30 octobre 2024 – Portes ouvertes et inauguration officielle des nouveaux bureaux de la SADC du Kamouraska

C’est avec fierté et enthousiasme que la SADC du Kamouraska invite ses membres, clients, partenaires, ainsi que la population en général à son événement PORTES OUVERTES qui se tiendra le mercredi 30 octobre 2024 de 16 h à 18 h.
Les membres de l’équipe et du conseil d’administration seront présents pour vous accueillir et vous faire découvrir l’espace qu’occupe la SADC dans l’édifice appartenant à Avantis Coopérative, situé au 205 avenue Industrielle, à La Pocatière.
Au programme :
  • Visite des nouveaux bureaux et des locaux à la disposition de la SADC
  • Présentation de l’équipe et des services offerts
  • Inauguration officielle
  • Cocktail, goûter et prix de présence
Ne manquez pas cette occasion unique et conviviale pour (re)découvrir la mission de notre organisme, discuter de vos projets avec nos conseillers et réseauter avec la communauté SADC qui sera au rendez-vous!
Entrée libre et gratuite, aucune inscription.
Tout le monde est bienvenu! On vous attend en grand nombre.

Colloque RH du Kamouraska : Le rendez-vous de l’automne 2024 pour les employeurs de la région.

La Pocatière, le 8 octobre 2024. – Propulsé par le Comité emploi du Kamouraska, le Colloque RH se tiendra le 14 novembre 2024 de 11 h 30 à 16 h 30 au Centre Bombardier de La Pocatière. Plusieurs conférences et ateliers portant sur les meilleures stratégies de gestion des équipes de travail seront présentés. Cet événement est rendu possible grâce à la participation financière du gouvernement du Québec.

« Notre gouvernement est fier de soutenir la première édition de ce colloque RH, laquelle se déroulera dans la MRC de Kamouraska. Je suis convaincue que cet événement sera bénéfique aux gestionnaires et responsables des ressources humaines qui y participeront et leur permettra de devenir des employeurs de choix. Dans le contexte actuel du marché du travail, les organisations doivent s’adapter aux changements. Ce colloque donnera aux participants présents l’occasion d’en apprendre davantage sur les outils qui s’offrent à eux. C’est un rendez-vous à ne pas manquer! », souligne Kateri Champagne Jourdain, ministre de l’Emploi et ministre responsable de la région de la Côte-Nord.

« C’est une occasion parfaite pour les gestionnaires des ressources humaines d’acquérir les meilleures pratiques en la matière pour s’adapter aux nouvelles réalités du marché du travail. Je suis heureux que mon gouvernement soutienne la première édition du Colloque RH du Kamouraska, car c’est bénéfique non seulement pour les participants à l’événement, mais aussi pour les organisations et la profession dans leur ensemble. Cela favorise un écosystème d’apprentissage continu et d’innovation qui est essentiel dans un domaine en constante évolution. Je vous invite à y participer en grand nombre! », mentionne Mathieu Rivest, député de la Côte-du-Sud.

Ce sera l’occasion idéale pour rencontrer d’autres gestionnaires engagés, en apprendre davantage sur les meilleures pratiques en gestion des ressources humaines et obtenir des outils performants et actuels. Les ateliers permettront aux participants de partager leurs expériences, réalisations, problèmes et solutions, sans compétition. Enfin, la présence de kiosques d’information facilitera la prise de contact avec les organisations du milieu qui offrent du soutien et de l’accompagnement aux employeurs qui voudront aller plus loin dans leurs démarches après le colloque.

L’événement débutera par un dîner réseautage qui sera suivi d’un après-midi riche en apprentissages. Plusieurs conférenciers de renom se partageront la scène : madame Céline Conti de l’entreprise Go RH, madame Marie-Michèle Bélanger de La Firme marketing, monsieur Martin Delarosbil de l’entreprise Team Factory, ainsi que madame Isabelle Touati de Réseau Annie RH. Il sera également possible sur place d’en savoir davantage sur les ressources locales et services offerts aux entreprises.

Les entrepreneurs, les gestionnaires d’entreprises et les responsables des ressources humaines de la région sont invités à découvrir la programmation et à s’inscrire d’ici le 31 octobre 2024 sur le site Web de la SADC du Kamouraska.

 

À propos du Comité emploi du Kamouraska :  

Le Comité emploi du Kamouraska est un regroupement de partenaires concernés par l’employabilité dans la MRC du Kamouraska. Cette table de concertation cible des enjeux en lien avec le marché du travail et organise des activités et des projets touchant les chercheurs d’emploi et les employeurs, en assurant un meilleur appariement et en misant sur la formation, l’accompagnement, le services conseils et l’aide financière.

Le Comité emploi du Kamouraska regroupe les partenaires suivants : le bureau de Services Québec de La Pocatière du ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale, la SADC du Kamouraska, la MRC de Kamouraska, la Chambre de commerce Kamouraska-L’Islet, COSMOSS Kamouraska, Développement économique La Pocatière, EXTRA Formation continue du Cégep de La Pocatière, Projektion 16-35, le Service aux entreprises Kamouraska – Rivière-du-Loup du Centre de formation professionnelle Pavillon-de-l’Avenir et la Ville de Saint-Pascal.

– 30 –

 

Source : SADC du Kamouraska

Nom : Isabelle Chouinard

Titre : Conseillère en développement économique

Numéro de téléphone : 418-856-3482 poste 102

Courriel : ichouinard@sadckamouraska.com

 

Bourse Personnalité Entrepreneuriale Jeunesse 2024

Dépose ta candidature à la Bourse Personnalité Entrepreneuriale Jeunesse du Fonds d’Investissement Jeunesse (FIJ) de la MRC de Rivière-du-Loup et cours la chance de gagner une bourse de 1 500$ ou 3 500$. Si tu as entre 18-40 ans que ton entreprise existe depuis au moins 1 an et au plus 5 ans ou que ta relève d’entreprise est dans cette même période, que tu es propriétaire ou actionnaire à 50% et plus et que ton entreprise est située sur le territoire de la MRC de RDL, tu réponds aux critères d’admissibilité.

Dépose ta candidature à la Bourse Personnalité Entrepreneuriale Jeunesse du Fonds d’Investissement Jeunesse (FIJ) de la MRC de Rivière-du-Loup et cours la chance de gagner une bourse de 1 500$ ou 3 500$. Si tu as entre 18-40 ans que ton entreprise existe depuis au moins 1 an et au plus 5 ans ou que ta relève d’entreprise est dans cette même période, que tu es propriétaire ou actionnaire à 50% et plus et que ton entreprise est située sur le territoire de la MRC de RDL, tu réponds aux critères d’admissibilité.

Étape 1 : Remplir le formulaire d’inscription : https://forms.gle/QRasWb2688NEvkNs9

Étape 2 : Entrevue virtuelle de 10-15 minutes pour répondre à ces questions : Quel est votre parcours entrepreneurial? Quel est l’historique de l’entreprise? Quels sont les produits et les services offerts par l’entreprise? Ses avantages concurrentiels? Actuellement, quels sont vos enjeux, vos défis? Quels moyens prenez-vous pour surmonter ceux-ci? À quoi ressemblera votre entreprise dans 3 à 5 ans?

Étape 3 : Si tu es parmi les 3 finalistes suite à ton entrevue, tu seras assurée de remporter une bourse soit de 1 500$ ou 3 500$. Afin de départager les finalistes et la personne gagnante du 3 500$, tu devras participer à l’enregistrement d’un podcast le 6 novembre 2024 en avant-midi à RDL. Ce podcast animé par Carol-Ann Dionne, membre du CA du FIJ, te permettra de parler plus spécifiquement de ton entreprise et de ta personnalité entrepreneuriale.

Date limite le vendredi 11 octobre 2024 inclusivement.

Pour plus de détail, voir le Guide de mise en candidatures : https://docs.google.com/document/d/151ZNvgScxu41plxUxZ0SEcPAb83QwHf9/edit?fbclid=IwY2xjawFRTgNleHRuA2FlbQIxMAABHW-I02m8PXiTBmDCFtnNKAagdCfu2kjrYZZXH-HBPPy23RePOQBHU_YrOA_aem_QAJahHxVbl3sxxV1_fmohg

Investissement historique pour les entreprises de l’Outaouais

DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE LOCAL :
Le gouvernement du Canada réitère son engagement envers les SADC de l’Outaouais et investit près de 10 M$ pour soutenir l’écosystème entrepreneurial de la région

 

Gatineau, le 17 juillet 2024 – Les SADC de l’Outaouais se réjouissent du dévoilement des nouvelles ententes de contribution de cinq ans entre Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC) ainsi que le Réseau et les 57 SADC (Sociétés d’aide au développement des collectivités) et 10 CAE (Centres d’aide aux entreprises) du Québec.

Des investissements historiques de 245 M$ permettront d’assurer le fonctionnement des 67 SADC et CAE du Québec et de leur réseau, en plus d’assurer la livraison équitable, à travers les régions rurales et semi-urbaines du Québec, des principales lignes d’affaires, soit le développement économique local, l’accompagnement et le financement aux entrepreneurs dans les milieux ruraux et semi-urbains.

Plus précisément en Outaouais, la SADC de Papineau-Collines, la SADC Pontiac et la SADC de la Valée-de-la-Gatineau pourront compter sur des investissements de 9,9 M$. Les trois SADC de la région renforceront également leurs interventions locales, notamment en accentuant leurs actions pour répondre aux enjeux économiques actuels des entrepreneurs.

Ce nouvel accord conclu avec le gouvernement du Canada permettra aux SADC et CAE de créer de nouveaux produits financiers pour aider les entrepreneurs à répondre à leurs enjeux économiques prioritaires tels que la transition verte et numérique, ainsi qu’aux défis liés au transfert d’entreprise et à l’entrepreneuriat jeunesse. Ces investissements représentent 600 000 $ pour chacune des SADC de la région. Notons que ces fonds proviennent des remboursements des entrepreneurs ayant bénéficiés de prêts via le Fonds d’aide et de relance régionale – un fonds mis en place en 2020 par le gouvernement du Canada en réponse aux défis reliés à la crise sanitaire.

 

Du financement pour renforcer nos interventions locales

Toujours à partir des retours du Fonds d’aide et de relance régionale, une enveloppe de 28 M$ permettra également à chaque SADC et CAE, ainsi qu’au Réseau de renforcer leur capacité d’intervention. Principalement, chaque SADC et CAE aura accès à des fonds supplémentaires de 335 000 $ pour accentuer ses interventions en développement économique local et en aide technique aux entrepreneurs.

 

Citations :

« Les SADC et CAE jouent un rôle essentiel dans le développement économique de notre région. Leur engagement à soutenir les petites et moyennes entreprises contribue grandement à la vitalité et à la résilience de notre communauté. Le gouvernement du Canada soutient cette transition, valorisant les SADC et CAE comme partenaires clés. Je tiens à saluer le travail des professionnels et bénévoles qui répondent aux besoins spécifiques de notre région, apportant expertise, soutien et innovation pour bâtir un avenir vert et prospère.
Sophie Chatel, Députée de Pontiac-Kitigan Zibi

« En Outaouais, nous bénéficions de trois SADC dont les actions apportent une valeur ajoutée considérable aux projets de nos PME. Leur travail incessant crée et maintient des emplois de qualité, renforçant ainsi la prospérité régionale. Les collectivités doivent se diversifier stratégiquement en misant sur l’innovation pour développer des avantages compétitifs durables. Le gouvernement du Canada priorise l’appui à cette transition, et il est crucial que des organismes comme les SADC et CAE soient implantés dans nos communautés. Leur contact direct avec les acteurs socio-économiques locaux leur permet de bien comprendre les enjeux et d’agir efficacement sur le terrain. La croissance économique et des PME compétitives contribuent à bâtir des collectivités fortes et accueillantes pour la classe moyenne.»
Stéphane Lauzon, député d’Argenteuil – La Petite-Nation

 

Quelques impacts des SADC et CAE au sein de l’économie québécoise

Les investissements au sein des SADC et CAE rapportent! Selon une étude réalisée par Aviseo Conseil pour la période 2019 à 2023, les SADC et CAE ont engendré une augmentation du PIB réel du Québec de 458 M$ dont 85 M$ découlent de nos investissements en prêts et 273 M$ sont générés par l’augmentation du taux de survie après cinq ans des entreprises accompagnées par les SADC et CAE. Rappelons qu’une étude de Statistique Canada démontre que ce taux est plus que le double chez nos clientèles.

Résultats 2023-2024: 40 millions $ investis sur le territoire en 40 ans!

40 millions $ investis dans les entreprises locales en 40 ans, 170 % d’augmentation des prêts accordés à des femmes entrepreneures et une année record en écoresponsabilité

40 millions $ investis dans les entreprises locales en 40 ans,
170 % d’augmentation des prêts accordés à des femmes entrepreneures
et une année record en écoresponsabilité

 

Gatineau, 10 juin 2024 – La SADC de Papineau-Collines, organisme consacré au développement économique de la région, dévoile le bilan de ses activités 2023-2024. Au cours de la dernière année, plus de 1,2 million $ en prêts ont été investis pour soutenir le démarrage, la croissance et le transfert d’entreprises locales. Alors que la SADC entame sa 40e année d’existence, ces investissements portent à 40 millions $ le soutien financier accordé à nos petites entreprises depuis 1984.

En plus du soutien financier, nos conseillers ont investi plus de 1 000 heures en accompagnement personnalisé pour aider nos entreprises à améliorer leurs pratiques d’affaires et à augmenter leur compétitivité. Animée par la volonté de valoriser les jeunes entrepreneur.e.s, véritables piliers de l’avenir de notre région, notre équipe s’est également engagée dans la mise en œuvre de projets régionaux tels que le Défi OSEntreprendre Outaouais. Ce projet phare met en lumière les initiatives entrepreneuriales des jeunes et stimule la culture entrepreneuriale à l’échelle provinciale.

 

Faits saillants : soutiens financiers

  • 1,2 M$ en prêts autorisés
  • 2,1 M$ de retombées économiques sur le territoire :
  • 935 000 $ de retombées économiques dans la Ville de Gatineau (Buckingham et Masson-Angers)
  • 751 719 $ de retombées économiques dans la MRC des Collines-de-l’Outaouais
  • 443 102 $ de retombées économiques dans la MRC de Papineau
  • 65 % des prêts ont été octroyés à des femmes entrepreneures
  • 170 % d’augmentation des prêts accordés à des femmes entrepreneures depuis l’année dernière
  • 92% des entreprises financées et accompagnées depuis les 5 dernières années sont toujours en activité
  • 40 M$ investis dans les entreprises locales depuis 1984, soit 40 M$ en 40 ans.

 

Des pratiques toujours plus responsables

En adoptant des pratiques durables dans ses divers processus opérationnels, la SADC de Papineau-Collines souhaite donner l’exemple aux organisations de son territoire en démontrant qu’il est possible de concilier efficacité opérationnelle, rentabilité et responsabilité environnementale. Cette année, nous avons réussi à réduire significativement nos émissions de GES, grâce notamment au déménagement écoresponsable de nos bureaux dans un nouvel environnement sans papier.

 

Faits saillants : écoresponsabilité de la SADC

  • Diminution de 49% de notre empreinte carbone (7,29TCO2éq en 2022 vs 3,67 TCO2éq en 2023
  • Empreinte 2022 compensée par la plantation de 19 arbres et d’achat de crédits carbone
  • 96% des activités de la SADC sont sans papier
  • Déménagement écoresponsable ayant généré 0,13 TCO2éq seront compensés

 

 

Citation de Mélissa Bergeron, directrice générale:

« Alors que nous célébrons le 40e anniversaire de la SADC de Papineau-Collines, nous sommes fiers de constater l’impact durable que nous avons eu sur le développement économique de notre région. Parmi les acteurs de l’écosystème entrepreneurial local, rares sont ceux qui peuvent revendiquer une telle longévité, ce qui démontre la pertinence et l’efficacité de notre organisme pour les entreprises locales.

