs. C’est un lieu de rassemblement festif! » Selon lui, les bières de La belle aventure se distinguent par leur qualité, les ingrédients locaux qui y sont mis en valeur et leur accessibilité. La blonde et la blanche, notamment, « rejoignent monsieur et madame tout le monde qui veut s’initier aux bières de microbrasserie. »

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?

« J’ai toujours su que je serais entrepreneur, confie Sébastien, qui a étudié en administration. Je ne savais pas en quoi, mais j’avais toujours ce projet en tête. » Adeptes de bière, lui et ses associés ont eu envie d’un projet autour de cette passion commune. « Au fil de nos voyages, on visitait toujours des microbrasseries. On aimait l’ambiance que ça apportait dans un village. Alors on s’est dit : pourquoi ne pas amener ça chez nous, à Bonaventure? On avait le désir de créer par nous-mêmes, de A à Z, quelque chose qui nous ressemblait et qui mettrait de la vie à Bonaventure. »

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

La belle aventure a obtenu un prêt dans le cadre du fonds d’investissement de la SADC. Sébastien souligne aussi avoir bénéficié de prêts avantageux dans le cadre de son programme Stratégie jeunesse. « Ils ont embarqué dans le projet dès le départ! Ils ont été dans les premiers à l’accepter, et ont toujours été très flexibles dans leur prêt et leurs conditions. Ils sont très proactifs. C’est facile de travailler avec eux. »

Parlez-nous de « bons coups » dont vous êtes particulièrement fier comme entrepreneur (ex. : en matière de développement durable).

Cet hiver, La belle aventure commercialisera ses bières en cannettes. Elles seront vendues sur place au bistro, ainsi que dans des épiceries, dépanneurs et commerces spécialisés de la Baie-des-Chaleurs. « Dans un an, on vise la Gaspésie », mentionne fièrement Sébastien. Par ailleurs, afin de valoriser de ses matières résiduelles, la Microbrasserie remet la drêche (résidu) de sa production de bière à la Ferme Le Caprivore, qui l’utilise pour nourrir ses animaux. La belle aventure fait aussi plusieurs expérimentations avec des produits locaux. « C’est important pour nous de valoriser le terroir », précise Sébastien. L’été dernier, la bière de saison de la microbrasserie était élaborée avec des camerises du Verger Cambrook de Bonaventure. Des tests seront aussi faits prochainement avec du café torréfié en Gaspésie.

Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

« Avoir de la persévérance, affirme Sébastien. Ne pas écouter les gens qui essaient de nous décourager. Si tu crois en ton idée, il faut la faire! » Il précise que ses associés et lui ont fait face à différentes embûches au cours du développement de leur projet, de 2019 à 2022, en pleine pandémie. « En trois ans, il y a un tas de fois qu’on s’est dit que le projet ne se réaliserait pas. » Selon lui, lorsque des défis se présentent, il ne faut pas s’arrêter, mais plutôt « trouver des façons innovantes d’y faire face. »

 


À propos du lieu

Marc-Olivier Forest-Poirier, Sébastien Cayouette et Marie-Pier Dion ont acquis l’ancien restaurant Rendez-vous, au cœur de Bonaventure, en 2020, pour y aménager leur bistro-bar. Un tout nouveau bâtiment érigé derrière accueille leur production de bière.

Portrait d’entreprise – Caprices de cuisine

Mélissa Vaillancourt a pris les rênes de Caprices de cuisine en juillet 2021. Depuis, elle s’affaire à diversifier l’offre, de la conception à la table, en misant sur le service à la clientèle. Rencontre avec Mélissa au sujet de son entreprise, qui a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.

 

L’entreprise, en bref

Caprices de cuisine est une entreprise familiale qui propose une grande variété d’articles de table (vaisselle, verrerie, coutellerie, linge de table…), d’accessoires de bar et de cocktails, d’articles et d’appareils de préparation et de cuisson, de produits alimentaires, et plus encore. Dans sa volonté d’élargir son offre, elle compte même, dans ses locaux, un point de service d’Armoires Distinction. Caprices de cuisine attire de la clientèle de toute la Gaspésie, de Rimouski et du Nouveau-Brunswick.

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?

« On touche seulement la cuisine et on a plusieurs gammes de prix, pour avoir autant du haut de gamme que pouvoir répondre aux gens qui ont un plus petit budget, précise Mélissa. On a aussi réussi à aller chercher des artisans locaux qui fabriquent des accessoires spécifiques pour la cuisine. » L’entreprise propose, entre autres, des tabliers de FishNship – Les ateliers de Catherine Côte et de Lise Hudon, des couvercles en tissu pour les bols, sacs à lunch et napperons de La Découpe, et des produits du bois (cuillères, couteaux à pain) d’artisans de la région. Elle compte aussi des produits alimentaires locaux comme du chocolat à pâtisserie de Chaleur B Chocolat et des friandises de Chocolaterie & Confiserie Linda.

Pourquoi avoir choisi la voie de l’entrepreneuriat?

« Depuis que je suis jeune, je suis là-dedans, ayant été copropriétaire de plusieurs restaurants, explique Mélissa. Là, j’avais envie d’avoir un défi seule, de bâtir quelque chose de différent de la restauration, et on m’a offert cette opportunité. » Pour elle, la vente au détail constituait un beau défi à relever.

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

Pour l’achat de son entreprise, Mélissa a bénéficié du programme Stratégie jeunesse de la SADC, grâce auquel elle a obtenu un prêt à un taux d’intérêt concurrentiel. Elle a également reçu une subvention et un prêt de la MRC Avignon. Ces aides financières combinées lui ont donné un grand avantage : « je n’ai pas eu à faire d’emprunt personnel ». Et elle ajoute : « j’ai aussi pu avoir un soutien de salaire pendant la première année [grâce au programme Soutien au travail autonome, offert par la MRC et Emploi-Québec]. »

Parlez-nous d’un « bon coup » dont vous êtes fière comme entrepreneure.

« Depuis deux semaines, on a une boutique en ligne accessible, mentionne fièrement Mélissa. C’est moi et mon bras droit, Steven Couture [son fils aîné], qui l’avons mise en place. On y travaille encore. Il y a 400 produits à ce jour. » L’entrepreneure se dit également très fière de l’implication de ses trois enfants dans la boutique et du travail accompli en service à la clientèle avec la firme gaspésienne Audace.

Quel conseil donneriez-vous à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

« Foncer! », dit Mélissa sans hésitation. « On est souvent arrêtés. Les gens nous conseillent d’aller doucement, de laisser les choses venir par elles-mêmes, mais il faut foncer! La détermination change tout dans ce qu’on est en train de bâtir. Il faut croire en soi, ne pas s’en faire avec ce que les gens disent. La confiance, c’est le meilleur outil. »

 


 

À propos de Mélissa Vaillancourt

Ayant travaillé une vingtaine d’années dans des postes de direction pour la bannière Subway, Mélissa s’occupait de la mise en place opérationnelle de chaque restaurant et de la gestion des ressources humaines. Depuis juillet 2021, elle relève avec brio le défi d’exploiter un commerce de détail : Caprices de cuisine.

 

Portrait d’entreprise – ÈST éco-cabines

ÈST éco-cabines ouvrait ses portes en juillet 2021, à Miguasha, pour proposer une toute nouvelle expérience de glamping dans la région. Six mois plus tard, une station thermale s’ajoutait à son offre. Rencontre avec Louise Landry, copropriétaire, au sujet de cette entreprise qui a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.

 

L’entreprise, en bref

Fondée par Louise Landry et Maxime Leclerc, ÈST éco-cabines est une entreprise de glamping. Ses six cabines [thuya] sont érigées dans une forêt dense et mature de cèdres, alors que ses deux cabines [Ublo] sont perchées sur une falaise avec vue sur la baie des Chaleurs. Elle compte aussi une station thermale accessible avec ou sans hébergement, offrant sauna sec, hammam, deux cuves (froide et chaude) et deux zones de détente (extérieure et intérieure). Enfin, son bâtiment central propose un accueil libre-service et trois grandes salles de bain privées avec grandes douches et planchers chauffants.

En quoi votre entreprise se démarque?

« Par la proximité avec la nature, tout en profitant d’un confort exemplaire », mentionne Louise. Le glamping en cabines est aussi distinctif en soi. « C’est une nouvelle offre qui ne se retrouve pas ailleurs dans la région. » L’établissement a aussi voulu offrir un accueil libre-service, sans compromis sur le service à la clientèle. « Tout est pensé pour que le client soit autonome sur le site et qu’il ne dépende pas d’une réception ». Par exemple, l’entreprise lui envoie le numéro de cabine et le code d’accès par texto, et met à sa disposition une machine distributrice de bois. « C’est plus fluide comme expérience. »

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?

« Elle est venue vers moi et je l’ai saisie! », affirme Louise. Détentrice d’une maîtrise en sociologie, elle était récemment devenue consultante en optimisation des processus. « C’est là que j’ai commencé à apprivoiser ce qui touche à gérer une corporation. » Maxime, copropriétaire de GROOM, une entreprise de produits de soins pour homme, travaillait aussi comme sonorisateur. En août 2020, alors que le couple est en vacances dans la région, il visite un terrain à vendre à Miguasha. « C’est une opportunité qui s’est offerte à nous. Ce n’était pas du tout planifié. On a eu un gros coup de cœur! » Allumé à l’idée d’exploiter le potentiel du lieu avec du glamping, le couple présente son plan d’affaires à des bailleurs de fonds quatre mois plus tard, puis le concrétise à l’été 2021.

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

« On a eu un soutien financier avec le fonds Stratégie jeunesse et un prêt régulier », mentionne Louise. « C’était un projet de 1,5 M$. Ça nous prenait des liquidités pour démarrer. » Elle souligne également l’appui d’une conseillère aux entreprises de la SADC, Vanessa Ratté. « On a eu beaucoup de conseils, de discussions avec elle pour vérifier les faiblesses dans le plan d’affaires. Elle nous a vraiment accompagnés dans le démarrage. »

Parlez-nous d’un « bon coup » dont vous êtes particulièrement fière comme entrepreneure.

Louise mentionne le volet écoresponsable de l’entreprise. « Quand on a fait construire les éco-cabines, c’était clair, pour nous, qu’on coupait le moins d’arbres possible dans notre cédrière. On a sélectionné chaque arbre. C’est un choix écologique qu’on a fait. » Également, le site ne compte pas de fausse sceptique. « On a installé des toilettes au compost avec zéro odeur, branchées à l’électricité. » Enfin, le bois, un matériau durable, a été privilégié dans la construction des unités.

Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

« Fais-le aie confiance en toi! », s’exclame Louise. Selon elle, la région a un grand potentiel entrepreneurial qui demeure inexploité. « Le monde est à faire, il y a de l’espace pour ça. » Elle rappelle à ceux et celles qui ont peur de foncer qu’ils ne sont pas seuls. « On a eu plein de partenaires qui sont venus nous appuyer, comme la SADC, la MRC Avignon, Investissement Québec et Développement économique Canada. Il y a plein de ressources. Tu te lances moins dans le vide quand des partenaires sont là pour t’appuyer et t’aider. »

 


 

À propos de Maxime Leclerc et Louise Landry

Natifs respectivement de Sainte-Foy et de Carleton-sur-Mer, Maxime Leclerc et Louise Landry ont troqué la vie montréalaise pour fonder ÈST éco-cabines. Maxime y travaille comme directeur des opérations, alors que Louise en est la directrice, administration et finances. Ils sont aussi les heureux parents d’un petit Gaspésien né en 2021.

Portrait d’entreprise – M.J. Brière

Le garage M.J. Brière, à Caplan, inaugurait son tout nouveau bâtiment en juin dernier. À la suite de la concrétisation de ce grand projet, Alexandre Bujold, conseiller aux ventes et future relève de l’entreprise, se concentre à présent sur le processus de transfert aux côtés de sa mère, Manon Brière. Rencontre avec Alexandre au sujet de l’entreprise, qui a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.

 

L’entreprise, en bref

M.J. Brière inc. offre une vaste gamme de produits Kubota, neufs ou usagés. En plus de faire la vente de nombreux équipements (tracteurs, tondeuses, véhicules utilitaires, excavatrices, chargeurs et machinerie agricole), de trousses d’entretien, de pièces et d’accessoires, l’entreprise propose des services d’entretien et de réparation pour les produits Kubota.

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?

« Le service à la clientèle et le service après-vente, répond d’emblée Alexandre. On est une entreprise familiale, en action depuis près de 50 ans! » Le personnel de M.J. Brière prend le temps d’aider la clientèle à choisir le bon équipement, puis de la conseiller pour les problématiques vécues, au jour le jour. « Il n’y a pas de vente sous pression. On accueille le client comme un membre de la famille. En Gaspésie, on fait l’épicerie avec la clientèle; il y a un respect mutuel [qui s’installe]. »

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?

Fils de gens d’affaires, Alexandre souhaitait être entrepreneur pour la liberté que cela procure. « Plus jeune, j’ai toujours travaillé pour ma famille. » À 18 ans, il a tenu à avoir d’autres expériences de travail hors de la région. « Je voulais voir ce qu’il y avait ailleurs, ce que le monde avait à m’offrir, explique-t-il. J’en faisais toujours un peu plus que ce que le patron demandait. J’avais ça à cœur. C’était dans mon ADN, c’est comme ça que j’ai grandi. » En 2013, il a fait le choix de revenir en Gaspésie. « Je savais que c’était là que j’allais faire ma vie. » Également, pour lui, continuer de travailler avec le public allait de soi. « J’adore! J’aime les défis que ça implique. »

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

« Du support, de A à Z! De l’aide, une oreille et des conseils », mentionne Alexandre, en référence au projet de nouveau bâtiment inauguré en juin 2022. « Quand on a fait des recherches pour faire la construction, des portes se fermaient partout [en raison de la pandémie]. » Il souligne que la SADC a aidé M.J. Brière au point de vue du plan d’affaires et du financement, notamment en lui conseillant à quelles portes aller frapper. « Faire notre nouveau branding nous a aussi beaucoup aidés. »

Parlez-nous d’un récent « bon coup » de l’entreprise dont vous êtes particulièrement fier.

Le nouveau bâtiment est bien entendu un bon coup majeur des derniers mois. Avec sa construction, M.J. Brière a voulu en profiter pour insuffler un vent de renouveau dans d’autres sphères de l’entreprise. « Il y a un nouveau site Web, de nouveaux systèmes pour les appels, indique Alexandre. On a remanié le système hiérarchique du garage de A à Z! » La disposition des locaux a aussi été repensée. « En entrant dans le garage, il y a un ordre plus fluide même pour le service. »

Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

« Prendre soin de ses clients », affirme Alexandre. Il souligne qu’on doit en tout temps garder en tête la proximité avec la clientèle dans les petits milieux. « En Gaspésie, un client satisfait va le dire à cinq personnes, mais un client insatisfait va le dire à tout le village! » Selon lui, il faut toujours demeurer à l’écoute des clients. « C’est eux qui amènent l’eau au moulin. Des fois, ça peut aller à l’encontre de tes idées, mais tu peux aller chercher la petite chose qui fait que ton commerce va mieux se porter. »

 


 

À propos d’Alexandre Bujold

Travaillant au sein de l’entreprise familiale M.J. Brière depuis 2013, Alexandre Bujold amorce actuellement un processus de transfert pour en assurer la relève. Fondée par son grand-père, Magella Brière, en 1974, elle est actuellement détenue par sa mère, Manon Brière.

Portrait d’entreprise – Distillerie des Marigots

Joseph St-Denis Boulanger et sa conjointe, Laurie-Anne Cloutier, ont mis sur pied la Distillerie des Marigots à Caplan en 2019. Depuis sa sortie à la fin 2020, leur gin Récif a reçu d’impressionnants honneurs à l’international. Rencontre avec Joseph au sujet de l’entrepreneuriat et de la Distillerie, qui a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs. 

 

L’entreprise, en bref 

La Distillerie des Marigots propose des spiritueux qui se distinguent par leur aspect raffiné et la richesse de leurs saveurs, typiques du terroir gaspésien. À son produit phare, le gin Récif, s’ajoutent des petits lots expérimentaux comme les gins de la Série exploratoire. 

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle? 

« On se distingue en mettant de l’avant les saveurs de la Gaspésie, sans compromis, affirme Joseph. La richesse des arômes est très importante. La qualité des ingrédients, des équipements. Il n’y a pas de compromis au niveau de la qualité. » La Distillerie offre aussi des exclusivités aux visiteurs, comme certains produits vendus sur place uniquement. Le public peut aussi être témoin des activités. « Il y a une proximité avec la réalité de la distillation. » 

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat? 

« Ça fait longtemps que j’ai ça en moi, raconte Joseph. À 12 ans, je vendais des bâtons de marche dans le réseau Signature Gaspésie! » En 5e secondaire, il souhaitait déjà être entrepreneur, et il a poursuivi ses études en ingénierie dans le but de le devenir. « J’aime créer quelque chose qui va perdurer, investir mon temps et mes énergies dans quelque chose qui me ressemble. » 

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté? 

La Distillerie a obtenu un prêt grâce au fonds d’investissement de la SADC. Également, pour le démarrage, Joseph et Laurie-Anne ont tous les deux obtenu un prêt dans le cadre du fonds Stratégie jeunesse. Joseph souligne aussi avoir bénéficié de plusieurs bons conseils des membres de l’équipe de la SADC en amont. « Elles m’ont donné leurs impressions et leurs recommandations pour bonifier le plan d’affaires. »  

Parlez-nous d’un récent « bon coup » dont vous êtes particulièrement fiers comme entrepreneurs (ex. : en matière de développement durable). 

« On réutilise les bières périmées du Naufrageur pour les revaloriser en whisky. On a mis aussi en place un système de récupération de bouteilles. On est rendus à 500! » Joseph essaie de multiplier les occasions de valoriser les matières résiduelles. Il précise avoir récemment adhéré à Synergie Gaspésie, un projet d’économie circulaire dans le cadre duquel il pourra avoir d’autres occasions de maillage avec des entreprises locales. 

Quel conseil donneriez-vous à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs? 

« Ne pas hésiter à contacter tous les intervenants économiques et en développement! » Selon lui, ces gens « en mettent un peu plus, travaillent pour que ça marche. C’est du monde passionné, qui est là pour essayer de trouver une façon que ça fonctionne pour toi. » Il souligne aussi l’importance d’inclure la communauté dans le projet. « Une des forces dans la Baie-des-Chaleurs, c’est la communauté. Elle est derrière les entreprises et leur ouvre les bras. » Selon Joseph, ça fait partie du plaisir qu’elle soit impliquée dans l’entreprise, et inversement. 

 

 

 

À propos de Joseph et Laurie-Anne 

Natif de Caplan, Joseph St-Denis Boulanger est président et maître distillateur de l’entreprise. Originaire de Montréal, sa partenaire et complice, Laurie-Anne Cloutier, occupe la fonction de vice-présidente. 

Portrait d’entreprise – Agenda Fleuriste

Kim Lavigne a acquis l’entreprise Agenda Fleuriste, à Maria, en juillet 2019. Depuis, la jeune maman embellit le quotidien des gens de la région avec ses fleurs, plantes et objets. Entretien avec Kim au sujet de l’entrepreneuriat et de son entreprise, qui a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.  