Nous sommes particulièrement enthousiastes à l’idée de continuer à miser sur les jeunes entrepreneurs, qui représentent l’avenir de notre économie régionale. De plus, nous sommes épatés de constater la forte croissance de nos accompagnements auprès de femmes entrepreneures cette année. Cette augmentation remarquable montre l’importance de la place que prennent les cheffes d’entreprises sur notre territoire, et nous sommes ravis de soutenir cette dynamique positive. »

 

Consultez le Rapport annuel 2023-2024

 

À propos de la SADC de Papineau-Collines

La Société d’aide au développement de la collectivité (SADC) de Papineau est un organisme à but non lucratif qui offre depuis près de 40 ans des services financiers et techniques qui stimulent la création d’emplois et le développement économique des municipalités situées sur son territoire. Référence en matière d’entrepreneuriat en milieu rural, elle soutient la mise en œuvre d’initiatives locales et accompagne les organismes du milieu dans le déploiement de projets structurants. La SADC est membre du Réseau des SADC et CAE regroupant 57 SADC et 10 CAE qui travaillent à rendre les régions du Québec plus dynamiques.

Mobil’eau, unités mobiles d’eau potable et de lavage de vaisselle

La SADC du Kamouraska, en collaboration avec la SADC de la MRC de Rivière-du-Loup et Collectivités écologiques Bas-Saint-Laurent (Co-éco), met à la disposition des promoteurs d’événements extérieurs de la région deux unités mobiles de distribution d’eau potable et de lavage de vaisselle, afin de réduire l’utilisation de produits à usage unique lors d’activités telles que des festivals, fêtes municipales ou compétitions sportives, et d’améliorer, de manière plus globale, la gestion des matières résiduelles.  

Pour toute demande de réservation d’une unité Mobil’eau, veuillez remplir ce formulaire.  

Pour plus d’information sur le projet, communiquez avec Carole Corson 418 863-3336 | ccorson@sadckamouraska.com 

Un grand MERCI à :

Commanditaire majeur du projet Mobil’eau (Lire le communiqué)

Nouvelles nominations

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Québec, le 4 avril 2024 – Le Conseil d’administration du Réseau des SADC et CAE est heureux d’annoncer la nomination de Pascal Harvey à titre de président-directeur général et de Pierre-Olivier Colas à titre de directeur général adjoint de l’organisation. Ces nominations s’inscrivent dans le cadre de changements sur le plan de la gouvernance qui visent à donner un nouvel essor à notre réseau au sein de l’écosystème de développement économique au Québec.

« Je tiens à féliciter messieurs Harvey et Colas pour leur nomination. Alors que monsieur Harvey a occupé le titre de directeur général du Réseau ces trois dernières années, il a su exercer un leadership rassembleur marqué tant auprès des membres que du Conseil d’administration. Monsieur Colas a aussi fortement contribué au développement du Réseau, notamment grâce à l’implantation de programmes importants palliant différents enjeux économiques, notamment en tourisme, en développement durable et en numérique. Il a aussi accentué le développement de partenariats et de projets porteurs », a déclaré Vallier Daigle, président du Conseil d’administration.

Le Réseau des SADC et CAE étant fort actif, il compte sur une équipe solide qui s’agrandira également dans les prochaines semaines, puisque de nouveaux postes s’ouvrent afin de combler nos différents besoins internes de même que ceux de nos clientèles externes entrepreneurs et partenaires. Il compte aussi sur le travail, l’expertise et l’implication des 400 professionnels et 600 bénévoles qui sont au cœur de nos orientations et notre mission : être un acteur incontournable du développement économique local.

Pascal Harvey : président-directeur général du Réseau des SADC et CAE

Rappelons qu’en plus de ses expériences passées notamment à tire de directeur général de la SADC de Charlevoix et au sein de postes stratégiques dans la sphère politique, Pascal est un communicateur chevronné, qui a su mettre au profit de notre Réseau ses habiletés de leadership et de représentation publique. Aussi, amateur de sport et chroniqueur sportif à ses heures, il sait cerner les enjeux des équipes et les guider vers le succès.

« L’économie des régions du Québec peut compter sur les SADC et CAE. Grâce à l’intelligence collective de tous les employés et bénévoles qui gravitent au sein de notre Réseau et à notre ancrage dans toutes les régions du Québec, je souhaite que nous soyons encore plus présents pour répondre efficacement aux besoins des entrepreneurs et des collectivités », affirme M. Harvey.

Pierre-Olivier Colas : directeur général adjoint

Rassembleur, Pierre-Olivier a été consultant pendant près de dix ans en planification stratégique pour les entreprises et organismes de développement économique avant de se joindre au Réseau en 2019. Stratège d’expérience, il a su au cours des cinq dernières années mener à terme avec succès ses divers dossiers et mettre à profit son expertise pour accompagner et mobiliser les SADC et CAE du Québec vers un dynamisme renouvelé. Il est aussi titulaire d’une maîtrise en gestion et d’une spécialisation en développement durable.

« J’ai l’opportunité depuis plus de cinq ans de collaborer avec les 67 SADC et CAE et avec l’équipe du Réseau afin de développer les meilleures solutions pour accentuer la vitalité économique de nos régions. Le potentiel de ce grand Réseau est énorme et je suis fier d’y contribuer », affirme M. Colas.

À PROPOS DU RÉSEAU DES SADC ET CAE

Les 57 SADC (Sociétés d’aide au développement des collectivités) et les 10 CAE (Centres d’aide aux entreprises) travaillent depuis plus de 40 ans au développement économique de leur collectivité. Le Réseau des SADC et CAE compte plus de 1 000 professionnels et bénévoles qui soutiennent et financent chaque année plus de 10 000 entrepreneurs et 1 500 projets de développement économique local. Les SADC et les CAE offrent aux entrepreneurs un accompagnement personnalisé et soutenu, ainsi que des produits de financement souples et adaptés à leurs besoins.

Développement économique Canada pour les régions du Québec appuie financièrement les SADC et les CAE.

Suivez le Réseau sur les Facebook,

RENSEIGNEMENTS
Christine Pilote, Directrice des communications | Tél. : 581 999-6363 | cpilote@sadc-cae.ca

La SADC de la MRC de Rivière-du-Loup, 35 ans à s’investir auprès des entreprises et de la collectivité!

Rivière-du-Loup, 26 juin 2024 — La Société d’aide au développement des collectivités de la MRC de Rivière-du-Loup (SADC) a tenu son assemblée générale annuelle, le 26 juin dernier, présentant un bilan de ses activités pour l’année 2023-2024 fort positif. Cet évènement a été l’occasion de souligner le 35e anniversaire de l’organisme et ainsi mettre en lumière les réalisations remarquables de l’année écoulée.

Le dernier exercice est marqué par la poursuite des accompagnements personnalisés amenant les entreprises à adapter leur développement d’affaires aux différents enjeux et défis de l’entrepreneuriat en région, et ainsi, assurer leur succès.

Au cours de l’année 2023-2024, 827 222 $ ont été injectés dans le milieu par l’organisme dans les trois grandes lignes d’affaires de la SADC, soit le financement, l’aide technique aux entreprises ainsi que le soutien au développement économique local. Ce sont 116 projets qui ont été déployés et soutenus par l’équipe de la SADC au cours de la dernière année, ce qui a généré des retombées économiques de plus de 3 M$.    

De plus, le programme Virage Vert, concluant sa dernière année, a permis l’accompagnement par notre équipe de 7 projets en développement durable totalisant un investissement de 59 327 $. Ce programme permettait d’offrir de l’expertise spécialisée pour guider les entreprises et organisations régionales dans l’amélioration de leurs performances environnementales et économiques ou encore bénéficier d’un support pour la mise en œuvre de projets collectifs de développement durable.

La SADC de la MRC de Rivière-du-Loup offre également un service d’accompagnement aux entreprises souhaitant améliorer leurs pratiques en développement durable. Au cours de l’année, nous avons concrétisé l’embauche d’un conseiller en économie circulaire en partenariat avec la SADC du Kamouraska. Ce dernier a réalisé vingt rencontres individuelles en entreprise et continué de développer notre réseau d’entreprises maillées entre elles par des échanges de ressources (appelées synergies). Grâce à ces synergies, 593 tonnes de matières ont été échangées entre les 34 organisations participantes, et 587 tonnes ont été déviées de l’enfouissement, ce qui correspond à des économies réalisées par les organisations de plus de 75 000 $.

L’année 2023-2024 se conclut par la fin de l’entente quinquennale avec Développement économique Canada. Sur le plan du financement, il est important de souligner le renouvèlement de l’entente avec notre bailleur de fonds pour une nouvelle période de cinq ans. Cette entente apportera certaines nouveautés qui auront un impact positif pour le développement des entreprises du territoire tant au niveau du développement durable, de la relève que du développement du numérique.

À propos de la SADC de la MRC de Rivière-du-Loup

La SADC de la MRC de Rivière-du-Loup est un organisme de développement économique qui offre du financement et de l’accompagnement pour vos projets. Elle s’implique continuellement dans les projets de développement du milieu et apporte un soutien direct aux entrepreneurs, soit par les conseils en démarrage, le suivi ou le financement. Chaque entreprise bénéficie d’un accompagnement personnalisé répondant à sa réalité et à ses besoins.​ Que ce soit pour des besoins financiers ou techniques, l’équipe de la SADC de la MRC de Rivière-du-Loup vous offre l’appui nécessaire dans la réussite de votre projet entrepreneurial.

– 30 –

Source :
Marie-Josée Dorval
SADC de la MRC de Rivière-du-Loup
mjdorval@sadcmrcrdl.ca
418 867-4272 poste 202
https://www.sadcmrcriviereduloup.ca/

Le gouvernement du Canada réitère son engagement envers les SADC de la Gaspésie et des îles-de-la-Madeleine et investit 16M$

Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, le 25 juin 2024.  Les SADC de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine se réjouissent de l’annonce effectuée par l’honorable Soraya Martinez Ferrada, ministre du Tourisme et ministre responsable de Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC) le 14 juin dernier lors du 20e congrès annuel du Réseau des SADC et CAE, dévoilant les nouvelles ententes de contribution de cinq ans entre DEC ainsi que le Réseau et les 57 SADC (Sociétés d’aide au développement des collectivités) et 10 CAE (Centres d’aide aux entreprises) du Québec.

Des investissements totaux de 245 M$ permettront d’assurer le fonctionnement des 67 SADC et CAE du Québec et de leur réseau, en plus d’assurer la livraison équitable, à travers les régions rurales et semi-urbaines du Québec, des principales lignes d’affaires, soit le développement économique local, l’accompagnement et le financement aux entrepreneurs dans les milieux ruraux et semi-urbains. Plus précisément en Gaspésie et aux Îles-de-la-Madeleine, les SADC de Baie-des-Chaleurs, de Gaspé, de la Haute-Gaspésie, de Rocher-Percé et des Îles-de-la-Madeleine pourront compter sur des investissements de 16 M$. Les SADC et CAE renforceront également leurs interventions locales, notamment en accentuant leurs actions pour répondre aux enjeux économiques actuels des entrepreneurs.

« Les régions du Québec rencontrent des défis économiques qui leur sont propres et les SADC et CAE sont là pour les aider à les relever. Nous avons de l’ambition pour nos régions et avec notre principal partenaire d’affaires Développement économique Canada pour les régions du Québec, ainsi qu’en complémentarité avec les partenaires du milieu, nous continuerons à propulser les projets collectifs et d’affaires vers la réussite », affirme Aurèle Doucet représentant de la région au CA du Réseau.

 

Des investissements ciblés pour répondre aux enjeux des entrepreneurs

Ce nouvel accord conclu avec le gouvernement du Canada permettra aux SADC et CAE de créer de nouveaux produits financiers pour aider les entrepreneurs à répondre à leurs enjeux économiques prioritaires tels que la transition verte et numérique, ainsi qu’aux défis liés au transfert d’entreprise et à l’entrepreneuriat jeunesse. Ces investissements représentent 600 000 $ pour chacune des SADC de la région.

Notons que ces fonds proviennent des remboursements des entrepreneurs ayant bénéficiés de prêts via le Fonds d’aide et de relance régionale – un fonds mis en place en 2020 par le gouvernement du Canada en réponse aux défis reliés à la crise sanitaire.

 

Du financement pour renforcer nos interventions locales et compter sur un vaste Réseau d’expertise national

Toujours à partir des retours du Fonds d’aide et de relance régionale, une enveloppe de 28 M$ permettra également à chaque SADC et CAE, ainsi qu’au Réseau de renforcer leur capacité d’intervention. Principalement, chaque SADC et CAE aura accès à des fonds supplémentaires de 335 000 $ pour accentuer ses interventions en développement économique local et en aide technique aux entrepreneurs. Une enveloppe sera aussi allouée au Réseau afin de renforcer son rôle-conseil et d’offrir plus de services aux 67 SADC et CAE, notamment par l’embauche de nouvelles ressources partagées et un appui accru dans l’optimisation de leurs processus d’affaires.

« Les SADC et CAE font une réelle différence dans nos collectivités et nos entreprises partout au Québec. DEC est fier de pouvoir compter sur le Réseau et ses membres, véritables partenaires clés, pour la prospérité de nos régions et de leurs entreprises depuis maintenant 29 ans. Bravo aux professionnel.le.s et bénévoles qui veillent de si près aux besoins de l’écosystème entrepreneurial dans chacune des régions du Québec. »

L’honorable Soraya Martinez Ferrada, ministre du Tourisme et ministre responsable de DEC

 

En somme, ces nouvelles ententes permettront aux SADC et CAE de poursuivre leur mission au sein de leurs milieux tout en comptant sur l’expertise d’un vaste Réseau national au bénéfice des collectivités et des entrepreneurs. Une action compétente, personnalisée et humaine qui contribue véritablement au développement, au succès et ultimement à la survie des entreprises, comme en témoigne Pierre Dugas, propriétaire de Transports Jos Dugas et Fils inc de Nouvelle : « La SADC a été un plus, nous avons pu faire l’acquisition d’autres entreprises de transport et prendre de l’expansion, acquérir des autobus électriques avec des taux d’intérêt qui sont avantageux.  De plus, nous avons apprécié l’accompagnement offert afin de réaménager les tâches en fonction des nouveaux besoins liés à l’expansion ».

 

Quelques impacts des SADC et CAE au sein de l’économie québécoise

Les investissements au sein des SADC et CAE rapportent! Selon une étude réalisée par Aviseo Conseil pour la période 2019 à 2023, les SADC et CAE ont engendré une augmentation du PIB réel du Québec de 458 M$ dont 85 M$ découlent de nos investissements en prêts et 273 M$ sont générés par l’augmentation du taux de survie après cinq ans des entreprises accompagnées par les SADC et CAE. Rappelons qu’une étude de Statistique Canada démontre que ce taux est plus que le double chez nos clientèles.

 

À propos du Réseau des SADC et CAE

Le Réseau des SADC (Sociétés d’aide au développement des collectivités) et CAE (Centres d’aide aux entreprises) regroupe 57 SADC et 10 CAE qui travaillent depuis plus de 35 ans au développement économique de leur collectivité. Ce sont plus de 1 000 professionnels et bénévoles qui soutiennent et financent chaque année plus de 10 000 entrepreneurs et 1 000 projets de développement économique local. www.sadc-cae.ca

 

Le Programme de développement des collectivités (PDC)

Ce programme pancanadien soutient le développement économique local et renforce la capacité des collectivités à réaliser leur plein potentiel de façon durable. Ce programme a comme principaux objectifs :

  • la stabilité, la croissance économique et la création d’emplois;
  • des économies locales diversifiées et concurrentielles en milieu rural;
  • le développement de collectivités durables.

Par ce programme, DEC soutient financièrement les SADC et CAE qui travaillent au développement des collectivités dans les régions du Québec.

 

RENSEIGNEMENTS ET DEMANDES D’ENTREVUES

Réseau des SADC et CAE

Christine Pilote, directrice des communications, 581 999-6363, cpilote@sadc-cae.ca

SADC de Baie-des-Chaleurs

Lyne Lebrasseur, directrice générale, 418 759-1555 poste 222, llebrasseur@sadcbc.ca

SADC du Rocher-Percé

Maryse Lelièvre, directrice générale, 418 689-5699 poste 202, mlelievre@sadcrp.ca

SADC de Gaspé

Dave Lavoie, directeur général, 418 368-2906 poste 5, directeur@sadcgaspe.com

SADC de la Haute-Gaspésie

Richard Marin, directeur général, 418 763-5355 poste 225, rmarin@sadchautegaspesie.com

SADC des Îles-de-la-Madeleine

Daniel Gaudet, directeur général, 418 986-4601 poste 223, dgaudet@sadcdesiles.com

Une année bien remplie sous le thème du renouveau pour la SADC du Kamouraska

La Pocatière, le 19 juin 2024 – La Société d’aide au développement de la collectivité (SADC) du Kamouraska a tenu son assemblée générale annuelle le 19 juin 2024 devant une trentaine de membres et partenaires réunis au Motel Le Martinet de La Pocatière. Ce fut l’occasion de présenter les résultats des interventions portées auprès des entreprises et de la collectivité, au cours l’année 2023-2024.

C’est avec fierté que le président, M. Olivier Lambert, a tenu à souligner que la SADC a généré cette année encore des retombées économiques concrètes et importantes pour le développement du Kamouraska, en accompagnant techniquement et financièrement toujours plus d’entreprises et d’organismes. M. Lambert, qui en était à sa 1re année à la présidence du conseil d’administration, a également mentionné que quatre dossiers majeurs ont marqué 2023-2024, c’est-à-dire le renouvellement des ententes avec Développement économique Canada, la démarche de planification stratégique de l’organisme, l’adoption d’une nouvelle structure salariale et la relocalisation des bureaux dans un nouvel édifice, toujours à La Pocatière.

L’accompagnement avant tout

Les trois grandes lignes d’affaires de la SADC, que sont le financement, l’aide technique aux entreprises et le soutien au développement économique local, ont permis d’engager en 2023-2024 des investissements de 846 348 $ dans les entreprises et organismes du Kamouraska, et ce, malgré le contexte économique difficile. Au total, ce sont 48 interventions différentes qui ont été déployées et soutenues par l’équipe.

Le Fonds d’investissement jeunesse a toujours le vent dans les voiles grâce à ses avantages indéniables pour les entrepreneurs de 18 à 39 ans. Quinze des dix-huit prêts déboursés dans la dernière année proviennent de ce Fonds.

Des projets majeurs continuent également d’être portés par la SADC, notamment le service de mentorat pour entrepreneurs, des activités de développement des compétences, la démarche d’économie circulaire du Kamouraska et des actions en développement durable comme le projet Mobil’eau.

« Au terme de notre planification stratégique 2019-2024 où la SADC s’était dotée de la vision d’être un acteur incontournable, nous sommes assez confiants d’affirmer que nous y sommes parvenus. Nous avons un impact positif dans notre milieu en investissant beaucoup de temps et d’énergie auprès de promoteurs dans la réflexion, l’élaboration et la planification de leur projet. Notre force d’impact est sans aucun doute notre équipe stable et professionnelle aux compétences diversifiées, reconnue pour son expertise et son engagement. Notre planification stratégique 2024-2029 nous permettra d’aller encore plus loin en agissant davantage comme partenaire de changement qui mise sur le capital humain pour développer un Kamouraska durable. » de préciser la directrice générale, Mme Anik Briand.

Faits saillants en bref de l’année 2023-2024 issus du rapport annuel :

  • 846 348 $ d’engagés, 651 000 $ de déboursés
  • 48 interventions : 18 projets d’entreprises (651 000 $), 23 projets de développement économique local (162 011 $) et 7 contributions non remboursables (18 337 $)
  • 5,5 millions $ de retombées économiques globales et 97 emplois soutenus
  • 1 840 heures d’accompagnement, 560 heures d’implication et 633 heures de bénévolat

Rappelons que la SADC du Kamouraska, en tant que créatrice de valeur, a pour mission de stimuler le développement de son territoire d’une façon durable en accompagnant les entrepreneurs et les acteurs du milieu dans leurs projets par son expertise et ses outils financiers.

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Source :

Anik Briand, directrice générale, SADC du Kamouraska : 418 856-3482 poste 110 | abriand@sadckamouraska.com

Sur la photo : Mme Anik Briand, directrice générale et M. Oliver Lambert, président de la SADC du Kamouraska.

DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE LOCAL : Le gouvernement du Canada réitère son engagement envers les SADC du BSL

DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE LOCAL : Le gouvernement du Canada réitère son engagement envers les SADC du Bas-Saint-Laurent et investit 25,7 M$

Rivière-du-Loup, Québec, le 18 juin 2024 – Les SADC du Bas-Saint-Laurent soulignent l’annonce effectuée par l’honorable Soraya Martinez Ferrada, ministre du Tourisme et ministre responsable de Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC) lors du 20e congrès annuel du Réseau des SADC et CAE, dévoilant les nouvelles ententes de contribution de cinq ans entre DEC, ainsi que le Réseau et les 57 SADC (Sociétés d’aide au développement des collectivités) et 10 CAE (Centres d’aide aux entreprises) du Québec.

Des investissements totaux de 245 M$ permettront d’assurer le fonctionnement des 67 SADC et CAE du Québec et de leur réseau, en plus d’assurer la livraison équitable, à travers les régions rurales et semi-urbaines du Québec, des principales lignes d’affaires, soit le développement économique local, l’accompagnement et le financement aux entrepreneurs.

Plus précisément au Bas-Saint-Laurent, les SADC des Basques, du Kamouraska, de la Mitis, de la Neigette, de la Matapédia, de la MRC de Rivière-du-Loup, de la région de Matane et du Témiscouata pourront compter sur des investissements de 25,7 millions de dollars. Les SADC renforceront également leurs interventions locales, notamment en accentuant leurs actions pour répondre aux enjeux économiques actuels des entrepreneurs.

« Les régions du Québec rencontrent des défis économiques qui leur sont propres et les SADC du Bas-Saint-Laurent sont là pour les aider à les relever. Nous avons de l’ambition pour nos régions et avec notre principal partenaire d’affaires Développement économique Canada pour les régions du Québec, ainsi qu’en complémentarité avec les partenaires du milieu, nous continuerons à propulser les projets collectifs et d’affaires vers la réussite », affirme Monsieur Jean-Yves Roy, représentant de la région au conseil d’administration du Réseau.

DES INVESTISSEMENTS CIBLES POUR RÉPONDRE AUX ENJEUX DES ENTREPRENEURS

Ce nouvel accord conclu avec le gouvernement du Canada permettra aux SADC et CAE de créer de nouveaux produits financiers pour aider les entrepreneurs à répondre à leurs enjeux économiques prioritaires tels que la transition verte et numérique, ainsi qu’aux défis liés au transfert d’entreprise et à l’entrepreneuriat jeunesse. Ces investissements représentent 600 000 $ pour chacune des SADC de la région.

Notons que ces fonds proviennent des remboursements des entrepreneurs ayant bénéficié de prêts via le Fonds d’aide et de relance régionale (FARR), un fonds mis en place en 2020 par le gouvernement du Canada en réponse aux défis reliés à la crise sanitaire.

DU FINANCEMENT POUR RENFORCER NOS INTERVENTIONS LOCALES ET COMPTER SUR UN VASTE RÉSEAU D’EXPERTISE NATIONAL

Toujours à partir des retours du Fonds d’aide et de relance régionale, une enveloppe de 28 M$ permettra également à chaque SADC et CAE, ainsi qu’au Réseau de renforcer leur capacité d’intervention. Principalement, chaque SADC et CAE aura accès à des fonds supplémentaires de 335 000 $ pour accentuer ses interventions en développement économique local, en aide technique aux entrepreneurs et pour consolider l’expertise de leur équipe. Une enveloppe sera aussi allouée au Réseau afin de renforcer son rôle-conseil et d’offrir plus de services aux 67 SADC et CAE, notamment par l’embauche de nouvelles ressources partagées et un appui accru dans l’optimisation de leurs processus d’affaires.

« Les SADC et CAE font une réelle différence dans nos collectivités et nos entreprises partout au Québec. DEC est fier de pouvoir compter sur le Réseau et ses membres, véritables partenaires clés, pour la prospérité de nos régions et de leurs entreprises depuis maintenant 29 ans. Bravo aux professionnel.le.s et bénévoles qui veillent de si près aux besoins de l’écosystème entrepreneurial dans chacune des régions du Québec. » L’honorable Soraya Martinez Ferrada, ministre du Tourisme et ministre responsable de DEC

En somme, ces nouvelles ententes permettront aux SADC et CAE de poursuivre leur mission au sein de leurs milieux tout en comptant sur l’expertise d’un vaste Réseau national au bénéfice des collectivités et des entrepreneurs. Une action compétente, personnalisée et humaine qui contribue véritablement au développement, au succès et ultimement à la survie des entreprises, comme en témoigne Pascale St-Amand, propriétaire de la Crèmerie du Potager à L’Isle-Verte près de Rivière-du-Loup : « J’ai trouvé du financement à la SADC, mais surtout, j’ai pu compter sur un accompagnement bienveillant. J’ai été impressionnée par la vision globale de ma conseillère, Sylvie, qui a su m’ouvrir une foule de pistes de solutions pour mon projet d’affaires. »

QUELQUES IMPACTS DES SADC ET CAE AU SEIN DE L’ÉCONOMIE QUÉBÉCOISE

Les investissements au sein des SADC et CAE rapportent! Selon une étude réalisée par Aviseo Conseil pour la période 2019 à 2023, les SADC et CAE ont engendré une augmentation du PIB réel du Québec de 458 M$ dont 85 M$ découlent de nos investissements en prêts et 273 M$ sont générés par l’augmentation du taux de survie après cinq ans des entreprises accompagnées par les SADC et CAE. Rappelons qu’une étude de Statistique Canada démontre que ce taux est plus que le double chez nos clientèles.

À PROPOS DES SADC DU BAS-SAINT-LAURENT

Les huit SADC du Bas-Saint-Laurent font partie du Réseau des SADC et CAE qui englobe 67 SADC et CAE (Centre d’aide aux entreprises) réparties à travers l’ensemble du Québec. Depuis 40 ans, les SADC du Bas-Saint-Laurent livrent une offre de service complète, soit le développement économique local, l’accompagnement et le financement aux entreprises. Les SADC du Bas-Saint-Laurent comptent plus de 110 professionnels et bénévoles qui contribuent à la stabilité et la compétitivité des entreprises, favorisent la création d’emplois et soutiennent la rétention des populations au sein de leur territoire. Développement économique Canada pour les régions du Québec appuie financièrement les SADC du Bas-Saint-Laurent.

LE PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT DES COLLECTIVITÉS (PDC)

Ce programme pancanadien soutient le développement économique local et renforce la capacité des collectivités à réaliser leur plein potentiel de façon durable. Ce programme a comme principaux objectifs :

· la stabilité, la croissance économique et la création d’emplois;

· des économies locales diversifiées et concurrentielles en milieu rural;

· le développement de collectivités durables.

Par ce programme, DEC soutient financièrement les SADC et CAE qui travaillent au développement des collectivités dans les régions du Québec.

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RENSEIGNEMENTS

Anik Briand, directrice générale

SADC du Kamouraska

418 856-3482 poste 110 | abriand@sadckamouraska.com

DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE LOCAL : LE GOUVERNEMENT DU CANADA RÉITÈRE SON ENGAGEMENT ENVERS LES SADC DU BSL

DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE LOCAL : Le gouvernement du Canada réitère son engagement envers les SADC du Bas Saint Laurent et investit 25,7 M$

Rivière-du-Loup, Québec, le 17 juin 2024 – Les SADC du Bas-Saint-Laurent soulignent l’annonce effectuée par l’honorable Soraya Martinez Ferrada, ministre du Tourisme et ministre responsable de Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC) lors du 20e congrès annuel du Réseau des SADC et CAE, dévoilant les nouvelles ententes de contribution de cinq ans entre DEC ainsi que le Réseau et les 57 SADC (Sociétés d’aide au développement des collectivités) et 10 CAE (Centres d’aide aux entreprises) du Québec.

Des investissements totaux de 245 M$ permettront d’assurer le fonctionnement des 67 SADC et CAE du Québec et de leur réseau, en plus d’assurer la livraison équitable, à travers les régions rurales et semi-urbaines du Québec, des principales lignes d’affaires, soit le développement économique local, l’accompagnement et le financement aux entrepreneurs.

Plus précisément au Bas-St-Laurent, les SADC des Basques, du Kamouraska, de la Mitis, de la Neigette, de la Matapédia, de la MRC de Rivière-du-Loup, de la région de Matane et du Témiscouata pourront compter sur des investissements de 25,7 millions de dollars. Les SADC renforceront également leurs interventions locales, notamment en accentuant leurs actions pour répondre aux enjeux économiques actuels des entrepreneurs.

« Les régions du Québec rencontrent des défis économiques qui leur sont propres et les SADC du Bas-St-Laurent sont là pour les aider à les relever. Nous avons de l’ambition pour nos régions et avec notre principal partenaire d’affaires Développement économique Canada pour les régions du Québec, ainsi qu’en complémentarité avec les partenaires du milieu, nous continuerons à propulser les projets collectifs et d’affaires vers la réussite », affirme Monsieur Jean-Yves Roy, représentant de la région au conseil d’administration du Réseau.

DES INVESTISSEMENTS CIBLES POUR RÉPONDRE AUX ENJEUX DES ENTREPRENEURS
Ce nouvel accord conclu avec le gouvernement du Canada permettra aux SADC et CAE de créer de nouveaux produits financiers pour aider les entrepreneurs à répondre à leurs enjeux économiques prioritaires tels que la transition verte et numérique, ainsi qu’aux défis liés au transfert d’entreprise et à l’entrepreneuriat jeunesse. Ces investissements représentent 600 000 $ pour chacune des SADC de la région.

Notons que ces fonds proviennent des remboursements des entrepreneurs ayant bénéficié de prêts via le Fonds d’aide et de relance régionale (FARR), un fonds mis en place en 2020 par le gouvernement du Canada en réponse aux défis reliés à la crise sanitaire.

DU FINANCEMENT POUR RENFORCER NOS INTERVENTIONS LOCALES ET COMPTER SUR UN VASTE RÉSEAU D’EXPERTISE NATIONAL
Toujours à partir des retours du Fonds d’aide et de relance régionale, une enveloppe de 28 M$ permettra également à chaque SADC et CAE, ainsi qu’au Réseau de renforcer leur capacité d’intervention. Principalement, chaque SADC et CAE aura accès à des fonds supplémentaires de 335 000 $ pour accentuer ses interventions en développement économique local, en aide technique aux entrepreneurs et pour consolider l’expertise de leur équipe. Une enveloppe sera aussi allouée au Réseau afin de renforcer son rôle-conseil et d’offrir plus de services aux 67 SADC et CAE, notamment par l’embauche de nouvelles ressources partagées et un appui accru dans l’optimisation de leurs processus d’affaires.

« Les SADC et CAE font une réelle différence dans nos collectivités et nos entreprises partout au Québec. DEC est fier de pouvoir compter sur le Réseau et ses membres, véritables partenaires clés, pour la prospérité de nos régions et de leurs entreprises depuis maintenant 29 ans. Bravo aux professionnel.le.s et bénévoles qui veillent de si près aux besoins de l’écosystème entrepreneurial dans chacune des régions du Québec. »
L’honorable Soraya Martinez Ferrada, ministre du Tourisme et ministre responsable de DEC

En somme, ces nouvelles ententes permettront aux SADC et CAE de poursuivre leur mission au sein de leurs milieux tout en comptant sur l’expertise d’un vaste Réseau national au bénéfice des collectivités et des entrepreneurs. Une action compétente, personnalisée et humaine qui contribue véritablement au développement, au succès et ultimement à la survie des entreprises, comme en témoigne Pascale St-Amand, propriétaire de la Crèmerie du Potager à L’Isle-Verte près de Rivière-du-Loup : « J’ai trouvé du financement à la SADC, mais surtout, j’ai pu compter sur un accompagnement bienveillant. J’ai été impressionnée par la vision globale de ma conseillère, Sylvie, qui a su m’ouvrir une foule de pistes de solutions pour mon projet d’affaires.»

QUELQUES IMPACTS DES SADC ET CAE AU SEIN DE L’ÉCONOMIE QUÉBÉCOISE
Les investissements au sein des SADC et CAE rapportent! Selon une étude réalisée par Aviseo Conseil pour la période 2019 à 2023, les SADC et CAE ont engendré une augmentation du PIB réel du Québec de 458 M$ dont 85 M$ découlent de nos investissements en prêts et 273 M$ sont générés par l’augmentation du taux de survie après cinq ans des entreprises accompagnées par les SADC et CAE. Rappelons qu’une étude de Statistique Canada démontre que ce taux est plus que le double chez nos clientèles.

À PROPOS DES SADC DU BAS-SAINT-LAURENT
Les huit SADC du Bas-Saint-Laurent font partie du Réseau des SADC et CAE qui englobe 67 SADC et CAE (Centre d’aide aux entreprises) réparties à travers l’ensemble du Québec. Depuis 40 ans, les SADC du Bas-Saint-Laurent livrent une offre de service complète, soit le développement économique local, l’accompagnement et le financement aux entreprises. Les SADC du Bas Saint Laurent comptent plus de 110 professionnels et bénévoles qui contribuent à la stabilité et la compétitivité des entreprises, favorisent la création d’emplois et soutiennent la rétention des populations au sein de leur territoire. Développement économique Canada pour les régions du Québec appuie financièrement les SADC du Bas-Saint-Laurent.