 

L’entreprise, en bref 

Agenda Fleuriste propose fleurs, plantes, ballons à l’hélium et divers cadeaux dans sa boutique de Maria, ainsi qu’une sélection de produits sur son site transactionnel. Elle offre aussi un service livraison allant de Nouvelle à Bonaventure. 

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle? 

« Quand j’ai acheté la boutique, mon objectif était d’avoir une grande variété de plantes pour que les gens trouvent [des espèces] qu’ils n’ont pas déjà », mentionne Kim. En avril, elle a mis sur pied le groupe Facebook « Les VIP des plantes d’Agenda Fleuriste », une initiative qui permet aux membres d’accéder à de l’information privilégiée sur les plantes reçues ou attendues. Kim a le souci de bien répondre aux besoins de clientèle, mais aussi de les respecter. L’accueil et l’ambiance amicale en boutique comptent aussi beaucoup pour elle. « Et ça sent bon quand on entre! » 

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat? 

C’est le fait de pouvoir accomplir une grande diversité de tâches qui a incité Kim à devenir entrepreneure. Elle a rencontré l’ancienne propriétaire d’Agenda Fleuriste en janvier 2019, puis commencé à travailler avec elle en février. « J’ai été formée sur place », précise la biologiste de formation. En juillet, elle volait de ses propres ailes. « Il n’y a pas de limite à ce que je peux faire maintenant! Si je trouve que ça tourne en rond, j’ai juste à faire autre chose. Je suis tout le temps en train de regarder pour des nouveaux projets. » 

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté? 

« Ça m’a permis de concrétiser mon projet », mentionne Kim, qui a obtenu le soutien de la MRC, de la SADC, de Desjardins, d’Accès Micro-Crédit et de l’ancienne propriétaire pour l’achat de l’entreprise. La SADC lui a par la suite offert du financement pour un site Web transactionnel puis une formation en marketing Web, qui a fait émerger l’idée d’un groupe Facebook VIP. Enfin, Kim apprécie que la SADC l’ait appelée personnellement, en avril dernier, pour assister au Rendez-vous de l’économie circulaire. « Ils ont bien fait! », confie la jeune maman bien occupée. C’était vraiment intéressant. Ça m’a fait du bien! » 

Parlez-nous d’un « bon coup » dont vous êtes particulièrement fière en matière de développement durable. 

« L’une des premières choses que j’ai faites, c’est d’aller chercher un véhicule électrique pour les livraisons », mentionne Kim, qui dessert un vaste territoire. « Petit à petit, je fais des changements. Pour les fleurs, avant, c’était des emballages en plastique. Maintenant, c’est à 95 % dans du papier kraft. » Également, elle ramène lorsqu’elle le peut des plantes du Cactus fleuri, qui poussent au Québec. Une collaboration avec une entreprise gaspésienne est aussi à venir pour la vente de fleurs biologiques et locales en saison. 

Quel conseil donneriez-vous à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs? 

« Se faire confiance, foncer, y aller une étape à la fois, même si ça peut paraître une grosse montagne!, affirme Kim. Moi, j’étais bien entourée. » Elle souligne aussi qu’il y a de belles ressources dans la région. « J’ai été bien accompagnée. Aller voir un autre entrepreneur ou la MRC, c’est toujours une bonne idée. » 

 

 

 

À propos de Kim Lavigne 

Originaire de Laval, Kim a résidé dans Lanaudière puis étudié à Rimouski. Bachelière en biologie et détentrice d’une maîtrise en gestion des ressources maritimes, elle se passionne pour les poissons et les plantes. Résidant en Gaspésie depuis cinq ans, elle est aussi l’heureuse maman de Tiam, 9 mois. 

Portrait d’entreprise – Bois JL

Jacki Leblanc a fondé l’entreprise de transformation Bois JL en mai 2018 à Carleton-sur-Mer. Et depuis, une clientèle grandissante d’usines de sciage, d’entrepreneurs en construction et de particuliers adopte ses produits de bois de qualité. Entretien avec Jacki au sujet de son entreprise, qui a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.

 

L’entreprise, en bref

Bois JL transforme des essences locales de bois (ex. : cèdre, épinette, tremble, mélèze) en produits de qualité comme des portes, lattes, moulures et poutres en bois massif. L’entreprise propose aussi du bois exotique aux ébénistes. Employant de cinq à six employés annuellement, elle est aussi distributrice des produits de Groupe Lebel.

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?

Bois JL se distingue par la qualité de ses produits et ses prix concurrentiels. « Il n’y a pas d’intermédiaires. Le bois, je le scie, je le vends. Ce qui fait qu’on est beaucoup moins cher », explique-t-il. « Ce qu’on fait beaucoup, c’est du tremble, un bois méconnu. On le scie d’une manière différente. Une fois séché, on le redresse et ça fait un super beau bois, utilisable pour du lambris. »

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?

« Depuis que j’ai 20 ans que je rêvais de ça!, s’exclame Jacki. J’étais rendu à 46 ans, il fallait que je le fasse. Ma mère était entrepreneure aussi. » Et ce nouveau rôle d’entrepreneur lui plaît beaucoup. « C’est le bonheur total! »

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

« J’ai eu un prêt quand j’ai démarré mon entreprise », mentionne Jacki, puis de l’aide technique pour créer une page Facebook. Il a beaucoup apprécié l’accompagnement offert. « C’était sécurisant », confie-t-il. « Quand j’ai fait un autre emprunt plus tard, je suis aussi allé avec la SADC. »

Parlez-nous d’un récent « bon coup » dont vous êtes particulièrement fier comme entrepreneur.

« J’ai acheté une machine pour enlever du travail manuel aux gars, affirme Jacki. C’est un trimmer [ébouteur], un butteur de précision. Avant, on débitait les bundles [paquets de bois] à la scie mécanique. Les gars travaillent moins dur avec ça. Et ça donne un produit de meilleure qualité », aux dimensions très précises.

Quel conseil donneriez-vous à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

Selon Jacki, il faut savoir bien s’entourer et aller frapper aux bonnes portes. En plus de la SADC, la MRC Avignon lui a offert une aide précieuse. « La MRC m’a donné un bon coup de main pour le plan d’affaires. J’ai été bien conseillé. »

 


 

À propos de Jacki Leblanc

Ayant d’abord fait carrière comme électricien, Jacki Leblanc souhaitait changer de domaine. Passionné du bois, il a fondé Bois JL en 2018 à Carleton-sur-Mer (secteur Saint-Omer).

Portrait d’entreprise – Maille atelier collaboratif

Laura-Anne Lamarche et Ghislain Dea ont cofondé Maille atelier collaboratif en 2019, à New Richmond. Depuis, leurs mobiliers durables ont rehaussé le décor et optimisé l’espace de plusieurs résidences, commerces et organisations de la Gaspésie. Rencontre avec Laura-Anne au sujet de l’entrepreneuriat et de son entreprise, qui a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.

 

L’entreprise, en bref

Maille atelier collaboratif combine des services de design professionnel et d’ébénisterie afin de réaliser des solutions d’aménagement adaptées aux besoins spécifiques de chaque client. Avec le souci du détail, son équipe fabrique et installe des mobiliers durables à l’esthétique intemporelle, faits de matériaux de qualité.

 En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?

« On se démarque par l’originalité des projets qu’on conçoit et par la diversité des produits qu’on est capables d’offrir avec tous les sous-traitants qui nous accompagnent », affirme Laura-Anne. « On essaie de ne pas se donner de limite conceptuelle ou de matériaux. On travaille le métal, le bois, le verre. On ne fait pas juste des armoires; on peut faire des escaliers, des garde-corps. C’est de l’ébénisterie architecturale. La plupart du temps, ça reste fonctionnel, mais on frôle un peu l’art. »

 Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?

Ghislain et moi, « on ne trouvait pas nécessairement d’emploi dans la région à l’image de ce qu’on avait envie d’accomplir, raconte Laura-Anne. C’est nos passions qui nous ont menés vers [l’entrepreneuriat], pour créer un emploi à notre image et aimer notre job. On trouvait aussi que l’offre de mobilier sur mesure pouvait être bonifiée dans la région. »

 Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

D’abord, Maille a obtenu du financement. « C’est une des offres les plus avantageuses dans la région, mentionne la jeune entrepreneure. C’est sous forme de prêt personnel et c’est vraiment intéressant comme mise de fonds pour un démarrage d’entreprise. » Maille a aussi eu soutien de la SADC pendant la crise, puis du financement pour un projet structurant. Cette aide leur a « permis de faire une planification stratégique; d’aller chercher un accompagnement pour revoir la structure de l’entreprise et devenir plus efficaces ».

 Parlez-nous d’un récent « bon coup » dont vous êtes particulièrement fière comme entrepreneure (ex. : en matière de développement durable).

« On essaie toujours de faire les choix de matériaux les plus durables, précise Laura-Anne. Dernièrement, on a soumis une question de recherche au CIRADD [un centre de recherche rattaché au Cégep de la Gaspésie et des Îles], qui a été retenue. Des étudiants en sciences de la nature, qui travaillent en partenariat avec du personnel du CIRADD, vont nous faire des propositions pour revaloriser nos retailles de matériaux. »

 Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

« Ça prend une petite dose de naïveté. Pose-toi pas trop de questions. Essaie, vas-y! », suggère Laura-Anne. « Je pense que ce qui fait notre succès et que ça fonctionne, c’est qu’on est passionnés. Mais il faut que tu saches que tu ne vas pas tout le temps, tous les jours, faire ce qui te passionne. » L’ouverture et la collaboration sont aussi essentielles. « C’est important de ne pas avoir peur de demander de l’aide quand il y a des choses qu’on maîtrise un peu moins et de bien s’entourer. »

 


 

À propos de Laura-Anne Lamarche et Ghislain Dea

Cofondateurs de Maille Atelier collaboratif, Laura-Anne Lamarche et Ghislain Dea ont des expertises complémentaires au sein de l’entreprise. Membre de l’Ordre des architectes du Québec, Laura-Anne est chargée de projet et architecte. Ghislain est quant à lui membre de l’Ordre des ingénieurs du Québec et il œuvre à titre de concepteur technique et d’ingénieur mécanique.