LE PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT DES COLLECTIVITÉS (PDC)
Ce programme pancanadien soutient le développement économique local et renforce la capacité des collectivités à réaliser leur plein potentiel de façon durable. Ce programme a comme principaux objectifs :
• la stabilité, la croissance économique et la création d’emplois;
• des économies locales diversifiées et concurrentielles en milieu rural;
• le développement de collectivités durables.

Par ce programme, DEC soutient financièrement les SADC et CAE qui travaillent au développement des collectivités dans les régions du Québec.

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RENSEIGNEMENTS
Marie-Josée Dorval
Directrice générale
SADC de la MRC de Rivière-du-Loup
Téléphone : 418 867-4272
Courriel : mjdorval@sadcmrcrdl.ca

40 ans à bâtir demain, ensemble ! La SADC de Baie-des-Chaleurs a injecté plus de 33 millions dans l’économie locale

Maria, le 12 juin 2024. — La SADC de Baie-des-Chaleurs a souligné les 40 ans de l’organisme lors de son assemblée générale annuelle (AGA) tenue le 5 juin 2024 à la Microbrasserie Bistro La belle aventure de Bonaventure. Depuis 1984, elle a injecté dans la région plus de 33 millions dans des entreprises et projets pour 233 M$ de retombées dans le milieu.

 

Le président de la SADC de Baie-des-Chaleurs, Charles Guérette, a souligné dans le cadre des festivités entourant le 40e anniversaire, la mise en place d’un projet de plantation d’arbres fruitiers en collaboration avec deux organismes communautaires de la région soit : la Source Alimentaire Bonavignon, à Maria et le Collectif Aliment-Terre, à Paspébiac. Des démarches pour le secteur Avignon Ouest sont également en cours pour la concrétisation d’un projet similaire. Cette initiative permettra de planter différentes variétés d’arbres fruitiers dans les jardins collectifs et communautaires de ces organismes. À maturité, ces arbres fourniront une variété de fruits à leurs bénéficiaires. « En tant que SADC, notre vision est d’avoir un impact positif sur la vitalité des communautés et le projet de plantation d’arbres fruitiers est notre façon de dire merci au milieu et de laisser un legs positif pour les années à venir. De plus, nous souhaitons que cette initiative inspire d’autres à faire comme nous et à soutenir la collectivité. » mentionne-t-il.

Au cours de l’année 2023-2024, plus de 1,5 M$ ont été injectés dans le milieu par l’organisme dans les trois grandes lignes d’affaires de la SADC, soit le financementl’aide technique aux entreprises ainsi que le soutien au développement économique local. Ce sont 101 interventions qui ont été déployées et soutenues par l’équipe de la SADC au cours de la dernière année, ce qui a généré des retombées économiques de plus de 11,9 M$.

Cette année se conclut par la fin de l’entente quinquennale avec Développement économique Canada. Sur le plan du financement, il est important de souligner le renouvellement de l’entente avec notre bailleur de fonds pour une nouvelle période de cinq ans. Cette entente apportera certaines nouveautés qui auront un impact positif pour le développement des entreprises du territoire tant au niveau du développement durable, de la relève que du développement du numérique.

Alors que plusieurs localités du Québec peinent à trouver des releveurs d’entreprises, la Baie-des-Chaleurs se distingue par une relève généralement présente. « Le dynamisme du repreneuriat dans la Baie-des-Chaleurs nous a permis de soutenir la transition de plusieurs organisations. En effet, c’est 44 projets qui se sont concrétisés au cours des 5 dernières années alors que l’on comptait 23 projets pour les 5 années précédentes, ce qui représente près du double de projets », souligne la directrice générale, Lyne Lebrasseur, qui rappelle que le programme Stratégie Jeunesse qui soutient les promoteurs âgés de 39 ans et moins dans leur projet d’affaires est particulièrement bien adapté aux cas de relève d’entreprise.

Pour le plan d’action de la prochaine année, la SADC s’efforcera d’intégrer encore plus pleinement les enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance dans ses politiques et dans son processus d’analyse des dossiers. Elle compte ainsi valoriser les investissements responsables tout en offrant un accompagnement en développement durable. De plus, elle offrira une 13e édition du Colloque RH qui aura lieu le 6 novembre. Ces activités seront offertes en continuité avec les actions de financement, d’accompagnement et de développement local.

 

La SADC au fil des ans

La SADC de Baie-des-Chaleurs compte sur 211 membres pour contribuer au développement d’une vision d’avenir de son milieu et permet ainsi la création, la consolidation ainsi que le développement des entreprises et des emplois sur le territoire. Depuis 40 ans, l’organisation a injecté plus de 33 M$ dans l’économie régionale, générant des retombées de près de 233 M$ dans la collectivité. Info et adhésion sadcbc.ca

 

Le rapport annuel intégral est disponible à sadcbc.ca, section « Rapport annuel », sous « Votre SADC ».

 

Faits saillants de l’année 2023-2024

  • Plus de 1,5 million d’investis
  • 23 interventions en prêts (919 549 $), 78 en contributions non remboursables (588 817 $)
  • 30 % projets d’acquisition
  • 136 emplois soutenus
  • 11,9 M$ retombées économiques
  • 211 membres

 

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Renseignements et demandes d’entrevues :

Charles Guérette, président, 418 788-5758 | charlesguerette@gmail.com

Lyne Lebrasseur, directrice générale, 418 759-1555, poste 222 | llebrasseur@sadcbc.ca

Portrait d’entreprise – Casse-croûte Mam’zelle Maria

Reprendre une entreprise existante est déjà un défi en soi, reprendre en couple et avec une jeune famille une entreprise qui a bâti une réputation vieille de plus de 30 ans en est un encore plus grand. C’est le défi qu’ont décidé de relever en 2023 Alex Mercier et Catherine Rouleau-Girard, en faisant l’acquisition du Casse-croûte Mam’zelle Maria. Rencontre avec ces deux nouveaux entrepreneurs passionnés, qui se sont donné pour mission de continuer à faire évoluer le Mam’zelle Maria, en adéquation avec son histoire et les entrepreneurs qui les ont précédés.

 

L’entreprise, en bref
Le Mam’zelle Maria est un casse-croûte saisonnier situé à Maria, qui offre depuis plus de 35 ans un service de restauration rapide à la population locale et aux visiteurs. Son offre se décline en deux principaux menus : le menu casse-croûte, avec ses poutines, pizzas, burgers et clubs sandwichs, et le menu bar laitier, avec ses crèmes molles, sundaes et autres desserts glacés. Le casse-croûte possède 44 places assises à l’intérieur et près de 80 à l’extérieur, ce qui en fait un incontournable, beau temps, mauvais temps.
 
En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?
Si la réputation du Mam’zelle Maria n’est plus à faire, c’est notamment parce que l’entreprise cuisine sur place une grande partie des mets offerts sur son menu. « Quand on a acheté l’entreprise, on ne savait pas à quel point il y a beaucoup de choses qui sont faites maison, ici. Par exemple, on épluche les patates et on les tranche nous-mêmes. On reçoit le poulet entier et on le transforme. Je pense que c’est ce qui fait réellement notre marque de commerce » explique Catherine. L’entreprise mise également sur plusieurs partenariats avec des producteurs locaux. « On achète nos patates de la ferme Patasol, nos fraises de la Ferme Bourdages, plusieurs de nos poissons et de nos fruits de mer chez Raymer. On a un nouveau partenariat avec Chaleur B Chocolat pour un trempage à crème molle. On reste toujours très ouverts aux collaborations locales qu’on pourrait venir ajouter. »

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?
Si à première vue, le jeune couple ne semblait pas destiné à l’entrepreneuriat, Catherine est psychoéducatrice et Alex électricien, ils avaient pourtant mis toutes les chances de leur côté dans les dernières années afin que l’entrepreneuriat vienne à eux. « Tout le monde autour de moi savait que je voulais me lancer en affaires. C’était connu, même si ce n’était pas marqué sur mon Facebook ! », raconte Alex en riant. « Quand quelqu’un a entendu dire que le Mam’zelle allait être à vendre, la puce m’a été mise à l’oreille et on s’est informés. Tout a déboulé rapidement ensuite. »

Pendant qu’Alex retrouve dans l’entrepreneuriat un aspect familial puisqu’il a grandi dans une famille d’entrepreneurs, Catherine retrouve de son côté un niveau d’intensité qu’elle avait perdu depuis quelques années : « Quand je suis venu m’établir en Gaspésie, je ne retrouvais pas l’adrénaline que j’avais déjà eue dans mes emplois précédents. Quand l’opportunité de reprendre le Mam’zelle s’est offerte à nous, j’ai retrouvé ce niveau d’adrénaline qui me fait réellement me sentir sur mon X. » explique Catherine.

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?
Catherine et Alex ont obtenu de l’aide financière de la SADC grâce au Fonds Stratégie jeunesse, ce qui leur a permis de bénéficier d’un congé d’intérêt d’une durée de 24 mois et de compléter le financement nécessaire au transfert de l’entreprise. « L’aide de la SADC a été pour nous une très bonne source de financement complémentaire, à très faible pourcentage. Tout a été simple et on s’est senti soutenu par la SADC tout au long du processus de transfert », explique Alex.

Parlez-nous d’un « bon coup » en matière de développement durable.
L’entreprise avait déjà amorcé une réflexion sur son impact environnemental dans les dernières années, et les nouveaux entrepreneurs souhaitent poursuivre sur cette lancée avec leur arrivée. « On veut voir comment on peut continuer de réduire l’impact des déchets produits par le casse-croûte. On a déjà entrepris de petits changements cette année, par exemple, on a remplacé les fourchettes en plastique par des fourchettes en bois. Prochainement, tous nos emballages vont devenir soit compostables, soit recyclables. », explique Catherine. L’écoute de leurs employés et de leurs clients est également une valeur très importante pour les jeunes entrepreneurs : « On essaie le plus possible d’être à l’écoute. Alex et moi on met des heures et des heures dans l’entreprise. On est très souvent là, pour ne pas dire tout le temps là. Je pense que les clients et les employés le ressentent » ajoute Catherine.
 
Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?
« En tant qu’entrepreneur qui reprend une entreprise existante, prends le temps de regarder quelles sont les forces et les défis de ton entreprise. Prends ce temps-là. Ne change pas tout en arrivant dans l’entreprise. Les anciens entrepreneurs ont travaillé immensément fort, ils n’ont pas travaillé fort pour rien. On a fait ça pour notre première année. On n’a rien changé, on a juste observé, on s’est imprégné des façons de faire. Après tu peux réellement évaluer ce qui peut être amélioré. » Un excellent conseil de Catherine pour les repreneurs, qui seront appelés à être de plus en plus nombreux dans les prochaines années.

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À propos de Catherine et Alex
Après avoir fait des carrières respectivement en tant que psychoéducatrice et qu’électricien, Catherine et Alex ont décidé de laisser leur emploi pour se lancer en affaires, en couple. Ils sont copropriétaires depuis 2023 du Casse-croûte Mam’zelle Maria. Leur parcours a d’ailleurs été souligné récemment, en étant finalistes pour la catégorie Transmission et relève d’entreprise lors du Gala 2023 de la Chambre de commerce et d’industrie Baie-des-Chaleurs.

Portrait d’entreprise – Sports Experts Bonaventure

Le parcours entrepreneurial d’Émilie Chicoine a de quoi surprendre, pourtant, elle a toujours eu en elle cette passion contagieuse de l’entrepreneuriat. Rencontre avec celle qui a osé faire place à l’entrepreneure en elle en procédant à l’acquisition du Sports Experts de Bonaventure en 2022, et ainsi, fait vivre ses valeurs communautaires et sportives.

 

L’entreprise, en bref

Le Sports Experts Bonaventure est un commerce de détail spécialisé dans la vente de vêtements, de chaussures et d’équipements de sport de marques renommées et exclusives à des prix concurrentiels. Il offre une vaste gamme d’articles qui permet à la clientèle locale de pratiquer différents sports tels que le hockey, le soccer, le baseball, la natation, le volley-ball et le tennis.

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?

Si la bannière Sports Experts est généralement bien connue pour la vente au détail, les gens ne savent peut-être pas qu’une des forces de l’entreprise est la vente Business-to-Business (B2B). « On fait de plus en plus de marchandises personnalisées pour les équipes sportives, par exemple, des chandails, des casquettes et différents articles promotionnels sur mesure. Depuis cette année, on vend d’ailleurs en magasin les articles de l’équipe de hockey mineur de Bonaventure, les Cayens », explique avec fierté Émilie.

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?

Émilie a toujours su qu’elle avait la fibre de l’entrepreneuriat, mais elle n’avait pas encore trouvé le bon projet pour elle. C’est finalement son audace qui lui aura permis de tomber sur la bonne opportunité. « Je n’avais jamais entendu dire que le Sports Experts était à vendre. J’ai appelé le propriétaire et je lui ai dit ¨C’est Émilie. J’aimerais te rencontrer! ¨. » Sans le savoir encore, c’était le début d’une histoire de relève. « Je suis venu le rencontrer. On avait la même vision. Tout s’est imbriqué rapidement. En juin 2022, je devenais copropriétaire. En juin 2023, je devenais propriétaire à 100%. » Un jumelage parfait pour Émilie. « Je suis sportive, je suis impliquée dans la communauté, je pratique plusieurs sports, je ne pouvais pas mieux tomber! » souligne la jeune entrepreneure, le sourire aux lèvres.

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

Le Sports Experts Bonaventure a obtenu de l’aide financière grâce au Fonds d’investissement et au Fonds Stratégie jeunesse de la SADC Baie-des-Chaleurs, ce qui a permis à Émilie de compléter le financement nécessaire à l’acquisition. « Ce que j’ai particulièrement apprécié de la SADC, c’est l’ouverture de l’équipe envers mon projet. À partir du moment où j’ai déposé ma demande, le traitement a été simple et rapide. »

Parlez-nous d’un « bon coup » en matière de développement durable.

L’entreprise saisit chaque opportunité pour s’impliquer activement dans sa communauté. « Je suis allée donner une conférence à l’école Quatre-vents de Bonaventure dans le cadre de la Semaine des entrepreneurs à l’école. On s’implique dans La Fête au Village à Bonaventure. On fait aussi des kiosques Pro shop, où on apporte du matériel d’entretien et de réparation d’équipements sportifs dans les événements locaux. », explique Émilie. La proximité avec la communauté est d’ailleurs un aspect qui démarque l’entreprise. « Si on compare à un Sports Experts en ville, ici on est très communautaire. On offre un service très proche des gens ».

Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

Émilie n’hésite pas une seconde : « Le meilleur conseil que je peux donner, c’est de s’entourer. Je ne serai jamais comptable, je ne serai jamais fiscaliste. Connais quelqu’un qui connait ça mieux que toi! Ça ne sert à rien de vouloir tout savoir. »

À propos d’Émilie Chicoine

Après plusieurs années en tant qu’infirmière puis gestionnaire au sein du réseau de la santé et des services sociaux, Émilie a décidé à 27 ans de tout lâcher pour se lancer en affaires. D’abord copropriétaire en 2022, elle est maintenant l’unique propriétaire du Sports Experts Bonaventure. Son parcours entrepreneurial a d’ailleurs été souligné récemment, en étant élue Jeune personnalité de l’année lors du Gala 2023 de la Chambre de commerce et d’industrie Baie-des-Chaleurs.

Portrait d’entreprise – Manoir du Havre

Cumulant une solide expérience de préposée aux bénéficiaires et d’entrepreneure dans un autre domaine, Isabelle Martin a fait l’acquisition d’une résidence privée pour aînés (RPA), à Maria, en février 2019. Rencontre avec celle qui a jumelé ses deux passions au sein du Manoir du Havre et a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs. 

 

 L’entreprise, en bref 

Le Manoir du Havre héberge des personnes âgées en perte d’autonomie physique ou en déficit cognitif. Comprenant 39 chambres, il en fournit 31 au Centre intégré de santé et de services sociaux de la Gaspésie à titre de ressource intermédiaire, en plus de proposer huit chambres individuelles. Offrant un milieu de vie agréable à ses résidents et résidentes, il leur propose plusieurs services adaptés : repas, services d’aide domestique, soins infirmiers, assistance personnelle, etc. Plusieurs activités – célébration des anniversaires et autres fêtes, bingo, jeux de table, musique, etc. – leur sont aussi offertes. 

 En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?  

« C’est une RPA majoritairement en ressource intermédiaire, donc le nombre de soins offerts est très élevé », mentionne Isabelle. Les ressources intermédiaires ont pour objectif de proposer un milieu de vie agréable aux personnes hébergées, ce que s’applique à faire le Manoir. « C’est un milieu dynamique, très familial. On est proches des gens! » 

 Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat? 

« C’est un rêve de toujours! Je travaille avec les personnes âgées depuis que je suis jeune », affirme Isabelle, qui cumule environ 18 ans d’expérience comme préposée aux bénéficiaires. Également copropriétaire de Protection Garvex, elle avait aussi, depuis longtemps, la fibre entrepreneuriale. « C’est un cumul du parcours personnel. » 

 Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté? 

Le Manoir du Havre a obtenu de l’aide financière grâce au Fonds d’investissement de la SADC. « Ça a été primordial pour l’acquisition du Manoir et les travaux de réaménagement, mentionne Isabelle. La SADC a été essentielle dans notre parcours. » 

Une nouvelle aile accueille les gens en perte d’autonomie physique et l’aile pour les gens en déficit cognitif a été refaite en entier. « Maintenant, tout le monde bénéficie de belles grandes chambres individuelles avec salle de bain! » 

 Parlez-nous d’un « bon coup » en matière de développement durable. 

Le Manoir du Havre essaie de s’approvisionner localement, autant que possible.  « Tant au niveau de la nourriture que des équipements spécialisés, c’est local, sauf quand on ne peut pas », affirme Isabelle. L’établissement a aussi aménagé un superbe jardin avec fleurs, arbres et plantes, dont sa clientèle peut profiter.  

Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs? 

Selon Isabelle, l’entrepreneuriat requiert « de la détermination, de la persévérance, le souci du détail et de la qualité, et un travail acharné ». Elle souligne également l’importance du réseautage.  

 

À propos d’Isabelle Martin  

Préposée aux bénéficiaires au CHSLD Les Havres, à Montréal, pendant 10 ans, Isabelle a également travaillé en soins à domicile au CLSC de Saint-Omer pendant environ 8 ans.

Portrait d’un OBNL – Corporation du Mont-Saint-Joseph

L’OBNL, en bref

Visant à préserver et à mettre en valeur le riche patrimoine culturel et naturel du mont Saint-Joseph, à Carleton-sur-Mer, la Corporation a été constituée en tant qu’organisme à but non lucratif (OBNL) en 1998. Elle est ainsi, depuis lors, sous la responsabilité d’un conseil d’administration formé de bénévoles. La Corporation assure la pérennité et le développement du Parc régional du Mont-Saint-Joseph, où l’on retrouve des sentiers pédestres et de vélo de montagne, de l’hébergement insolite dans des géodômes et des aiguilles (petits chalets), des belvédères avec une superbe vue sur la Baie-des-Chaleurs, à 555 m d’altitude, un bâtiment d’accueil avec boutique ainsi qu’une chapelle citée patrimoniale, érigée en 1935, qui offre un spectacle d’animation numérique. Le site du mont Saint-Joseph est également l’hôte d’événements ponctuels, d’activités d’animation, etc.

En quoi la Corporation se démarque-t-elle?

Selon Olivier, en étant un OBNL, elle peut se consacrer à sa mission, sans être axée uniquement sur le profit. « Tout est réinjecté pour le développement social ou économique. » Le site se distingue en offrant « le plus haut sommet accessible par voie asphaltée au Québec. C’est intéressant pour le côté mobilité et pour apprécier la vue magnifique sur le patrimoine qui nous entoure, autant historique que culturel. » Les pistes de vélo de montagne avec vue à couper le souffle et l’hébergement insolite à flanc de falaise comptent aussi parmi les attraits singuliers du lieu. L’éloquente présence de la chapelle appelle aussi les visiteurs de toutes communions au recueillement.

Pourquoi avez-vous choisi de travailler au sein de cet OBNL?

« Ce qui m’a marqué, quand je suis arrivé, c’est l’énergie qu’il y a en haut de la montagne. La spiritualité du lieu », confie Olivier. Ayant d’abord constitué un lieu de rassemblement important pour les Mi’gmaqs, le mont a ensuite accueilli de nombreux pèlerins catholiques. Aujourd’hui, Olivier se plaît à dire que « les pleinairistes sont les nouveaux pèlerins! » Il apprécie la portée sociale de la Corporation. « On fait des projets qui répondent à notre mission, comme les sentiers du ruisseau Bastien, et qui ont un effet sur la communauté. »

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

Ces dernières années, la Corporation s’est dotée de nouvelles infrastructures comme des géodômes et un bâtiment d’accueil. Elle a obtenu un prêt à taux préférentiel de la SADC pour couvrir une partie des coûts, dans le contexte postpandémique. « Il y a eu une augmentation des coûts de matériaux et de construction, mentionne Olivier. Il fallait éponger ça pour mener le projet à bien. »

Parlez-nous d’un « bon coup » en développement durable.

« On s’inscrit dans plusieurs initiatives et démarches (ex. : en tourisme régénérateur) pour qu’après, dans notre gestion et planification, on puisse avoir de plus en plus de bons réflexes », affirme Olivier. Côté hébergement, il souligne que l’eau potable est en circuit fermé, réduisant ainsi la consommation totale, et que le système de toilettes au compost permet de revaloriser les matières organiques provenant des prêts-à-camper. Enfin, il est fier de la mise en place de la navette reliant le camping, la plage et le sommet du mont, 7 fois par jour en été. « Ça réduit la pression des voitures autant dans la ville que sur la montagne. » En 2023, « on a eu 50 % plus d’achalandage que la saison dernière en 25 jours de moins d’opération. On répond à la demande des touristes et des locaux par un même projet. »

Quel conseil donneriez-vous à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

« Écoute le milieu, implique-toi dans ton milieu et essaie de faire des partenariats », mentionne Olivier. Selon lui, pour maximiser les chances de succès, l’offre proposée doit répondre à un besoin réel du milieu.

Portrait d’entreprise – GASPA VIDÉO

Jean Guénette et Elaine Poirier ont mis sur pied GASPA VIDÉO il y a près de 25 ans pour donner une voix aux régions du Québec à la télévision grâce au documentaire. Rencontre avec Jean à propos de cette maison de production de Carleton-sur-Mer, qui a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs. 

 

L’entreprise, en bref 

Depuis 1999, GASPA VIDÉO se donne pour mission de parler des gens des régions du Québec sur les chaînes québécoises, canadiennes et internationales. Sa démarche consiste à observer, comprendre, montrer et prendre position. Ses documentaires pour la télévision traitent de sujets à caractère social, politique, économique, culturel et environnemental. GASPA produit également des vidéos éducatives pour des organisations privées et publiques. Son équipe compte deux ressources permanentes et plusieurs pigistes, dont quatre avec qui elle travaille sur une base régulière.  

 En quoi votre entreprise se démarque-t-elle? 

« On est une des seules maisons de production privées en Gaspésie qui fait depuis autant d’années affaire avec des diffuseurs au niveau national et produit une variété aussi grande de documentaires », mentionne Jean. Plus de 100 ont en effet été produits par l’entreprise, qui a tourné à différents endroits au pays et ailleurs dans le monde. « On a aussi monté une énorme banque d’archives sur le milieu maritime. » L’entreprise fait appel à plusieurs talents gaspésiens pour ses productions, notamment pour les musiques originales. 

 Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat? 

« On avait envie de raconter l’histoire des gens qu’on ne voyait pas en ondes, explique Jean. Les régions du Québec, particulièrement la Gaspésie, manquaient de couverture dans les grands médias. » Selon lui, la péninsule y était souvent dépeinte de façon « trop folklorique et cliché ». Avec sa maison de production, il souhaitait « donner de façon plus personnalisée la voix à ceux qui en ont besoin. Parler des régions du Québec, de leurs défis, de leurs problématiques et de leurs solutions. » 

 Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté? 

Au fil des ans, GASPA VIDÉO a obtenu des prêts de la SADC utilisés comme financement intérimaire. « Ça nous permet de boucler le financement et d’aller en production », explique Jean. « Il a été crucial, pour nous, d’avoir l’appui de la SADC depuis toutes ces années. Ce n’est pas évident pour une boîte en région d’aller chercher du financement à Montréal. [L’organisme] a été un allié de développement. » 

Parlez-nous d’un « bon coup » en développement durable. 

« On travaille avec juste un véhicule de tournage, ce qui est moins énergivore, mentionne Jean. Et on a fait le choix de ne pas avoir de bureau commercial à l’extérieur de la maison. Ça fait une différence dans nos déplacements. On a décidé, aussi, de réduire l’équipement. Et on regroupe les tournages. » De plus, l’entreprise informe la population sur des enjeux sociaux et des causes environnementales en abordant ces sujets dans des documentaires, diffusés à grande échelle à la télévision. 

 Quel conseil donneriez-vous à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs? 

« Avoir un plan d’affaires très sérieux, affirme Jean. Et aller voir la SADC, entre autres. Elle nous a beaucoup aidés! » Selon lui, « être entrepreneur, ce n’est pas donné à tout le monde. (…) Il faut travailler fort, y croire et aimer ce qu’on fait. Il y a beaucoup d’embûches et de défis, surtout financiers. Mais ce n’est pas parce qu’on est en région qu’on n’est pas capables. Je dirais même au contraire! » Et il ajoute : « Il faut que les entrepreneurs voient grand, voient loin, et prennent les moyens nécessaires, s’entourent des bonnes personnes. » 

 À propos 

Jean Guénette est producteur, réalisateur, scénariste et directeur photo chez GASPA VIDÉO. Elaine Poirier est directrice de production, coproductrice et coréalisatrice. 

Portrait d’entreprise – Transports Jos Dugas et Fils inc.

La rentrée scolaire 2023-2024 a eu lieu sous le signe de la nouveauté pour Transports Jos Dugas et Fils inc., qui a intégré dans sa flotte trois autobus électriques. Rencontre avec le président-directeur général, Pierre Dugas, à propos de cette entreprise de Nouvelle et du soutien qu’elle a obtenu de la SADC de Baie-des-Chaleurs.

 

L’entreprise, en bref

Mise sur pied en 1981, Transports Jos Dugas et Fils inc. est une entreprise familiale qui se spécialise dans le transport scolaire pour le Centre de services scolaire René-Lévesque et les voyages spéciaux (ex. : voyages sportifs, sorties d’école, etc.). Elle regroupe trois générations : Jos Dugas, propriétaire et fondateur; son fils Pierre, président-directeur général; ainsi que le fils de ce dernier, Tommy Dugas, responsable des opérations – Secteur autobus électriques. Line Gagné, adjointe administrative et conjointe de Pierre, fait également partie de l’équipe de direction. Transports Jos Dugas et Fils inc. compte aujourd’hui une équipe de 15 personnes, incluant des conductrices et conducteurs réguliers et suppléants. Sa flotte est composée de 14 autobus scolaires, dont trois électriques.

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?

« Une de nos forces, c’est nos employés!, mentionne Pierre. Nos conductrices et conducteurs d’expérience, qui sont là depuis plusieurs années. Des professionnels ayant de bons dossiers de conduite. » Il souligne d’ailleurs l’importance d’offrir un excellent service à la clientèle dans le domaine du transport scolaire. L’entreprise est aussi très impliquée dans le domaine de la sécurité scolaire. « Je fais partie du Comité de sécurité en transport scolaire Gaspésie-Sud, qui existe depuis 19 ans. » Ce comité s’est d’ailleurs démarqué, au fil des ans, en recevant plusieurs prix pour ses activités dans le cadre de campagnes de sécurité provinciales.

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?

« J’ai toujours aimé prendre mes propres décisions et m’impliquer dans ma communauté », mentionne Pierre. Lorsqu’il a incorporé l’entreprise familiale de transport scolaire, il voulait « faire équipe avec les gens pour que leurs activités soient une réussite ».

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

À ses débuts, Transports Jos Dugas et Fils inc. comptait seulement deux véhicules. Grâce à l’aide financière de la SADC, elle a pu faire l’acquisition d’autres entreprises de transport et prendre de l’expansion. « La SADC a été un plus, avec des taux d’intérêt qui sont avantageux », affirme Pierre. « Ils nous ont aussi aidés à prendre possession des autobus électriques. » Il souligne aussi avoir apprécié l’accompagnement offert afin de réaménager les tâches en fonction des nouveaux besoins liés à l’expansion.

Parlez-nous d’un « bon coup » dont vous êtes particulièrement fier en matière de développement durable.

« On est fiers de dire qu’une petite entreprise familiale a pu acquérir des véhicules électriques, mentionne Pierre. Cela envoie le message que c’est possible! On est vraiment fiers d’avoir réalisé ces acquisitions-là et de pouvoir en faire profiter le plus rapidement possible à la clientèle qu’on transporte. » Il souligne également que l’entreprise a toujours préconisé l’écoconduite.

Quel conseil donneriez-vous à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

« Ce qui est très important, c’est de croire à ses rêves et de persévérer, affirme Pierre. La Baie-des-Chaleurs est une belle terre d’accueil pour la réalisation de tous ses rêves. » Il ajoute : « Il faut s’assurer de s’entourer de gens positifs et professionnels, que ce soit avec la SADC ou d’autres organisations. Il y a beaucoup d’outils qui n’étaient pas là quand j’ai commencé et qui sont là maintenant. » Il faut, selon lui, réseauter et bien s’informer.


À propos de Pierre Dugas

Pierre Dugas commence sa 34e année comme conducteur d’autobus. En plus d’être président-directeur général de Transports Jos Dugas et Fils inc., il est également conseiller de secteur pour la Baie-des-Chaleurs au sein de la Fédération des transporteurs par autobus, qui compte plus de 700 membres au Québec.

Portrait d’entreprise – Ferme M et M

Propriétaires de la Ferme M et M, une entreprise laitière, Marie-Ève Cyr et Maxime Plante ont fait leur première traite à la fin 2021. Depuis, leur ferme du rang Thivierge, dans le magnifique arrière-pays de Bonaventure, accroît peu à peu sa production. Rencontre avec ce couple passionné d’agriculture, dont l’entreprise a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.

 

L’entreprise, en bref

Marie-Ève et Maxime ont eu accès au programme d’aide au démarrage d’entreprises laitières des Producteurs de lait du Québec en 2020. Ils ont ainsi pu acquérir 16 kg de quota de lait et bénéficier d’un prêt de 16 autres kg pour 10 ans. À l’été 2021, ils ont rénové et agrandi un bâtiment existant pour en faire une étable, puis construit une fosse à fumier, pour enfin réaliser leur première traite à la mi-décembre. Ils comptent aujourd’hui une quarantaine de vaches et 41 kg de quota.

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?

Marie-Ève souligne que le fait d’avoir démarré – et non repris – une entreprise de production laitière est en soi assez distinctif au Québec. Maxime précise que la Ferme M et M se démarque par ses vaches en stabulation libre. « Nos vaches sont lousses 24 h sur 24 dans le bâtiment », mentionne-t-il. « On n’a pas la race commune, la noire et blanche que tout le monde est habitué de voir, poursuit-il. On a la race jersey, plus petite, de la même couleur qu’un chevreuil », qui a la particularité de produire un lait très riche.

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?

Maxime détient un DEC en gestion exploitation d’entreprise agricole et Marie-Ève est agronome. Tous deux ont travaillé à la Ferme Bourdages Tradition, à St-Siméon, avant de démarrer. Et Maxime, qui vient d’une ferme laitière du comté de Lotbinière, dans Chaudière-Appalaches, connaissait bien l’entrepreneuriat sur une ferme. « On voulait quelque chose qui nous ressemblait, et qu’on pourrait gérer nous-mêmes », mentionne Marie-Ève.

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

Marie-Ève et Maxime ont obtenu de l’aide financière grâce au Fonds Stratégie jeunesse de la SADC. « On a eu deux prêts personnels de 25 000 $, qu’on a investi dans le fonds de roulement », mentionne Maxime. « Pendant qu’on construit, on a les frais d’une entreprise, mais pas de revenus qui rentrent. [Le soutien] de la SADC a servi comme fonds de roulement pour payer nos stocks la première année. »

Parlez-nous de « bons coups » dont vous êtes particulièrement fiers en matière de développement durable?