Portrait d’entreprise – La belle vie sailing

Marie-Pier Grenier et Adrien Bernier Nadeau ont créé La belle vie sailing à Paspébiac, en 2019. Et depuis, l’engouement ne cesse de croître pour leur entreprise de voile. Le couple a d’ailleurs obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs en 2021 pour assurer son expansion. À bord du catamaran Vanamo accosté à Bouillante, en Guadeloupe, Marie-Pier a répondu à nos questions pour vous faire découvrir l’entreprise et le duo d’entrepreneurs qu’elle forme avec son conjoint. 

 

L’entreprise, en bref 

Profitant du fort achalandage touristique pendant l’été, La belle vie sailing propose des cours de voile, mais aussi des sorties de 3 h ou encore de 24 h avec nuitée et repas sur la baie des Chaleurs. En hiver, elle offre des séjours d’une semaine en mode « vacances à voile » dans les Caraïbes. 

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle? 

La belle vie sailing constitue, selon Marie-Pier, l’une des rares ou même la seule entreprise au Québec à offrir ses services toute l’année. « C’est notre voilier qu’on descend [dans les Caraïbes] et ça rend notre entreprise originale, unique! » Autre élément distinctif : « le fait qu’on soit un couple d’entrepreneurs. On est les deux à temps plein sur le bateau pour offrir nos services. Nos compétences et forces sont très complémentaires. » Le couple en tire profit pour proposer une expérience client au service personnalisé, avec nuitées et repas à bord. 

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat? 

« La crise de la trentaine, je pense, mentionne Marie-Pier d’entrée de jeu. Métro, boulot, dodo ne nous convenait pas. Le point initial était le désir de partir une entreprise, de bâtir quelque chose de viable, de nouveau, de distinctif. » Le couple avait aussi le désir de voyager et de découvrir le monde autrement. « L’idée de la voile est venue grâce à Adrien, qui voulait vivre de sa passion, poursuit-elle. Moi, ça a toujours été un rêve de me partir en affaires. Tous les deux, on souhaitait avoir la liberté de choix pour nos actions. Avoir du pouvoir décisionnel sur notre vie et ce qui nous fait vivre. » 

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté? 

« Ça nous a permis de réaliser une première phase de l’expansion de l’entreprise, affirme Marie-Pier. On est allés chercher du financement pour faire l’acquisition d’un voilier de type multicoque catamaran habitable, pour accueillir plus de clients à la fois et répondre à la forte demande. Dans un deuxième temps, on va vouloir acquérir d’autres voiliers. » 

Parlez-nous d’un récent « bon coup » dont vous êtes particulièrement fiers comme entrepreneurs (ex. : en matière de développement durable). 

« À la base, on est une entreprise qui, de par ses activités et son équipement, est très écologique, fait remarquer Marie-Pier. On utilise des ressources renouvelables pour notre énergie à bord. On crée notre propre eau et notre propre électricité, de manière autonome. » Marie-Pier explique que des panneaux solaires permettent de créer de l’énergie qui s’emmagasine dans leurs batteries pour alimenter lumières, instruments de navigation, etc. Ces batteries alimentent aussi leur dessalinisateur, qui pompe l’eau de mer, en retire les particules, dont le sel, et fait ressortir de l’eau douce et potable.  

« Dans les derniers mois, on a réussi à aller chercher un partenaire majeur : Volthium, une entreprise québécoise – encourager le local fait aussi partie de nos valeurs! – qui développe des batteries au lithium. C’est plus écologique que les batteries à l’acide, beaucoup plus durable dans le temps. » 

Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs? 

« Ne pas hésiter à faire des contacts avec les autres entreprises, organisations de la Baie-des-Chaleurs », mentionne Marie-Pier. « Il faut créer des liens et des partenariats avec les gens locaux. Avec la force de plusieurs, on peut aller plus loin et plus vite! » 

 


 

À propos d’Adrien et Marie-Pier 

Originaire de Lévis, Marie-Pier Grenier a été conseillère en entrepreneuriat et consultante en gestion, en plus d’avoir œuvré 10 ans en restauration. Titulaire d’un bac en administration des affaires et d’un MBA en gestion internationale, elle s’occupe du service client de La belle vie sailing. 

 

Natif de Carleton-sur-Mer, Adrien Bernier Nadeau a appris la navigation sur le voilier de ses parents dans la baie des Chaleurs. Ingénieur mécanique de formation, il a aussi acquis différents brevets et certificats qui lui ont permis de devenir capitaine et instructeur de voile à La belle vie sailing. 

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ANNUELLE 2023-2024 DE LA SADC DE LA MRC DE RIVIÈRE-DU-LOUP

Vous êtes invité à participer à l’Assemblée générale annuelle de la SADC de la MRC de Rivière-du-Loup qui aura lieu le mercredi 26 juin 2024, de 16 h à 18 h, à l’Auberge de la Pointe (10, boul. Cartier, Rivière-du-Loup). 

Au programme :
– Présentation du rapport annuel 2023-2024
– Mini-conférence sur les services de la SADC en économie circulaire avec Alexandre Jolicoeur, conseiller en économie circulaire à la SADC de la MRC de Rivière-du-Loup
– Discussion et réseautage

Veuillez vous inscrire afin de réserver votre place et avoir accès au cocktail et aux bouchées. Merci de compléter le formulaire avant le 20 juin. 

Si vous désirez porter votre candidature au conseil d’administration, veuillez le signifier par écrit avant le 17 juin prochain à [email protected].

Au plaisir de vous y voir !

19 juin 2024 : Assemblée générale annuelle

C’est avec plaisir que la SADC du Kamouraska vous convie à assister à sa trentième (30e) assemblée générale annuelle qui se tiendra le mercredi 19 juin 2024 à 16 h au Motel Le Martinet de La Pocatière (120, route 230 Ouest). Nous profiterons de l’événement pour faire le lancement de la nouvelle planification stratégique de la SADC.
Déroulement :
15 h 30 – Accueil et réseautage
16 h 00 – Assemblée générale annuelle
17 h 30 – Poursuite du réseautage
Confirmez votre présence d’ici le 14 juin 2024 : https://forms.office.com/r/US15GKpgQx
Par le fait même, nous vous invitons à devenir membre ou à renouveler votre membership, si ce n’est pas déjà fait. Nous vous remercions d’avance de votre adhésion. https://forms.zohopublic.com/…/tXVpBC8ckG1Yh7wjaDOFjvDi…
En terminant, nous vous informons que les sièges 1, 3 et 5 de notre conseil d’administration seront en élection. Pour les personnes intéressées à poser leur candidature, le formulaire de mise en candidature doit être complété avant le 7 juin 2024 à 12 h. https://www.sadc-cae.ca/…/Formulaire-de-mise-en…
Au plaisir de se rencontrer le 19 juin prochain!
Anik Briand, directrice générale

Desjardins, commanditaire majeur du projet Mobil’eau

Rivière-du-Loup, le 22 mai 2024 – La Société d’aide au développement de la collectivité (SADC) du Kamouraska et la SADC de la MRC de Rivière-du-Loup sont fières d’annoncer un nouveau partenariat majeur avec les quatre caisses Desjardins de leur territoire. Cette entente assure le financement du projet Mobil’eau pour les cinq prochaines années.

Les Caisses Desjardins Centre-Est-du-Kamouraska, de l’Anse de La Pocatière, de Rivière-du Loup et Viger et Villeray vont financer le projet Mobil’eau pour un montant total de 50 000 $, à raison de 10 000 $ par année jusqu’en 2028.

Le projet d’unités mobiles d’eau potable et de lavage de vaisselle Mobil’eau a pour objectif d’offrir des solutions de réduction des produits à usage unique lors de différentes activités telles que des festivals, fêtes municipales ou compétitions sportives, et d’améliorer, de manière plus globale, la gestion des matières résiduelles lors d’événements d’envergure.

« Pour les 4 Caisses de la MRC de Rivière-du-Loup et du Kamouraska, ce partenariat illustre parfaitement notre engagement envers l’environnement. En effet, la mise en place de bonnes pratiques en développement durable est une cause qui nous touche et qui fait écho aux valeurs du Mouvement Desjardins. C’est donc avec beaucoup de fierté que nous unissons nos couleurs à celles des SADC afin de propulser les activités du Mobil’eau dans notre région. »
– Christiane Castonguay, directrice générale, au nom des Caisses Desjardins

« Nous sommes particulièrement reconnaissantes envers les caisses Desjardins de notre région pour ce précieux soutien financier, qui va permettre le déploiement du projet Mobil’eau sur plusieurs années à plus grande échelle. Ce partenariat démontre notre souci commun envers le développement durable et renforce nos actions respectives en matière d’environnement. » – Anik Briand et Marie-Josée Dorval, respectivement directrices des SADC du Kamouraska et de la MRC de Rivière-du-Loup.

En 2023, lors de la phase pilote, 10 événements ont accueilli un Mobil’eau dans la MRC du Kamouraska et de Rivière-du-Loup et 6 800 bouteilles d’eau en plastique ont été évitées. Au moins 20 événements bénéficieront des unités mobiles d’eau potable en 2024.

Créatrice de valeur, la SADC du Kamouraska a pour mission de stimuler le développement de son territoire d’une façon durable en accompagnant les entrepreneurs et les acteurs du milieu dans leurs projets par son expertise et ses outils financiers.
La SADC de la MRC de Rivière-du-Loup oriente et supporte le développement et la réussite de projets entrepreneuriaux et collectifs sur son territoire, un conseil à la fois.

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Sources :
Sources :
Anik Briand, directrice générale
SADC du Kamouraska
418 856-3482 poste 110
[email protected]

Marie-Josée Dorval, directrice générale
SADC de la MRC de Rivière-du-Loup
418 867-4272 poste 202
[email protected]

22 et 28 mai 2024 : Conférence sur l’organisation d’un événement extérieur écoresponsable

Les SADC du Kamouraska et de la MRC de Rivière-du-Loup vous invitent à une conférence gratuite portant sur l’organisation d’un événement extérieur écoresponsable, dans le cadre du lancement de la saison 2024 du projet Mobil’eau, qui sera présentée à deux reprises :
  • Mercredi 22 mai, à 16 h, à l’Auberge de la Pointe, à Rivière-du-Loup (10, boul. Cartier)
  • Mardi 28 mai, à 16 h, au Camp Richelieu, à Saint-Pascal (198B, route 230 Ouest)
À vous de choisir la date qui vous convient le mieux.
Au programme :
  • Annonce du nouveau commanditaire majeur du projet Mobil’eau.
  • Dévoilement des événements 2024 qui accueilleront une unité mobile d’eau potable.
  • Conférence portant sur l’organisation d’un événement écoresponsable, présentée par Ophélie Deschamps Lévesque, conseillère en gestion environnementale, Collectivités écologiques Bas-Saint-Laurent (Co-éco).
  • Présentation en primeur du « Guide pratique pour un événement extérieur écoresponsable », qui sera ensuite mis à la disposition des organisateurs d’événements de la région.
  • Démonstration des deux unités mobiles d’eau potable et de lavage de vaisselle Mobil’eau et Mobil’eau+.
INSCRIPTION obligatoire au plus tard le 24 maihttps://forms.office.com/r/H4cXgaFVYP
INFORMATION : Carole Corson, chargée de projets, SADC du Kamouraska | [email protected] | 418 863-3336

Les lauréats du 26e Défi OSEntreprendre de la MRC de Rivière-du-Loup dévoilés!

Les lauréats du 26e Défi OSEntreprendre de la MRC de Rivière-du-Loup sont maintenant dévoilés!

Rivière-du-Loup, le vendredi 29 mars 2024 – C’est avec une grande fierté que nous dévoilons les lauréats locaux de la MRC de Rivière-du-Loup du 26e Défi OSEntreprendre. Ce concours fait rayonner les initiatives et inspire un plus grand nombre de personnes à passer à l’action. Pas de doute que notre région peut en être fière!

Jeudi dernier, lors de la soirée de remise de prix, la présidente d’honneur locale de ce 26e Défi OSEntreprendre, madame Sandra St-Jean, copropriétaire du Casse-croûte Frais Délices et propriétaire du Marché des Îles, s’est dit très inspirée par le dynamisme des lauréats. « L’entrepreneuriat c’est beau et c’est bon mais parfois difficile. Écoutez votre cœur, c’est ça qui est important ». Elle n’a pas manqué de souligner l’importance de croire en soi et de poursuivre ses rêves. Le Défi OSEntreprendre, selon elle, est le tremplin par excellence pour mettre en lumière ce qui se fait de beau dans la région! « L’aventure de participer au Défi est fantastique. Profitez-en parce que vous n’aurez pas toujours cette opportunité. Pour ma part, même après 8 ans, on m’en parle encore! »

Les lauréats

Lors de ce gala, 4 prix ont été remis aux lauréats qui se sont démarqués par leur candidature. Dans le volet « création d’entreprise », les premiers prix des catégories ont été décernés à :

  • Services aux entreprises : Scène’art de Rivière-du-Loup
  • Services aux individus Mélissa Fortin de Rivière-du-Loup
  • CommerceBernadette de Rivière-du-Loup.

Dans le volet « faire affaire ensemble », le premier prix a été décerné au Centre Canin Entre Bonnes Pattes Inc. de Saint-Antonin.

Les partenaires financiers

Nous voulons remercier les généreux partenaires financiers de cette 26e édition. Grâce à eux, nous avons remis des bourses totalisant 1 000 $ à nos lauréats locaux.

Les partenaires OR :

Amélie Dionne, députée de Rivière-du-Loup-Témiscouata | HarveyCorp | Mallette | CLD de la région de Rivière-du-Loup |SADC de la MRC de Rivière-du-Loup |Association des concessionnaires automobiles et de camions de Rivière-du-Loup |Lepage Millwork ! Marché des Îles

Les partenaires ARGENT :

Papiers White Birch – Division FF Soucy | Transport Morneau |Groupe Lebel

Les partenaires BRONZE :

Alain Normand Transport | Salon Jean par Marie-Pier Tremblay

Un partenariat gagnant

Si le Défi OSEntreprendre de la MRC de Rivière-du-Loup est devenu un incontournable pour propulser l’esprit d’entreprendre sur le territoire de Rivière-du-Loup, c’est grâce à l’étroite collaboration des organisations de développement économique et du milieu entrepreneurial. Rappelons que le CLD de la région de Rivière-du-Loup et la SADC de la MRC de Rivière-du-Loup sont les organismes responsables locaux depuis le tout début de cet évènement. Pour inspirer le désir d’entreprendre dans la région, il peut compter sur de nombreux collaborateurs et partenaires!

À propos du Défi OSEntreprendre

La principale activité d’OSEntreprendre, le Défi OSEntreprendre, est un grand mouvement québécois qui fait rayonner annuellement les initiatives entrepreneuriales de quelque 75 215 personnes : des jeunes du préscolaire jusqu’à l’université appuyés par leurs intervenants scolaires avec son volet Scolaire, de nouveaux entrepreneurs avec son volet Création d’entreprise, des entrepreneurs au cheminement inspirant avec son volet Réussite inc. et des modèles d’approvisionnement d’ici avec son volet Faire affaire ensemble. Il se déploie et s’enracine aux échelons local, régional et national. Pour sa mise en œuvre, plus de 300 responsables se mobilisent dans les 17 régions du Québec afin de mettre en lumière les projets issus de leur milieu.

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Source :

Jenny Pouliot, coresponsable locale

CLD de la région de Rivière-du-Loup

418 862-1823 poste 102, [email protected]

Première saison réussie pour le projet Mobil’eau : 6 800 bouteilles d’eau en plastique évitées!

La Pocatière, le 16 novembre 2023 – Les Sociétés d’aide au développement de la collectivité (SADC) du Kamouraska et de la MRC de Rivière-du-Loup tirent un bilan très positif de la phase pilote du projet Mobil’eau, visant à offrir des solutions de réduction des produits à usage unique lors d’événements extérieurs.

Grâce au soutien financier de RECYC-QUÉBEC et un investissement des SADC du Kamouraska et de la MRC de Rivière-du-Loup, deux unités mobiles d’eau potable et de lavage de vaisselle ont été mises à la disposition de différents promoteurs d’événements dans la région de juin à octobre 2023.

10 événements ont accueilli un Mobil’eau : (Voir photos)

  • Fête de la Saint-Jean-Baptiste, Saint-Pacôme
  • Tournoi de baseball, Saint-Pascal
  • Festival Bonjour la visite, Saint-Pascal
  • Compétition de BMX, Saint-Modeste
  • Tour de la Pointe, Rivière-du-Loup
  • L’École au Sommet, Rivière-du-Loup
  • 100e anniversaire de Premier Tech, Rivière-du-Loup
  • Grande marche Pierre Lavoie, Rivière-du-Loup
  • Grande fête familiale du 350e de Rivière-du-Loup
  • Halloween, La Pocatière

Mentionnons que les unités mobiles sont disponibles en deux versions. L’unité autonome Mobil’eau est une remorque fermée équipée d’un réservoir de 1 000 litres, de trois distributrices d’eau comprenant abreuvoirs et remplisseurs de gourdes, de batteries et de panneaux solaires. Elle peut également être raccordée aux réseaux d’aqueduc et d’électricité.

L’unité Mobil’eau+ est, quant à elle, équipée de trois distributrices d’eau comprenant abreuvoirs et remplisseurs de gourdes, ainsi que d’un lave-vaisselle commercial à cycle rapide et de verres réutilisables. Elle doit être branchée aux réseaux d’aqueduc et d’électricité pour fonctionner.  (Les 2 Mobil’eau)

« La première saison du projet Mobil’eau a été couronnée de succès notamment grâce à la précieuse collaboration des villes de Rivière-du-Loup, Saint-Pascal et La Pocatière, tant au niveau de leur expertise en eau potable que sur le plan logistique. Ensemble, nous contribuons à rendre les événements plus écoresponsables, un incontournable qui rejoint un nombre grandissant de participants », soulignent d’une même voix Anik Briand et Marie-Josée Dorval, respectivement directrices des SADC du Kamouraska et de la MRC de Rivière-du-Loup.

Collectivités écologiques Bas-Saint-Laurent (Co-éco), partenaire de ce projet, a offert, entre autres, un accompagnement complémentaire aux organisateurs d’événements grâce à la présence d’une agente en environnement lors de certaines activités et un jeu-questionnaire de sensibilisation sur l’enjeu des bouteilles de plastique.

Selon Manon Ouellet, chargée de projets et directrice du développement des affaires : « Participer à ce projet écoresponsable et réfléchir avec les acteurs de développement indispensables à nos collectivités, que sont les SADC, allait de soi pour Co-éco. »

« La présence des unités mobiles d’eau potable a permis d’éviter 6 800 bouteilles de plastique de 500 ml et plus de 700 kg de GES lors de ces événements cette année! », mentionne avec fierté Carole Corson, chargée de projet Mobil’eau.