« On n’utilise aucun pesticide », mentionne Maxime. La Ferme épand ses propres fumiers, au printemps plutôt qu’à l’automne. « C’est beaucoup plus efficace au printemps quand les plantes sont en croissance », explique Marie-Ève. De plus, le couple a installé un système qui permet de récupérer l’eau pour laver le plancher de l’étable. « On économise pratiquement 400 litres d’eau par jour! », précise Maxime. « Et on essaie de prendre des produits biodégradables. »

Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

« Ne pas s’arrêter pour un non!, s’exclame Maxime. Avant qu’on puisse démarrer, on s’est fait dire non souvent. » Et il ajoute : « Tu prends un triangle équilatéral : volonté, motivation et discipline. Il faut ajuster ça de façon égale. » Il suggère également de suivre un cours de gestion. Et selon lui, dans le domaine agricole, « il faut vraiment miser sur l’efficacité, ne rien négliger pour réussir. Une vache qui n’est pas bien, elle ne donne pas de lait! », illustre-t-il.

À propos de Marie-Ève Cyr et Maxime Plante

Selon Marie-Ève et Maxime, pour réussir comme couple en affaires, il faut être bien entourés. Ils soulignent avoir reçu beaucoup d’aide de la part d’intervenants socioéconomiques, d’autres producteurs et de leur famille.

Portrait d’entreprise – Chasse et pêche JFS

Il y a un an et demi, Samantha Dufour et Jean-François Landry ont choisi de vendre leur entreprise respective pour acquérir ensemble une station d’essence avec dépanneur à Pointe-à-la-Croix. Rencontre avec ce duo d’entrepreneurs ambitieux dont l’entreprise, Chasse et pêche JFS, a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.


L’entreprise, en bref

À la fois station d’essence Ultramar et dépanneur, Chasse et pêche JFS offre une grande variété de produits. On y trouve, entre autres, de la moulée pour les animaux (poules pondeuses, veaux, chevaux, cochons, agneaux…), des mangeoires et des abreuvoirs. L’entreprise propose également une belle variété d’équipement de chasse et pêche avec, notamment, des produits pour salines, des accessoires de plein air et des produits pour la pêche à la truite, au bar rayé et au saumon. Chasse et pêche JFS se distingue aussi en offrant un bel éventail de feux d’artifice Royal et en étant un point de vente Arachides Dépôt, une compagnie québécoise.

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?

« Par nos super employés! », affirme Samantha, en soulignant la qualité et la rapidité du service. Elle mentionne aussi que Chasse et pêche JFS est le seul point de vente de moulée pour animaux entre Saint-Omer et Amqui.

Pourquoi avez-vous choisi d’acquérir cette entreprise?

« On était déjà entrepreneurs avant, mentionne Samantha. On a décidé de se lancer en affaires ensemble. » Jean-François était entrepreneur dans le secteur de la rénovation, alors que Samantha possédait une discothèque. « C’est un nouveau défi pour nous », ajoute Jean-François.

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

Le duo d’entrepreneurs a obtenu un prêt de la SADC dans le cadre du Fonds Stratégie jeunesse, ce qui lui a permis d’augmenter et de diversifier ses stocks. « On a tout rénové l’intérieur. Ça nous a donné l’opportunité d’offrir plus de choses, plus de choix pour nos clients dans le magasin », mentionne Jean-François. « Là, c’est en processus à l’extérieur », poursuit Samantha.

Parlez d’un « bon coup » dont vous êtes particulièrement fiers comme entrepreneurs.

Jean-François et Samantha se disent très fiers de voir leur chiffre d’affaires augmenter grâce à leurs réaménagements et à leurs efforts de diversification.

Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

Jean-François mentionne l’importance de bien se préparer et de bien planifier. Avant de faire le grand saut, le duo d’entrepreneurs a fait appel à un consultant. « On a fait faire une étude de marché et ça nous a vraiment enlignés sur certaines choses, ça nous a vraiment aidés », dit-il. Samantha ajoute qu’il est important d’être prêt à s’investir : « Il faut que tu sois là si tu veux du succès! Il n’y a rien de facile, mais c’est vraiment l’fun quand tu vois que ton entreprise grossit! »

Portrait d’entreprise – Casse-croûte Chez Mamie Yoyo

Il y a 10 ans, Gail Parker a quitté le secteur des VR pour celui de la restauration en acquérant le populaire Casse-croûte Chez Mamie Yoyo, à Pointe-à-la-Croix. Rencontre avec cette femme d’affaires dynamique, dont l’entreprise a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.

 

L’entreprise, en bref

Ouvert de la mi-mars à la mi-octobre, le Casse-croûte Chez Mamie Yoyo de Pointe-à-la-Croix propose un menu varié incluant frites maison, poutines, burgers, ailes de poulet, poulet barbecue, pizzas, fruits de mer, soupes, salades et sandwiches, auxquels s’ajoutent les rafraîchissants produits de son bar laitier. Il est possible de manger sur place à l’intérieur ou sur la terrasse, ou encore de prendre des plats à emporter.

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?

« Par nos produits frais, affirme Mme Parker. Tout est maison. Il n’y a rien de préparé à l’avance, c’est cuit sur commande. » Elle mentionne aussi l’ambiance familiale et chaleureuse qui règne dans son restaurant. « Les gens aiment bien, spécialement l’été, s’asseoir sur la terrasse entre collègues de travail, entre amis. C’est un point de rencontre. » Et elle ajoute : « C’est un arrêt obligatoire l’été. J’ai mes réguliers et touristes qui viennent d’année en année. » Mme Parker précise également que son grand stationnement permet d’accueillir facilement les camions, autobus, roulottes et VR.

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?

« C’était par hasard! », confie Mme Parker. Alors qu’elle occupait un emploi dans le secteur des véhicules récréatifs, elle s’est fait proposer d’acheter le Casse-croûte Chez Mamie Yoyo par l’entremise d’une connaissance. Cette acquisition impliquerait donc, pour elle, de travailler dans un tout autre domaine. Après y avoir réfléchi, Mme Parker se dit que ce serait une belle aventure. « Au départ, les employés qui étaient à l’emploi de l’ancien propriétaire sont tous restés. J’ai discuté avec chacun d’eux. Ils m’ont aidée à apprendre au jour le jour. Côté gérance, j’avais quand même de l’expérience. »

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

Mme Parker a obtenu un prêt de la part de la SADC. Elle mentionne avoir aimé pouvoir bénéficier d’un financement accessible, avec des versements adaptés à sa situation, étant donné que son entreprise est saisonnière. « J’ai beaucoup apprécié l’aide de la SADC », dit-elle.

Parlez-nous d’un « bon coup » qui vous rend fière en matière de développement durable.

« J’étais un peu d’avance au niveau du virage vert, mentionne fièrement Mme Parker. Ça fait déjà à peu près 6 ans que j’ai des contenants biodégradables. Même si c’était un peu plus dispendieux, c’était important pour moi de faire une différence. » Aux contenants mentionnés s’ajoutent des sacs de papier et des pailles biodégradables. Au moment d’écrire ces lignes, l’entreprise écoule ses derniers ustensiles de plastique. « Après, je tombe dans les ustensiles en bouleau! »

Quel conseil donneriez-vous à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

« Je dirais que c’est la plus belle opportunité! », affirme Mme Parker. Elle souligne que les gens de la région sont là pour soutenir les petites entreprises locales. « Ça vaut la peine de foncer dans cette aventure-là. C’est le plus beau défi que je me suis donné. Il y a des hauts et des bas, mais il y a plus de hauts! » Mme Parker mentionne également l’importance de s’entourer d’une bonne équipe, et se dit très fière de ce qu’elle a accompli avec la sienne.

À propos de Gail Parker

Originaire de Campbellton, Gail Parker habite au Québec depuis 33 ans. Autrefois directrice commerciale dans le domaine des véhicules récréatifs, elle a acquis le Casse-croûte Chez Mamie Yoyo en 2013.

 

Portrait d’entreprise – Mécanique SL Plus

Sébastien Bernard et Louis Parent ont acquis le Garage Point S, à Nouvelle, en février 2022. Déjà copropriétaires de Transport Philippe Day, une entreprise voisine, ils y voyaient une belle occasion de complémentarité. Rencontre avec les deux associés au sujet du garage, renommé Mécanique SL, qui a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.


L’entreprise, en bref

Mécanique SL propose des services de mécanique automobile, de vente et d’installation de pneus, de réparation de remorques, d’esthétique automobile, ainsi que de réparation d’air conditionné. L’entreprise fait aussi la vente de pièces de camions lourds, un département qui prendra sous peu de l’expansion.

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?

Mécanique SL se distingue par la qualité et l’efficacité de son service, de même que la courtoisie de son personnel, un commentaire qui revient souvent. La clientèle s’y sent en confiance. « Ça arrive fréquemment que je donne des conseils ou explications aux gens qui viennent me voir, ou même par téléphone! », mentionne Louis, qui possède 13 ans d’expérience comme mécanicien de véhicules lourds. Enfin, la clientèle apprécie également les différents moyens mis à sa disposition pour communiquer avec le personnel du garage, incluant les messages textes.

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?

Lors de la mise en vente de Transport Philippe Day, Sébastien et Louis, qui y travaillaient, ont saisi l’opportunité d’en faire l’achat. Les deux associés souhaitaient que les intérêts de l’entreprise demeurent dans la région. « On a ça à cœur, dit Sébastien. Ça va faire 30 ans que je suis là, je voulais que ça continue! » Lorsqu’ils ont entendu que le Garage Point S allait fermer, ils ont aussi voulu l’acquérir. « De fil en aiguille, on a remarqué [une hausse de] l’achalandage pour la vente de pièces chez Philippe Day. On avait le projet d’agrandir », mentionne Louis. Les associés ont finalement opté pour acheter le garage Point S. « Ça restait dans la place et ça nous ouvrait d’autres portes », précise Sébastien. C’était « une belle opportunité pour garder le service mécanique et la vente de pièces », ajoute Louis.

Qu’est-ce que la SADC vous a apporté?

« Un soutien financier très précieux. On a eu un bon coup de pouce et de l’accompagnement », affirme Sébastien. « On peut les appeler quand on veut s’il y a une problématique. Peu importe le problème, on se parle une fois de temps en temps et ils nous rappellent leurs services. Ils peuvent contribuer à faire grandir l’entreprise. »


Parlez-nous d’un « bon coup » dont vous êtes particulièrement fier comme entrepreneur en matière de développement durable?

Pour le moment, c’est surtout en privilégiant les achats dans les entreprises locales que Mécanique SL fait sa part. « On encourage vraiment beaucoup les entreprises d’ici », précise Sébastien. Et c’est une roue qui tourne : « en donnant au local, le local vient à notre garage », ajoute-t-il. L’entreprise s’assure également de disposer des matières résiduelles selon les normes en vigueur. De plus, elle se prépare en vue de faire former ses mécaniciens pour les véhicules électriques.

Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

« S’entourer des bonnes personnes, comme la SADC », mentionne Sébastien. « Des fois, le monde a peur de se servir des organismes qu’on a par ici. Il y a beaucoup de choses que le monde sait pas à propos des services qu’ils peuvent offrir! » Il faut aussi, selon lui, être en mesure d’avoir une grande implication dans l’entreprise pour assurer sa réussite. « Il faut avoir un bon état d’esprit, essayer de comprendre les gens, être à l’écoute. »

À propos des copropriétaires

Sébastien Bernard a commencé à travailler chez Transport Philippe Day comme camionneur pour ensuite devenir répartiteur, puis directeur général. Louis Parent compte quant à lui 13 ans d’expérience comme mécanicien poids lourd, dont 10 chez Transport Philippe Day.

Portrait d’entreprise – Gasse Électrique inc.

Antoni Gasse a fondé Gasse Électrique inc. en 2018, à Nouvelle. Justin Simoneau, qui a joint l’équipe en 2020, a rapidement fait ses preuves et est devenu copropriétaire au début 2023. Rencontre avec Antoni et Justin au sujet de l’entreprise, qui a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.

 

L’entreprise, en bref

Gasse Électrique inc. offre une grande variété de services en électricité, que ce soit pour des projets de construction ou de rénovation résidentielle, commerciale ou industrielle. Employant neuf personnes, l’entreprise compte des électriciens à Bonaventure, Maria, Carleton-sur-Mer et Nouvelle. Elle peut ainsi répondre rapidement aux besoins de la clientèle sur le territoire qu’elle dessert, allant de Matapédia à Paspébiac.

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?

« Au niveau de l’efficacité, affirme Justin. On a une bonne structure en place, qui nous permet de bien desservir la clientèle. On répond aux besoins rapidement. » Selon Antoni, Gasse Électrique inc. se distingue aussi par son équipe jeune et dynamique, et un autre atout de taille : « On n’a pas de manque de main-d’œuvre. Les employés viennent à nous et ne voient pas l’intérêt de partir. On met de l’avant la qualité de vie au niveau de l’employé, on est très accommodants. Et on a la vision de s’entourer des bonnes personnes. »

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?

Antoni a travaillé comme électricien à l’extérieur du Québec, où il a géré de gros chantiers et des équipes, une expérience qui lui a beaucoup plu. Il est ensuite revenu. « Je suis un Gaspésien pur laine et mon but, c’était d’être dans la région. » Il souhaitait aussi rester auprès de sa famille. « Après un certain temps à l’emploi d’une entreprise ici, j’ai décidé de faire le saut moi-même. Je voyais ça comme un défi. » Justin est quant à lui embauché en 2020 comme électricien chez Gasse Électrique inc. Après un certain temps, il veut s’investir davantage dans l’entreprise. « J’ai un côté gestion. J’aime trouver des opportunités, voir comment être plus efficace, proactif. J’ai mentionné à Antoni que je pouvais apporter ce côté-là. » C’est de cette façon qu’ils sont devenus associés. « Antoni, c’est un gars de Nouvelle qui connaît tout le monde. Moi, je suis un externe, objectif. C’est ce “merging”-là qui fait que ça fitte! »

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

Antoni a bénéficié d’un prêt du programme Stratégie jeunesse de la SADC pour l’acquisition d’un bâtiment avec espace à bureaux et garage pour l’entreposage des équipements. « La bâtisse est un gros plus, souligne Justin. On est capables d’avoir un inventaire. Ça nous rend beaucoup plus efficaces. » L’entreprise a aussi obtenu du financement de la SADC pour l’accompagnement d’une comptable en vue d’optimiser son mode de gestion. Ce soutien a permis à Gasse Électrique inc. de se doter d’un tableau de bord et de se réorganiser au point de vue de l’administration.

Parlez-nous d’un « bon coup » dont vous êtes particulièrement fiers comme entrepreneurs.

« Avoir passé à travers la pandémie, c’est une victoire en soi! », mentionne Antoni. « On n’avait pas les reins aussi solides que maintenant. » Antoni et Justin se disent très fiers de la croissance de l’entreprise par la suite. « Depuis environ deux ans, on est allés chercher des bons employés, on a fait notre association, précise Justin. On est allés chercher deux véhicules supplémentaires de services, et une adjointe formidable. On a trouvé des partenariats d’affaires structurants. La compagnie, qui a grossi, nous a permis d’aller chercher des contrats intéressants, stimulants. »

Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

« S’associer avec quelqu’un qui vient d’ici! », lance Justin en riant. Originaire de Québec, il apprécie être en affaires avec quelqu’un de la place qui connaît tout le monde. Il apporte, de son côté, une vision extérieure complémentaire. Mais plus sérieusement, selon lui, pour se lancer dans l’entrepreneuriat, il faut savoir foncer, avoir « une bonne tête, prendre les bons conseils ». Il ajoute que la qualité et le souci du détail sont d’autant plus importants dans un petit milieu. « Il y a une pression supplémentaire par rapport à ça. » Il recommande aussi de « focusser sur les gens satisfaits. C’est eux qui vont rappeler! »

 


À propos d’Antoni Gasse et Justin Simoneau

Maître électricien, Antoni Gasse a fondé Gasse Électrique inc., à Nouvelle, en 2018. Embauché au sein de l’entreprise comme électricien au début 2020, Justin Simoneau est officiellement devenu associé en février 2023.

Portrait d’entreprise – Ford et Subaru New Richmond

Copropriétaire de Subaru New Richmond depuis 2010, René Leblanc a aussi acquis Ford New Richmond avec Adam et André Leblanc (ses frères) et Matthew O’Reilly en 2018. Ensemble, ils ont entrepris d’importants travaux d’agrandissement pour Subaru et la construction d’un nouveau bâtiment pour Ford. Rencontre avec René au sujet de ces entreprises, qui ont récemment obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.