Le déploiement du projet se poursuivra en 2024. Les unités Mobil’eau seront mises à la disposition d’un plus grand nombre de promoteurs d’événements au Kamouraska et dans la région de Rivière-du-Loup. Les modalités de réservation seront dévoilées en début d’année 2024.

Rappelons que la mission de la SADC du Kamouraska est de stimuler le développement de son territoire d’une façon durable et innovante en accompagnant les entreprises et collectivités dans des projets permettant de maintenir et d’accroître la vitalité du milieu.

 La SADC de la MRC de Rivière-du-Loup oriente et supporte le développement et la réussite de projets entrepreneuriaux et collectifs sur son territoire, et ce, un conseil à la fois.

 

– 30 –

 

Sources :

Marie-Josée Dorval, directrice générale, SADC de la MRC de Rivière-du-Loup, 418-867-4272 poste 202, [email protected]

Isabelle Chouinard, conseillère en développement économique, SADC du Kamouraska, 418-856-3482 poste 102,    [email protected]

Coordonnées de la chargée de projet : Carole Corson, 418-863-3336, [email protected]

 

Version pdf du communiqué

 

Partenaires :

Collectivités écologiques Bas-Saint-Laurent (Co-éco)

Développement économique Canada pour les régions du Québec appuie financièrement les SADC et les CAE     

14 mai 2024 : Café- rencontre de Solidarité rurale du Kamouraska

Parlons changements climatiques : démystifier, agir et s’adapter!

  • Mardi 14 mai 2024
  • 9 h à 10 h 30
  • Au restaurant Mikes de La Pocatière (225, avenue Industrielle)

Presque tous les jours maintenant, nous sommes touchés ou exposés à des bouleversements climatiques, tels que des vagues de chaleur extrême, des pluies diluviennes ou de violentes tempêtes et cette situation suscite de nombreuses questions, autant à l’échelle mondiale que locale. Puisque les conséquences sont préoccupantes et omniprésentes, il est important de s’y attarder afin de démystifier le phénomène, identifier des pistes d’action à notre portée et voir ce qui peut être fait pour s’adapter et limiter les effets dans nos milieux.

Alors, qu’en est-il des changements climatiques au Bas-Saint-Laurent? Quels sont les impacts réels et anticipés pour notre territoire? Que peut-on faire pour s’adapter et atténuer les effets sur notre population? Y-a-t-il des initiatives, des programmes ou des projets qui ont pour objectifs de mobiliser les acteurs et d’aider les communautés?

M. Étienne Parent, agent de projets en changements climatiques au Conseil régional en environnement (CRE) du Bas-Saint-Laurent, sera le conférencier invité pour présenter les différentes initiatives régionales pilotées par son organisation, ainsi que la démarche actuelle réalisée en collaboration avec la Santé publique. Monsieur Parent présentera également quelques exemples d’actions mises en place en adaptation et en atténuation.

La rencontre se terminera par une période d’échanges avec les participants. Le comité prévoit aussi un moment à la fin pour recueillir les commentaires et les propositions quant aux prochaines thématiques à aborder.

Activité gratuite. Commandes à vos frais/à votre discrétion.

Inscription obligatoire en cliquant ICI, au plus tard le vendredi 10 mai 2024

Information : 418-492-1660 poste 236 | [email protected]

Comité organisateur :

 

NEW APPOINTMENTS AT THE RÉSEAU DES SADC ET CAE

NEW APPOINTMENTS AT THE  RÉSEAU DES SADC ET CAE 

Board of Administrators is proud to announce the appointment of Pascal Harvey as president-general director and Pierre-Olivier Colas as assistant general director. These appointments are in line with governance changes aiming to put new wind in the sails of our network and ensure its position in Quebec’s economic development ecosystem.

“I would like to congratulate Pascal and Pierre-Olivier on their new positions,” said Vallier Daigle, President of the Board of Administrators. “As the Réseau’s general director for the past three years, Pascal has been an inspiring leader, rallying both our members and our board behind him. Pierre-Olivier has also been instrumental in the Réseau’s development, particularly by implementing major programs to address a range of economic challenges, such as sustainable development and the digital shift, and by catalyzing the development of partnerships and impactful programs.”

The Réseau des SADC et CAE is a highly active organization with a solid team, which is set to grow over the next few weeks. New positions are opening up to help support both our internal objectives and the needs of our external clients, entrepreneurs and partners. We are also lucky to count on the work, knowledge and dedication of the 400 professionals and 600 volunteers who drive our efforts and our mission: to be a central player in local economic development.

Pascal Harvey: President-General Director of the Réseau des SADC et CAE

In addition to his experience as Executive Director for the SADC de Charlevoix and in strategic positions in politics, Pascal is a seasoned communicator who has deftly thrown his leadership and public speaking skills behind our network. A passionate sports buff and sports writer on his own time, he understands team dynamics and knows how to guide a team to success. 

“SADCs and CAEs exist to support the economy in Quebec regions,” said Pascal. “Our employees’ and volunteers’ collective intelligence, both at the Réseau itself and in all of our locations across Quebec, will make us ever more present and responsive to the needs of entrepreneurs and communities.”

Pierre-Olivier Colas: Assistant General Director

A rallying leader, Pierre-Olivier was a strategic planning consultant for businesses and economic development organizations for nearly 10 years before joining the Réseau in 2019. Over the past five years, he has harnessed his vast experience and strategic mind to successfully lead a great number of projects and support and mobilize SADCs and CAEs to embrace and leverage a renewed sense of vibrancy. His credentials include a master’s in management and a specialization in sustainable development.

“Over the past five years, I’ve been lucky enough to collaborate with all 67 SADCs and CAEs and work with the Réseau’s team to build powerful solutions to drive the economic vitality of our regions,” said Pierre-Olivier. “The Réseau’s potential is endless, and I am so proud to be part of it all.”

 

ABOUT THE RÉSEAU DES SADC ET CAE  

The 57 SADCs (Sociétés d’aide au développement des collectivités) and 10 CAEs (Centres d’aide aux entreprises) have been working in community economic development for more than 40 years. The Réseau des SADC et CAE is made up of more than 1,000 professionals and volunteers who support and provide funding to more than 10,000 entrepreneurs and 1,500 local economic development projects every year. SADCs and CAEs offer entrepreneurs personalized, sustained support and flexible financing products that are tailored to their needs.

SADCs and CAEs receive financial support from Canada Economic Development for Quebec Regions.

Follow the Réseau on Facebook.

INFORMATION 

Christine Pilote, Director, Communications | Phone: 581-999-6363 | [email protected]

Les lauréats du 26e Défi OSEntreprendre MRC de Kamouraska sont maintenant dévoilés

Saint-Pascal, le 4 avril 2024 — Le 26e Gala local du Défi OSEntreprendre MRC de Kamouraska se tenait le mardi 2 avril où cinq lauréats locaux ont été honorés. Ils poursuivront leur parcours à l’échelon suivant, dont les lauréats seront annoncés au gala régional le 1er mai 2024 à Matane.

La détermination et la passion des entrepreneurs pour leur domaine d’activité ont été saluées lors de la remise des prix. En tout, des bourses totalisant 1 500 $ ont été allouées aux lauréats, afin de les soutenir dans la poursuite de leur projet entrepreneurial.

« Un parcours entrepreneurial est différent pour chacun. C’est une aventure extraordinaire qui demande du courage et de l’ambition. Nous sommes fiers de pouvoir compter sur des citoyens engagés qui par leur entreprise, dynamisent et font rayonner notre région. Le Défi OSEntreprendre MRC de Kamouraska permet de souligner leur détermination et leur désir de faire une différence. Pour la plupart, leur parcours ne fait que commencer et nous leur souhaitons tout le succès qu’ils méritent dans la poursuite de leurs projets. », déclarent d’une même voix, le préfet élu, M. Sylvain Roy et M. Olivier Lambert, président du conseil d’administration de la SADC du Kamouraska.

Lauréats du volet Création d’entreprise :

  • Pour la catégorie Innovation technologique et technique : ProMécaTech par Alexandre Duguay-Smith
  • Pour la catégorie Commerce : Fumoir de Saint-André S.E.N.C. par Grégoire Bergeron-Carrière et Léa Cloutier
  • Pour la catégorie Services aux entreprises : Le moment social inc. par Coralie Lepage et Gabrielle Desjardins
  • Pour la catégorie Services aux individus : Services CourtePointe par Corine De Repentigny

Lauréat du volet Faire affaire ensemble :

  • Boulangerie Du pain…c’est tout! par Émilie Vallières et Charles Létang

Finalistes du volet Réussite inc.

Le volet Réussite inc. fait rayonner des modèles diversifiés d’entreprises ayant déjà participé au Défi OSEntreprendre, encore en affaires après cinq ans et dont le cheminement inspire. Pour le Kamouraska, la Ferme Vigo et Créations Vitalis sont finalistes régionales.

Un partenariat gagnant

Si le Défi OSEntreprendre est devenu un incontournable pour propulser l’esprit d’entreprendre du territoire, c’est grâce à l’étroite collaboration qui perdure depuis plusieurs années entre les milieux de l’éducation et des affaires. Rappelons que la SADC du Kamouraska et la MRC de Kamouraska sont partenaires dans l’accompagnement de ces entrepreneurs et dans l’organisation de l’échelon local.

À propos du Défi OSEntreprendre

La principale activité d’OSEntreprendre, le Défi OSEntreprendre, est un grand mouvement québécois qui fait rayonner annuellement les initiatives entrepreneuriales de quelque 57 000 personnes : des jeunes du préscolaire jusqu’à l’université appuyés par leurs intervenants scolaires avec son volet Scolaire, de nouveaux entrepreneurs avec son volet Création d’entreprise, des entrepreneurs au cheminement inspirant avec son volet Réussite inc. et des modèles d’approvisionnement d’ici avec son volet Faire affaire ensemble. Il se déploie et s’enracine aux échelons local, régional et national. Pour sa mise en œuvre, plus de 300 responsables se mobilisent dans les 17 régions du Québec afin de mettre en lumière les projets issus de leur milieu.