 

Les entreprises, en bref

Ford et Subaru New Richmond proposent une vaste gamme de véhicules neufs et d’occasion. Que ce soit au département des ventes, du service après-vente ou de l’entretien, leurs équipes offrent un accueil chaleureux et un service personnalisé. Les deux entreprises s’assurent de répondre aux besoins des acheteurs et propriétaires de véhicules Ford et Subaru de la Gaspésie, tout en adoptant une approche jeune et dynamique en matière d’expérience client. Leurs équipes combinées comptent 27 personnes.

En quoi vos entreprises se démarquent-elles?

« Là où on essaie d’être différents, c’est dans l’approche familiale qu’on peut avoir comme propriétaires occupants », affirme René. Ses associés et lui s’efforcent d’insuffler un côté humain et personnalisé à leurs entreprises, et ils ont à cœur leur pérennité. « On est des gens de la place et on n’a pas peur de s’ancrer ici. On s’implique dans toutes sortes de causes. On est une entreprise locale qui participe au développement. »

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?

« Je suis tombé là-dedans quand j’avais 21 ans, raconte René. (…) Je faisais un bac en kinésiologie. Mon frère Adam était mécanicien à Québec. » Ce dernier lui a proposé d’acquérir un « garage » avec lui. Après réflexion, René, adepte de voitures, embarque dans le projet. « Si on est là aujourd’hui, c’est parce que Peter [Cyr, propriétaire de Subaru, à l’époque] a pris la décision de vendre à deux jeunes. Il nous a visualisés comme étant sa succession et nous a montré les rouages. »

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

« À chaque projet, la SADC était là! » affirme René, qui précise que lui et ses associés ont obtenu à quelques reprises du financement grâce au Fonds d’investissement et au programme Stratégie jeunesse pour leurs deux entreprises. « Mais le plus gros soutien de la SADC, il n’est pas monétaire, c’est le fait de donner de la confiance au dossier. » René souligne qu’une fois l’appui de la SADC obtenu, « les autres partenaires embarquent » plus facilement.

Parlez-nous d’un « bon coup » dont vous êtes particulièrement fier comme entrepreneur.

« Notre plan du Ford », mentionne René, en référence au bâtiment construit en 2021. Selon lui, tout a été pensé par les quatre associés : l’emplacement, la luminosité, le nombre de pas à faire dans le bâtiment, etc. « On en a visité plusieurs et on s’est assis à la table à dessin. Le plan, on l’a tellement travaillé, réfléchi et bien pensé que Ford nous l’a acheté et c’est rendu le prototype pour une concession de type D. » Ainsi, selon René, pour les concessions ayant un volume de ventes annuel similaire à celui de Ford New Richmond, « c’est ce frame-là qui va être utilisé partout dans le monde! »

Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

« Pose-toi la question si c’est vraiment ce que tu veux faire, et si oui, fais-le! », affirme René. « J’ai toujours trouvé que la place la plus cool pour se lancer en affaires, c’est en Gaspésie. Il y a tellement de choses à faire! Et pas besoin de réinventer la roue. » Il précise toutefois que l’entrepreneuriat n’est pas fait pour tout le monde. C’est exigeant et on doit beaucoup s’investir. Il faut, selon lui, « un amour inconditionnel de ce que tu fais. »

 


 

À propos des propriétaires

René Leblanc, Adam Leblanc et Matthew O’Reilly sont copropriétaires de Ford New Richmond depuis 2010. En 2016, André Leblanc se joint à l’équipe. Il bonifie le volet véhicules d’occasion, puis devient actionnaire. Les quatre associés acquièrent ensuite Ford New Richmond en 2018.

Portrait d’entreprise – Microbrasserie La belle aventure

En lançant La belle aventure, en août 2022, trois jeunes gaspésiens souhaitaient doter Bonaventure d’un lieu festif et rassembleur jumelant les volets bistro-bar, restauration et événementiel. Rencontre avec Sébastien Cayouette, copropriétaire, au sujet de cette microbrasserie qui a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.

 

L’entreprise, en bref

Mise sur pied par trois jeunes Gaspésiens, Marc-Olivier Forest-Poirier, Sébastien Cayouette et Marie-Pier Dion, la Microbrasserie La belle aventure est un lieu festif et rassembleur. Elle propose cinq bières classiques – blonde, rousse, blanche, IPA et stout –, auxquelles s’ajoutent ponctuellement des bières de saison aux saveurs locales. Son bistro-bar met en valeur des produits régionaux (saumon fumé, salsa, charcuteries…), des spiritueux gaspésiens et les vins de fraises et de rhubarbe de la Ferme Bourdages Tradition.

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?

D’après Sébastien, la Microbrasserie se distingue d’abord par les différents volets qu’elle propose, en combinant production et commercialisation de ses bières, événementiel et bistro-bar. « Au bistro, il y a une ambiance différente, qu’il n’y avait pas à Bonaventure et dans les environs. C’est un lieu de rassemblement festif! » Selon lui, les bières de La belle aventure se distinguent par leur qualité, les ingrédients locaux qui y sont mis en valeur et leur accessibilité. La blonde et la blanche, notamment, « rejoignent monsieur et madame tout le monde qui veut s’initier aux bières de microbrasserie. »

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?

« J’ai toujours su que je serais entrepreneur, confie Sébastien, qui a étudié en administration. Je ne savais pas en quoi, mais j’avais toujours ce projet en tête. » Adeptes de bière, lui et ses associés ont eu envie d’un projet autour de cette passion commune. « Au fil de nos voyages, on visitait toujours des microbrasseries. On aimait l’ambiance que ça apportait dans un village. Alors on s’est dit : pourquoi ne pas amener ça chez nous, à Bonaventure? On avait le désir de créer par nous-mêmes, de A à Z, quelque chose qui nous ressemblait et qui mettrait de la vie à Bonaventure. »

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

La belle aventure a obtenu un prêt dans le cadre du fonds d’investissement de la SADC. Sébastien souligne aussi avoir bénéficié de prêts avantageux dans le cadre de son programme Stratégie jeunesse. « Ils ont embarqué dans le projet dès le départ! Ils ont été dans les premiers à l’accepter, et ont toujours été très flexibles dans leur prêt et leurs conditions. Ils sont très proactifs. C’est facile de travailler avec eux. »

Parlez-nous de « bons coups » dont vous êtes particulièrement fier comme entrepreneur (ex. : en matière de développement durable).

Cet hiver, La belle aventure commercialisera ses bières en cannettes. Elles seront vendues sur place au bistro, ainsi que dans des épiceries, dépanneurs et commerces spécialisés de la Baie-des-Chaleurs. « Dans un an, on vise la Gaspésie », mentionne fièrement Sébastien. Par ailleurs, afin de valoriser de ses matières résiduelles, la Microbrasserie remet la drêche (résidu) de sa production de bière à la Ferme Le Caprivore, qui l’utilise pour nourrir ses animaux. La belle aventure fait aussi plusieurs expérimentations avec des produits locaux. « C’est important pour nous de valoriser le terroir », précise Sébastien. L’été dernier, la bière de saison de la microbrasserie était élaborée avec des camerises du Verger Cambrook de Bonaventure. Des tests seront aussi faits prochainement avec du café torréfié en Gaspésie.

Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

« Avoir de la persévérance, affirme Sébastien. Ne pas écouter les gens qui essaient de nous décourager. Si tu crois en ton idée, il faut la faire! » Il précise que ses associés et lui ont fait face à différentes embûches au cours du développement de leur projet, de 2019 à 2022, en pleine pandémie. « En trois ans, il y a un tas de fois qu’on s’est dit que le projet ne se réaliserait pas. » Selon lui, lorsque des défis se présentent, il ne faut pas s’arrêter, mais plutôt « trouver des façons innovantes d’y faire face. »

 


À propos du lieu

Marc-Olivier Forest-Poirier, Sébastien Cayouette et Marie-Pier Dion ont acquis l’ancien restaurant Rendez-vous, au cœur de Bonaventure, en 2020, pour y aménager leur bistro-bar. Un tout nouveau bâtiment érigé derrière accueille leur production de bière.

Portrait d’entreprise – Caprices de cuisine

Mélissa Vaillancourt a pris les rênes de Caprices de cuisine en juillet 2021. Depuis, elle s’affaire à diversifier l’offre, de la conception à la table, en misant sur le service à la clientèle. Rencontre avec Mélissa au sujet de son entreprise, qui a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.

 

L’entreprise, en bref

Caprices de cuisine est une entreprise familiale qui propose une grande variété d’articles de table (vaisselle, verrerie, coutellerie, linge de table…), d’accessoires de bar et de cocktails, d’articles et d’appareils de préparation et de cuisson, de produits alimentaires, et plus encore. Dans sa volonté d’élargir son offre, elle compte même, dans ses locaux, un point de service d’Armoires Distinction. Caprices de cuisine attire de la clientèle de toute la Gaspésie, de Rimouski et du Nouveau-Brunswick.

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?

« On touche seulement la cuisine et on a plusieurs gammes de prix, pour avoir autant du haut de gamme que pouvoir répondre aux gens qui ont un plus petit budget, précise Mélissa. On a aussi réussi à aller chercher des artisans locaux qui fabriquent des accessoires spécifiques pour la cuisine. » L’entreprise propose, entre autres, des tabliers de FishNship – Les ateliers de Catherine Côte et de Lise Hudon, des couvercles en tissu pour les bols, sacs à lunch et napperons de La Découpe, et des produits du bois (cuillères, couteaux à pain) d’artisans de la région. Elle compte aussi des produits alimentaires locaux comme du chocolat à pâtisserie de Chaleur B Chocolat et des friandises de Chocolaterie & Confiserie Linda.

Pourquoi avoir choisi la voie de l’entrepreneuriat?

« Depuis que je suis jeune, je suis là-dedans, ayant été copropriétaire de plusieurs restaurants, explique Mélissa. Là, j’avais envie d’avoir un défi seule, de bâtir quelque chose de différent de la restauration, et on m’a offert cette opportunité. » Pour elle, la vente au détail constituait un beau défi à relever.

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

Pour l’achat de son entreprise, Mélissa a bénéficié du programme Stratégie jeunesse de la SADC, grâce auquel elle a obtenu un prêt à un taux d’intérêt concurrentiel. Elle a également reçu une subvention et un prêt de la MRC Avignon. Ces aides financières combinées lui ont donné un grand avantage : « je n’ai pas eu à faire d’emprunt personnel ». Et elle ajoute : « j’ai aussi pu avoir un soutien de salaire pendant la première année [grâce au programme Soutien au travail autonome, offert par la MRC et Emploi-Québec]. »

Parlez-nous d’un « bon coup » dont vous êtes fière comme entrepreneure.

« Depuis deux semaines, on a une boutique en ligne accessible, mentionne fièrement Mélissa. C’est moi et mon bras droit, Steven Couture [son fils aîné], qui l’avons mise en place. On y travaille encore. Il y a 400 produits à ce jour. » L’entrepreneure se dit également très fière de l’implication de ses trois enfants dans la boutique et du travail accompli en service à la clientèle avec la firme gaspésienne Audace.

Quel conseil donneriez-vous à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

« Foncer! », dit Mélissa sans hésitation. « On est souvent arrêtés. Les gens nous conseillent d’aller doucement, de laisser les choses venir par elles-mêmes, mais il faut foncer! La détermination change tout dans ce qu’on est en train de bâtir. Il faut croire en soi, ne pas s’en faire avec ce que les gens disent. La confiance, c’est le meilleur outil. »

 


 

À propos de Mélissa Vaillancourt

Ayant travaillé une vingtaine d’années dans des postes de direction pour la bannière Subway, Mélissa s’occupait de la mise en place opérationnelle de chaque restaurant et de la gestion des ressources humaines. Depuis juillet 2021, elle relève avec brio le défi d’exploiter un commerce de détail : Caprices de cuisine.

 

Portrait d’entreprise – ÈST éco-cabines

ÈST éco-cabines ouvrait ses portes en juillet 2021, à Miguasha, pour proposer une toute nouvelle expérience de glamping dans la région. Six mois plus tard, une station thermale s’ajoutait à son offre. Rencontre avec Louise Landry, copropriétaire, au sujet de cette entreprise qui a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.

 

L’entreprise, en bref

Fondée par Louise Landry et Maxime Leclerc, ÈST éco-cabines est une entreprise de glamping. Ses six cabines [thuya] sont érigées dans une forêt dense et mature de cèdres, alors que ses deux cabines [Ublo] sont perchées sur une falaise avec vue sur la baie des Chaleurs. Elle compte aussi une station thermale accessible avec ou sans hébergement, offrant sauna sec, hammam, deux cuves (froide et chaude) et deux zones de détente (extérieure et intérieure). Enfin, son bâtiment central propose un accueil libre-service et trois grandes salles de bain privées avec grandes douches et planchers chauffants.

En quoi votre entreprise se démarque?

« Par la proximité avec la nature, tout en profitant d’un confort exemplaire », mentionne Louise. Le glamping en cabines est aussi distinctif en soi. « C’est une nouvelle offre qui ne se retrouve pas ailleurs dans la région. » L’établissement a aussi voulu offrir un accueil libre-service, sans compromis sur le service à la clientèle. « Tout est pensé pour que le client soit autonome sur le site et qu’il ne dépende pas d’une réception ». Par exemple, l’entreprise lui envoie le numéro de cabine et le code d’accès par texto, et met à sa disposition une machine distributrice de bois. « C’est plus fluide comme expérience. »

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?

« Elle est venue vers moi et je l’ai saisie! », affirme Louise. Détentrice d’une maîtrise en sociologie, elle était récemment devenue consultante en optimisation des processus. « C’est là que j’ai commencé à apprivoiser ce qui touche à gérer une corporation. » Maxime, copropriétaire de GROOM, une entreprise de produits de soins pour homme, travaillait aussi comme sonorisateur. En août 2020, alors que le couple est en vacances dans la région, il visite un terrain à vendre à Miguasha. « C’est une opportunité qui s’est offerte à nous. Ce n’était pas du tout planifié. On a eu un gros coup de cœur! » Allumé à l’idée d’exploiter le potentiel du lieu avec du glamping, le couple présente son plan d’affaires à des bailleurs de fonds quatre mois plus tard, puis le concrétise à l’été 2021.

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

« On a eu un soutien financier avec le fonds Stratégie jeunesse et un prêt régulier », mentionne Louise. « C’était un projet de 1,5 M$. Ça nous prenait des liquidités pour démarrer. » Elle souligne également l’appui d’une conseillère aux entreprises de la SADC, Vanessa Ratté. « On a eu beaucoup de conseils, de discussions avec elle pour vérifier les faiblesses dans le plan d’affaires. Elle nous a vraiment accompagnés dans le démarrage. »

Parlez-nous d’un « bon coup » dont vous êtes particulièrement fière comme entrepreneure.

Louise mentionne le volet écoresponsable de l’entreprise. « Quand on a fait construire les éco-cabines, c’était clair, pour nous, qu’on coupait le moins d’arbres possible dans notre cédrière. On a sélectionné chaque arbre. C’est un choix écologique qu’on a fait. » Également, le site ne compte pas de fausse sceptique. « On a installé des toilettes au compost avec zéro odeur, branchées à l’électricité. » Enfin, le bois, un matériau durable, a été privilégié dans la construction des unités.

Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

« Fais-le aie confiance en toi! », s’exclame Louise. Selon elle, la région a un grand potentiel entrepreneurial qui demeure inexploité. « Le monde est à faire, il y a de l’espace pour ça. » Elle rappelle à ceux et celles qui ont peur de foncer qu’ils ne sont pas seuls. « On a eu plein de partenaires qui sont venus nous appuyer, comme la SADC, la MRC Avignon, Investissement Québec et Développement économique Canada. Il y a plein de ressources. Tu te lances moins dans le vide quand des partenaires sont là pour t’appuyer et t’aider. »

 


 

À propos de Maxime Leclerc et Louise Landry

Natifs respectivement de Sainte-Foy et de Carleton-sur-Mer, Maxime Leclerc et Louise Landry ont troqué la vie montréalaise pour fonder ÈST éco-cabines. Maxime y travaille comme directeur des opérations, alors que Louise en est la directrice, administration et finances. Ils sont aussi les heureux parents d’un petit Gaspésien né en 2021.

Portrait d’entreprise – M.J. Brière

Le garage M.J. Brière, à Caplan, inaugurait son tout nouveau bâtiment en juin dernier. À la suite de la concrétisation de ce grand projet, Alexandre Bujold, conseiller aux ventes et future relève de l’entreprise, se concentre à présent sur le processus de transfert aux côtés de sa mère, Manon Brière. Rencontre avec Alexandre au sujet de l’entreprise, qui a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.