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Crédit photo : Jean-François Lajoie

Vignette photo : Les lauréats locaux du 26e Défi OSEntreprendre MRC de Kamouraska

De gauche à droite;

Derrière :

  • M. Olivier Lambert, président du conseil d’administration de la SADC du Kamouraska
  • Mme Gabrielle Desjardins, de Le moment social inc.
  • M. Grégoire Bergeron-Carrière de Fumoir de Saint-André
  • M. Sylvain Roy, préfet élu de la MRC de Kamouraska

Devant :

  • Mme Anik Briand, directrice générale de la SADC du Kamouraska
  • Mme Corine De Repentigny, de Services CourtePointe
  • Mme Coralie Lepage, de Le moment social inc. 
  • Mme Léa Cloutier, de Fumoir de Saint-André
  • M. Alexandre Duguay-Smith, de ProMécaTech
  • Mme Émilie Vallières et M. Charles Létang de la Boulangerie Du pain…c’est tout!
  • M. Charles De Blois Martin, directeur du Service de développement territorial à la MRC de Kamouraska

Lancement de la 26e édition du Défi OSEntreprendre Outaouais

La SADC de Papineau-Collines donne le coup d’envoi de la 26e édition de la compétition entrepreneuriale

La SADC de Papineau-Collines donne le coup d’envoi de la 26e édition du Défi OSEntreprendre Outaouais

 

Gatineau, le 7 décembre 2023 – L’équipe de la SADC de Papineau-Collines est ravie d’annoncer le lancement de la 26e édition du Défi OSEntreprendre Outaouais. En dirigeant le volet régional de cette grande compétition entrepreneuriale québécoise, nous sommes fiers de faire rayonner des jeunes et des entrepreneurs passionnés et audacieux, qui animent quotidiennement l’esprit entrepreneurial dans notre région. Les gens de l’Outaouais ont jusqu’au 14 mars, 16 h pour déposer leur candidature au Défi OSEntreprendre.

 

Le Rond-Point- Milieu de jeux : Un trio dynamique à la présidence d’honneur

Pour cette 26e édition, Majorie Marcotte, Caroline Labelle et Myriam Campeau, les trois entrepreneures déterminées du Rond-Point-Milieu de jeux, ont accepté avec joie la coprésidence d’honneur. Lauréates nationales du volet Création d’entreprise l’année dernière, elles considèrent le Défi OSEntreprendre comme plus qu’un simple concours. Il représente une plateforme exceptionnelle pour les jeunes et les entrepreneurs en devenir, offrant une occasion de présenter leurs idées novatrices et de bénéficier d’un soutien important via des bourses et de la visibilité.

« Nous sommes extrêmement fières d’accepter ce défi pour inspirer et mobiliser la prochaine génération d’entrepreneurs », partagent les coprésidentes. « Ayant nous-mêmes participé au Défi OSEntreprendre récemment, nous savons l’importance de son impact. Il a été un jalon clé dans notre parcours, offrant un soutien financier et une visibilité accrue pour notre entreprise, ainsi que la chance de nouer des liens avec d’autres entrepreneurs partageant nos préoccupations. Nous encourageons vivement les milieux scolaires et tous les entrepreneurs en phase de création à soumettre leur candidature ! »

 

Le compte à rebours est commencé!

Les élèves, étudiants, intervenants scolaires et entrepreneurs sont invités à s’inscrire d’ici le 12 mars 2024, 16 h. Tous les critères d’admissibilité, ainsi que la liste des catégories et des prix spéciaux, sont accessibles en ligne sur osentreprendre.quebec. Une activité de remise de prix couronnera les lauréats à l’échelon régional, le 1er mai prochain.

 

À propos du Défi OSEntreprendre

Le Défi OSEntreprendre est un grand mouvement québécois qui fait rayonner les initiatives entrepreneuriales de plus de 57 000 personnes annuellement : des jeunes du préscolaire jusqu’à l’université appuyés par leurs intervenants scolaires ainsi que des entrepreneurs. Il se déploie et s’enracine aux échelons local, régional et national. Pour sa mise en œuvre, plus de 300 responsables se mobilisent dans les 17 régions du Québec afin de mettre en lumière les projets issus de leur milieu.

Stratégie de communication marketing

Accompagnement en stratégie de communication et de marketing

Pour assurer le succès d’une entreprise, une bonne stratégie de communication et de marketing est non négligeable. Si les services ou les produits que propose une compagnie sont de qualité exceptionnelle, mais que personne n’en entend parler, les affaires seront certainement moins lucratives que prévu!

Une stratégie de communication et de marketing efficace fera rayonner votre entreprise et la fera connaître par votre public cible. Vous ne savez pas par où commencer?

La SADC Papineau-Collines offre 3 volets de coaching différents en stratégie de communication et de marketing:

 

Stratégie marketing

Bien plus qu’une stratégie seulement axée sur la publicité, la stratégie marketing est essentielle pour trouver les outils de communication adaptés à votre entreprise et pour développer de bons réflexes. Avec ce service en coaching, les conseillers de la SADC Papineau-Collines vous guideront dans l’élaboration d’un plan de marketing sur mesure qui fera rayonner votre entreprise auprès de votre clientèle cible.

 

Stratégie de communication et réseaux sociaux

Rares sont les entreprises qui peuvent se passer de l’utilisation des réseaux sociaux de nos jours. Ces outils de communication n’ont pas leur pareil pour faire connaître les services et les valeurs d’une compagnie. Peu importe votre degré de connaissance en la matière, les conseillers de la SADC Papineau-Collines sauront vous aider avec le fonctionnement des différentes plateformes, leur fonction et avec le développement d’une stratégie de communication adaptée à vos besoins.

 

Stratégie de communication et relations publiques

Les conseillers de la SADC Papineau-Collines peuvent vous soutenir au fil des différentes étapes qui mènent à une stratégie de communication en relations publiques réussie. En effet, ce service de coaching vous aidera à augmenter vos chances d’atteindre votre public cible avec le bon message. C’est avec une stratégie de communication bien définie et avec les bons outils que vous atteindrez vos objectifs de relations publiques. Que ce soit pour vous mettre en contact avec les médias régionaux et locaux, pour analyser les outils qui se prêtent le mieux à votre situation ou encore pour préparer un événement de presse, vos conseillers vous épauleront à chacune des phases.

 


Pour plus d’information sur notre accompagnement, communiquez avec:

[email protected]
(819 987-1747

Offre d’emploi : Conseiller.ère en commerce électronique

Offre emploi étudiants numérique

La recherche permanente d’alternatives pour contribuer au développement économique et social du Québec a mobilisé la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) et le Réseau des Sociétés d’aide au développement des collectivités et les Centres d’aide aux entreprises (SADC+CAE) pour soutenir des activités qui facilitent l’adoption de la technologie numérique par les petites entreprises du Québec et qui offrent des possibilités d’emploi et de formation aux jeunes et finissants.
Pour contribuer à la mise en place de ce nouveau projet, nous recherchons des étudiants et nouveaux diplômés partout au Québec faisant preuve d’une grande proactivité, d’un sens aigu de l’amélioration continue et d’une capacité enviable de travail en équipe pour assumer le rôle de conseiller.ère en commerce électronique.

Une opportunité à ne pas manquer pour développer et mettre en oeuvre vos compétences
Cette expérience vous permettra de recevoir de la formation, notamment pour :

• Vous familiariser avec les diverses solutions de commerce électronique et les outils connexes.
• Comprendre les fondements de la cybersécurité.
• Comprendre la subvention « Développez vos activités commerciales en ligne ».
• Développer vos compétences en communication persuasive verbale.
• Faire preuve d’autonomie et de dynamisme.
• Mettre en oeuvre votre sens d’analyse et de synthèse.
• Renforcer votre sens de l’organisation ainsi que d’établir vos priorités et en soulever les enjeux.

Exigences spécifiques à l’emploi :


• Avoir obtenu un diplôme d’études secondaires et prévoir poursuivre ses études au niveau postsecondaire.
• Être présentement inscrit à un programme d’études postsecondaires ou avoir récemment obtenu un diplôme d’études postsecondaires.
• Avoir une connaissance de la réalité des employeurs québécois serait un atout.

Rôle et responsabilités


En tant que conseiller.ère, le ou la candidat.e idéal.e devra offrir son expertise afin de soutenir les entreprises du Québec, notamment les PME, dans l’identification de leurs enjeux en matière de commerce électronique et des ressources humaines. Il ou elle participera à l’analyse des besoins des entreprises à l’aide d’un diagnostic et facilitera la participation de ces dernières au Programme canadien d’adoption du numérique (PCAN) et aux différents projets en fonction de leurs besoins.

Sommaire des tâches :

• Réaliser le démarchage des entreprises afin de les mobiliser à participer dans le Programme canadien d’adoption du numérique (PCAN).
• Faciliter la réalisation d’un diagnostic, afin d’identifier les enjeux des PME en matière de commerce électronique et de main-d’oeuvre.
• Contribuer à l’analyse des besoins des entreprises et à l’identification des programmes et projets en cohérence avec les besoins identifiés.
• Faciliter la mise en relation des entreprises avec les différents programmes et les prestataires de service régionaux pouvant subvenir à leurs besoins.
• Faciliter l’obtention de la subvention « Développez vos activités commerciales en ligne ».
• Toute autre tâche connexe.
Conditions de travail et avantages :
• Travail à temps plein ou temps partiel.
• Possibilité de rencontrer des entreprises en présentiel ou en virtuel.
• Contrat de travail.
• Rémunération globale compétitive (congés de maladie, horaire d’été, etc.).
• Environnement de travail dynamique offrant de nombreux défis et occasions d’apprentissage.

Comment postuler ?

Veuillez nous faire parvenir votre curriculum vitae à l’adresse suivante :
[email protected]

Seules les personnes dont la candidature est retenue seront contactées.

Flexipreneures inspirantes: la force de la famille

Lysandre a grandi aux Iles. En 2020, en pleine pandémie, Lysandre et son conjoint ainsi que sa sœur Sandrine acquièrent Conrad Miousse & Fils, un commerce implanté aux Iles depuis 60 ans. Rebaptisé Meubles & Moi, l’entreprise ouvre en pleine pandémie. «L’opportunité s’est présentée à nous. J’étais en plein congé de maternité mais je n’ai pas voulu laisser passer cette chance», précise Lysandre qui est aussi inhalothérapeute pour le CIUSSS des Iles. «J’adore mon métier, mais j’ai aussi la fibre entrepreneuriale. Dans le meilleur des mondes, j’aimerais continuer de combiner les deux.»

ENTREPRISE : MEUBLES & MOI
Où :  Iles de la Madeleine
Qui : Lysandre et Sandrine Chiasson, et Maxime Leblanc
Quoi : Vente au détail de grandes marques: meubles, matelas, électroménagers et accessoires de décor.

Lysandre est reconnaissante de pouvoir travailler avec sa famille. «Même nos parents donnent un coup de main au magasin.» À son retour de congé de maternité, l’entrepreneuriat offrira à Lysandre la flexibilité nécessaire pour jouer son rôle de maman. «Le télétravail, c’est génial.»

Pour maximiser les chances de succès, la SADC des Iles-de-la-Madeleine a supporté financièrement les jeunes associés afin de bonifier et de diversifier leur inventaire lors de l’ouverture. La SADC leur offre aussi le soutien d’un mentor. «Avec lui, on veut se dépasser, réfléchir, trouver des pistes de solution. C’est vraiment génial d’être encadrés par des gens d’expérience», se réjouit Lysandre.

www.facebook.com/meublesetmoiauxiles 


À PROPOS DU RÉSEAU SADC ET CAE

Les SADC et CAE, ce sont plus de 400 professionnels et au-delà de 1000 bénévoles qui travaillent depuis 40 ans au développement économique des régions du Québec. Leur mission ? Soutenir des projets et des entreprises innovantes pour des collectivités prospères. Pour le Réseau dont la force est la proximité avec le milieu et une présence assidue sur le terrain, l’entrepreneuriat féminin est aussi une priorité. Développement économique Canada appui financièrement les SADC et CAE.

Flexipreneure, c’est le terme créé par la SADC Shawinigan pour parler des femmes entrepreneures qui, souvent, cumulent la gestion de leur entreprise avec un autre emploi, des études ou de l’aide à un proche. Afin d’améliorer l’accompagnement qui leur est offert, la SADC Shawinigan a lancé l’initiative Entreprendre au féminin autrement, financée par le ministère Femmes et Égalité des genres Canada. Entre 2018 et 2021, plusieurs projets-pilotes ont ainsi rejoint un grand nombre de flexipreneures de toutes les régions du Québec.

Flexipreneures inspirantes: la passion avant tout

Jade est une leader née. Petite, elle aide déjà à l’organisation de tous les partys de famille. Très jeune, elle sait ce qu’elle veut. Elle monte sur scène pour la première fois à 5 ans. «Faire ce que j’aime est la seule chose qui m’intéresse». Passionnée, elle fonde sa propre entreprise de gestion d’évènements et de production de spectacles à 18 ans. «J’en ai 28 aujourd’hui et je peux dire que c’est plus qu’une passion, c’est ma vie», affirme la jeune femme diplômée de l’École du showbusiness.

ENTREPRISE :  PRODUCTIONS JADOR
Où : Saint-Jean-sur-Richelieu
Qui : Jade Marcoux 
Quoi : Gérance artistique/organisation d’évènements/production de spectacles.

Depuis peu, elle fait aussi de la gérance d’artistes. «Je suis aussi chanteuse. C’est un atout pour comprendre la réalité des artistes.» En parallèle, Jade a longtemps occupé divers emplois dont plusieurs comme pigiste. Actuellement en congé de maternité – elle a deux enfants – elle a pris la décision de se consacrer à 100% à son entreprise. 

Sa participation au Comité administratif de l’aile jeunesse de la Chambre de Commerce du Haut-Richelieu l’a convaincue. «La Cohorte de soutien de la Chambre est parrainée par le CAE Haute-Montérégie. Grâce à eux, j’ai pu bénéficier d’un mentor et suivre diverses formations.» Plus solide que jamais, la voilà prête à passer de flexipreneure à entrepreneure à part entière.

www.productionsjador.com 


À PROPOS DU RÉSEAU SADC ET CAE

Les SADC et CAE, ce sont plus de 400 professionnels et au-delà de 1000 bénévoles qui travaillent depuis 40 ans au développement économique des régions du Québec. Leur mission ? Soutenir des projets et des entreprises innovantes pour des collectivités prospères. Pour le Réseau dont la force est la proximité avec le milieu et une présence assidue sur le terrain, l’entrepreneuriat féminin est aussi une priorité. Développement économique Canada appui financièrement les SADC et CAE.

Flexipreneure, c’est le terme créé par la SADC Shawinigan pour parler des femmes entrepreneures qui, souvent, cumulent la gestion de leur entreprise avec un autre emploi, des études ou de l’aide à un proche. Afin d’améliorer l’accompagnement qui leur est offert, la SADC Shawinigan a lancé l’initiative Entreprendre au féminin autrement, financée par le ministère Femmes et Égalité des genres Canada. Entre 2018 et 2021, plusieurs projets-pilotes ont ainsi rejoint un grand nombre de flexipreneures de toutes les régions du Québec.

Flexipreneures inspirantes: à la santé des moms

Kathryne est kinésiologue certifiée en périnatalité. Au printemps 2020, dès le début de la pandémie, la clinique où elle travaille ferme ses portes. «L’idée de Momki Bouge, je l’avais depuis 2018. Je me suis lancée.» Offerts alors exclusivement en mode virtuel, ses services connaissent vite du succès.

ENTREPRISE : MOMKI BOUGE
Où : Trois-Rivières
Qui : Kathryne Gervais
Quoi : Service de mise en forme pour mamans, pré et postnatal.

Aujourd’hui, Kathryne peut également offrir ses services en présentiel. «J’adore prendre soin de mes moms. Je les trouve hot de se déplacer avec leur bedaine, d’autres avec leurs bébés, pour assister à mes entrainements dans le but de se remettre en forme», s’enflamme Kathryne, elle-même maman de deux enfants. Maître de l’organisation, elle réussit à combiner ces activités avec un emploi à temps partiel comme kinésiologue en oncologie.

 
Kathryne Gervais 

En mars 2021, vu son statut de temps partiel, elle hésite à participer Défi OSEntreprendre en Mauricie. Elle pose malgré sa candidature et se retrouve finaliste du Prix spécial Flexipreneur.e dans le cadre d’un projet pilote de la SADC Shawinigan mettant en valeur cette nouvelle forme d’entrepreneuriat dans laquelle elle se reconnait davantage. Sa participation au Défi lui permettra d’avoir accès gratuitement à une formation en gestion d’entreprise et à un mentor durant un an.

Depuis septembre, Kathryne se consacre entièrement à son entreprise. À ce jour, plus de 200 femmes sont devenues des moms qui bougent. «Je viens de développer un cours innovateur pour les 50 ans et plus. À la ménopause, la santé pelvienne est aussi importante qu’après un accouchement.»

www.momkibouge.com



À PROPOS DU RÉSEAU SADC ET CAE

Les SADC et CAE, ce sont plus de 400 professionnels et au-delà de 1000 bénévoles qui travaillent depuis 40 ans au développement économique des régions du Québec. Leur mission ? Soutenir des projets et des entreprises innovantes pour des collectivités prospères. Pour le Réseau dont la force est la proximité avec le milieu et une présence assidue sur le terrain, l’entrepreneuriat féminin est aussi une priorité. Développement économique Canada appui financièrement les SADC et CAE.

Flexipreneure, c’est le terme créé par la SADC Shawinigan pour parler des femmes entrepreneures qui, souvent, cumulent la gestion de leur entreprise avec un autre emploi, des études ou de l’aide à un proche. Afin d’améliorer l’accompagnement qui leur est offert, la SADC Shawinigan a lancé l’initiative Entreprendre au féminin autrement, financée par le ministère Femmes et Égalité des genres Canada. Entre 2018 et 2021, plusieurs projets-pilotes ont ainsi rejoint un grand nombre de flexipreneures de toutes les régions du Québec.

Flexipreneures inspirantes: encore plus de branches à leur arc

Sarah est cinéaste et réalisatrice de métier. En 2020, dès le début de la pandémie, elle perd tous ses contrats. «J’ai vu ça comme une opportunité de lancer la petite entreprise dont je rêvais depuis longtemps», se souvient la jeune femme qui en moins de deux, écrit son plan d’affaires. «En un mois, on avait trouvé le financement.»

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Flexipreneures inspirantes: quand le plaisir est essentiel

Elles sont sœurs, amies, et mamans. À elles deux, elles ont six enfants. Adeptes de slow living, elles désirent pouvoir s’accorder du temps pour soi et la famille. En 2017, elles font pourtant le saut en entrepreneuriat. Leur souhait? Encourager une consommation plus respectueuse de la nature. Pour elles, les huiles essentielles et leurs dérivés produits – savons moussants, baumes à lèvres, bougies et parfums d’ambiance – se sont imposés comme un naturel.

                                                               

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OCEAN-CAM, un accompagnement qui mène loin

 

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