 

L’entreprise, en bref

M.J. Brière inc. offre une vaste gamme de produits Kubota, neufs ou usagés. En plus de faire la vente de nombreux équipements (tracteurs, tondeuses, véhicules utilitaires, excavatrices, chargeurs et machinerie agricole), de trousses d’entretien, de pièces et d’accessoires, l’entreprise propose des services d’entretien et de réparation pour les produits Kubota.

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?

« Le service à la clientèle et le service après-vente, répond d’emblée Alexandre. On est une entreprise familiale, en action depuis près de 50 ans! » Le personnel de M.J. Brière prend le temps d’aider la clientèle à choisir le bon équipement, puis de la conseiller pour les problématiques vécues, au jour le jour. « Il n’y a pas de vente sous pression. On accueille le client comme un membre de la famille. En Gaspésie, on fait l’épicerie avec la clientèle; il y a un respect mutuel [qui s’installe]. »

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?

Fils de gens d’affaires, Alexandre souhaitait être entrepreneur pour la liberté que cela procure. « Plus jeune, j’ai toujours travaillé pour ma famille. » À 18 ans, il a tenu à avoir d’autres expériences de travail hors de la région. « Je voulais voir ce qu’il y avait ailleurs, ce que le monde avait à m’offrir, explique-t-il. J’en faisais toujours un peu plus que ce que le patron demandait. J’avais ça à cœur. C’était dans mon ADN, c’est comme ça que j’ai grandi. » En 2013, il a fait le choix de revenir en Gaspésie. « Je savais que c’était là que j’allais faire ma vie. » Également, pour lui, continuer de travailler avec le public allait de soi. « J’adore! J’aime les défis que ça implique. »

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

« Du support, de A à Z! De l’aide, une oreille et des conseils », mentionne Alexandre, en référence au projet de nouveau bâtiment inauguré en juin 2022. « Quand on a fait des recherches pour faire la construction, des portes se fermaient partout [en raison de la pandémie]. » Il souligne que la SADC a aidé M.J. Brière au point de vue du plan d’affaires et du financement, notamment en lui conseillant à quelles portes aller frapper. « Faire notre nouveau branding nous a aussi beaucoup aidés. »

Parlez-nous d’un récent « bon coup » de l’entreprise dont vous êtes particulièrement fier.

Le nouveau bâtiment est bien entendu un bon coup majeur des derniers mois. Avec sa construction, M.J. Brière a voulu en profiter pour insuffler un vent de renouveau dans d’autres sphères de l’entreprise. « Il y a un nouveau site Web, de nouveaux systèmes pour les appels, indique Alexandre. On a remanié le système hiérarchique du garage de A à Z! » La disposition des locaux a aussi été repensée. « En entrant dans le garage, il y a un ordre plus fluide même pour le service. »

Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

« Prendre soin de ses clients », affirme Alexandre. Il souligne qu’on doit en tout temps garder en tête la proximité avec la clientèle dans les petits milieux. « En Gaspésie, un client satisfait va le dire à cinq personnes, mais un client insatisfait va le dire à tout le village! » Selon lui, il faut toujours demeurer à l’écoute des clients. « C’est eux qui amènent l’eau au moulin. Des fois, ça peut aller à l’encontre de tes idées, mais tu peux aller chercher la petite chose qui fait que ton commerce va mieux se porter. »

 


 

À propos d’Alexandre Bujold

Travaillant au sein de l’entreprise familiale M.J. Brière depuis 2013, Alexandre Bujold amorce actuellement un processus de transfert pour en assurer la relève. Fondée par son grand-père, Magella Brière, en 1974, elle est actuellement détenue par sa mère, Manon Brière.

Portrait d’entreprise – Distillerie des Marigots

Joseph St-Denis Boulanger et sa conjointe, Laurie-Anne Cloutier, ont mis sur pied la Distillerie des Marigots à Caplan en 2019. Depuis sa sortie à la fin 2020, leur gin Récif a reçu d’impressionnants honneurs à l’international. Rencontre avec Joseph au sujet de l’entrepreneuriat et de la Distillerie, qui a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs. 

 

L’entreprise, en bref 

La Distillerie des Marigots propose des spiritueux qui se distinguent par leur aspect raffiné et la richesse de leurs saveurs, typiques du terroir gaspésien. À son produit phare, le gin Récif, s’ajoutent des petits lots expérimentaux comme les gins de la Série exploratoire. 

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle? 

« On se distingue en mettant de l’avant les saveurs de la Gaspésie, sans compromis, affirme Joseph. La richesse des arômes est très importante. La qualité des ingrédients, des équipements. Il n’y a pas de compromis au niveau de la qualité. » La Distillerie offre aussi des exclusivités aux visiteurs, comme certains produits vendus sur place uniquement. Le public peut aussi être témoin des activités. « Il y a une proximité avec la réalité de la distillation. » 

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat? 

« Ça fait longtemps que j’ai ça en moi, raconte Joseph. À 12 ans, je vendais des bâtons de marche dans le réseau Signature Gaspésie! » En 5e secondaire, il souhaitait déjà être entrepreneur, et il a poursuivi ses études en ingénierie dans le but de le devenir. « J’aime créer quelque chose qui va perdurer, investir mon temps et mes énergies dans quelque chose qui me ressemble. » 

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté? 

La Distillerie a obtenu un prêt grâce au fonds d’investissement de la SADC. Également, pour le démarrage, Joseph et Laurie-Anne ont tous les deux obtenu un prêt dans le cadre du fonds Stratégie jeunesse. Joseph souligne aussi avoir bénéficié de plusieurs bons conseils des membres de l’équipe de la SADC en amont. « Elles m’ont donné leurs impressions et leurs recommandations pour bonifier le plan d’affaires. »  

Parlez-nous d’un récent « bon coup » dont vous êtes particulièrement fiers comme entrepreneurs (ex. : en matière de développement durable). 

« On réutilise les bières périmées du Naufrageur pour les revaloriser en whisky. On a mis aussi en place un système de récupération de bouteilles. On est rendus à 500! » Joseph essaie de multiplier les occasions de valoriser les matières résiduelles. Il précise avoir récemment adhéré à Synergie Gaspésie, un projet d’économie circulaire dans le cadre duquel il pourra avoir d’autres occasions de maillage avec des entreprises locales. 

Quel conseil donneriez-vous à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs? 

« Ne pas hésiter à contacter tous les intervenants économiques et en développement! » Selon lui, ces gens « en mettent un peu plus, travaillent pour que ça marche. C’est du monde passionné, qui est là pour essayer de trouver une façon que ça fonctionne pour toi. » Il souligne aussi l’importance d’inclure la communauté dans le projet. « Une des forces dans la Baie-des-Chaleurs, c’est la communauté. Elle est derrière les entreprises et leur ouvre les bras. » Selon Joseph, ça fait partie du plaisir qu’elle soit impliquée dans l’entreprise, et inversement. 

 

 

 

À propos de Joseph et Laurie-Anne 

Natif de Caplan, Joseph St-Denis Boulanger est président et maître distillateur de l’entreprise. Originaire de Montréal, sa partenaire et complice, Laurie-Anne Cloutier, occupe la fonction de vice-présidente. 

Portrait d’entreprise – Agenda Fleuriste

Kim Lavigne a acquis l’entreprise Agenda Fleuriste, à Maria, en juillet 2019. Depuis, la jeune maman embellit le quotidien des gens de la région avec ses fleurs, plantes et objets. Entretien avec Kim au sujet de l’entrepreneuriat et de son entreprise, qui a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.  

 

L’entreprise, en bref 

Agenda Fleuriste propose fleurs, plantes, ballons à l’hélium et divers cadeaux dans sa boutique de Maria, ainsi qu’une sélection de produits sur son site transactionnel. Elle offre aussi un service livraison allant de Nouvelle à Bonaventure. 

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle? 

« Quand j’ai acheté la boutique, mon objectif était d’avoir une grande variété de plantes pour que les gens trouvent [des espèces] qu’ils n’ont pas déjà », mentionne Kim. En avril, elle a mis sur pied le groupe Facebook « Les VIP des plantes d’Agenda Fleuriste », une initiative qui permet aux membres d’accéder à de l’information privilégiée sur les plantes reçues ou attendues. Kim a le souci de bien répondre aux besoins de clientèle, mais aussi de les respecter. L’accueil et l’ambiance amicale en boutique comptent aussi beaucoup pour elle. « Et ça sent bon quand on entre! » 

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat? 

C’est le fait de pouvoir accomplir une grande diversité de tâches qui a incité Kim à devenir entrepreneure. Elle a rencontré l’ancienne propriétaire d’Agenda Fleuriste en janvier 2019, puis commencé à travailler avec elle en février. « J’ai été formée sur place », précise la biologiste de formation. En juillet, elle volait de ses propres ailes. « Il n’y a pas de limite à ce que je peux faire maintenant! Si je trouve que ça tourne en rond, j’ai juste à faire autre chose. Je suis tout le temps en train de regarder pour des nouveaux projets. » 

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté? 

« Ça m’a permis de concrétiser mon projet », mentionne Kim, qui a obtenu le soutien de la MRC, de la SADC, de Desjardins, d’Accès Micro-Crédit et de l’ancienne propriétaire pour l’achat de l’entreprise. La SADC lui a par la suite offert du financement pour un site Web transactionnel puis une formation en marketing Web, qui a fait émerger l’idée d’un groupe Facebook VIP. Enfin, Kim apprécie que la SADC l’ait appelée personnellement, en avril dernier, pour assister au Rendez-vous de l’économie circulaire. « Ils ont bien fait! », confie la jeune maman bien occupée. C’était vraiment intéressant. Ça m’a fait du bien! » 

Parlez-nous d’un « bon coup » dont vous êtes particulièrement fière en matière de développement durable. 

« L’une des premières choses que j’ai faites, c’est d’aller chercher un véhicule électrique pour les livraisons », mentionne Kim, qui dessert un vaste territoire. « Petit à petit, je fais des changements. Pour les fleurs, avant, c’était des emballages en plastique. Maintenant, c’est à 95 % dans du papier kraft. » Également, elle ramène lorsqu’elle le peut des plantes du Cactus fleuri, qui poussent au Québec. Une collaboration avec une entreprise gaspésienne est aussi à venir pour la vente de fleurs biologiques et locales en saison. 

Quel conseil donneriez-vous à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs? 

« Se faire confiance, foncer, y aller une étape à la fois, même si ça peut paraître une grosse montagne!, affirme Kim. Moi, j’étais bien entourée. » Elle souligne aussi qu’il y a de belles ressources dans la région. « J’ai été bien accompagnée. Aller voir un autre entrepreneur ou la MRC, c’est toujours une bonne idée. » 

 

 

 

À propos de Kim Lavigne 

Originaire de Laval, Kim a résidé dans Lanaudière puis étudié à Rimouski. Bachelière en biologie et détentrice d’une maîtrise en gestion des ressources maritimes, elle se passionne pour les poissons et les plantes. Résidant en Gaspésie depuis cinq ans, elle est aussi l’heureuse maman de Tiam, 9 mois. 

Portrait d’entreprise – Bois JL

Jacki Leblanc a fondé l’entreprise de transformation Bois JL en mai 2018 à Carleton-sur-Mer. Et depuis, une clientèle grandissante d’usines de sciage, d’entrepreneurs en construction et de particuliers adopte ses produits de bois de qualité. Entretien avec Jacki au sujet de son entreprise, qui a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.

 

L’entreprise, en bref

Bois JL transforme des essences locales de bois (ex. : cèdre, épinette, tremble, mélèze) en produits de qualité comme des portes, lattes, moulures et poutres en bois massif. L’entreprise propose aussi du bois exotique aux ébénistes. Employant de cinq à six employés annuellement, elle est aussi distributrice des produits de Groupe Lebel.

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?

Bois JL se distingue par la qualité de ses produits et ses prix concurrentiels. « Il n’y a pas d’intermédiaires. Le bois, je le scie, je le vends. Ce qui fait qu’on est beaucoup moins cher », explique-t-il. « Ce qu’on fait beaucoup, c’est du tremble, un bois méconnu. On le scie d’une manière différente. Une fois séché, on le redresse et ça fait un super beau bois, utilisable pour du lambris. »

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?

« Depuis que j’ai 20 ans que je rêvais de ça!, s’exclame Jacki. J’étais rendu à 46 ans, il fallait que je le fasse. Ma mère était entrepreneure aussi. » Et ce nouveau rôle d’entrepreneur lui plaît beaucoup. « C’est le bonheur total! »

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

« J’ai eu un prêt quand j’ai démarré mon entreprise », mentionne Jacki, puis de l’aide technique pour créer une page Facebook. Il a beaucoup apprécié l’accompagnement offert. « C’était sécurisant », confie-t-il. « Quand j’ai fait un autre emprunt plus tard, je suis aussi allé avec la SADC. »

Parlez-nous d’un récent « bon coup » dont vous êtes particulièrement fier comme entrepreneur.

« J’ai acheté une machine pour enlever du travail manuel aux gars, affirme Jacki. C’est un trimmer [ébouteur], un butteur de précision. Avant, on débitait les bundles [paquets de bois] à la scie mécanique. Les gars travaillent moins dur avec ça. Et ça donne un produit de meilleure qualité », aux dimensions très précises.

Quel conseil donneriez-vous à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

Selon Jacki, il faut savoir bien s’entourer et aller frapper aux bonnes portes. En plus de la SADC, la MRC Avignon lui a offert une aide précieuse. « La MRC m’a donné un bon coup de main pour le plan d’affaires. J’ai été bien conseillé. »

 


 

À propos de Jacki Leblanc

Ayant d’abord fait carrière comme électricien, Jacki Leblanc souhaitait changer de domaine. Passionné du bois, il a fondé Bois JL en 2018 à Carleton-sur-Mer (secteur Saint-Omer).

Portrait d’entreprise – Maille atelier collaboratif

Laura-Anne Lamarche et Ghislain Dea ont cofondé Maille atelier collaboratif en 2019, à New Richmond. Depuis, leurs mobiliers durables ont rehaussé le décor et optimisé l’espace de plusieurs résidences, commerces et organisations de la Gaspésie. Rencontre avec Laura-Anne au sujet de l’entrepreneuriat et de son entreprise, qui a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.

 

L’entreprise, en bref

Maille atelier collaboratif combine des services de design professionnel et d’ébénisterie afin de réaliser des solutions d’aménagement adaptées aux besoins spécifiques de chaque client. Avec le souci du détail, son équipe fabrique et installe des mobiliers durables à l’esthétique intemporelle, faits de matériaux de qualité.

 En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?

« On se démarque par l’originalité des projets qu’on conçoit et par la diversité des produits qu’on est capables d’offrir avec tous les sous-traitants qui nous accompagnent », affirme Laura-Anne. « On essaie de ne pas se donner de limite conceptuelle ou de matériaux. On travaille le métal, le bois, le verre. On ne fait pas juste des armoires; on peut faire des escaliers, des garde-corps. C’est de l’ébénisterie architecturale. La plupart du temps, ça reste fonctionnel, mais on frôle un peu l’art. »

 Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?

Ghislain et moi, « on ne trouvait pas nécessairement d’emploi dans la région à l’image de ce qu’on avait envie d’accomplir, raconte Laura-Anne. C’est nos passions qui nous ont menés vers [l’entrepreneuriat], pour créer un emploi à notre image et aimer notre job. On trouvait aussi que l’offre de mobilier sur mesure pouvait être bonifiée dans la région. »

 Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

D’abord, Maille a obtenu du financement. « C’est une des offres les plus avantageuses dans la région, mentionne la jeune entrepreneure. C’est sous forme de prêt personnel et c’est vraiment intéressant comme mise de fonds pour un démarrage d’entreprise. » Maille a aussi eu soutien de la SADC pendant la crise, puis du financement pour un projet structurant. Cette aide leur a « permis de faire une planification stratégique; d’aller chercher un accompagnement pour revoir la structure de l’entreprise et devenir plus efficaces ».

 Parlez-nous d’un récent « bon coup » dont vous êtes particulièrement fière comme entrepreneure (ex. : en matière de développement durable).

« On essaie toujours de faire les choix de matériaux les plus durables, précise Laura-Anne. Dernièrement, on a soumis une question de recherche au CIRADD [un centre de recherche rattaché au Cégep de la Gaspésie et des Îles], qui a été retenue. Des étudiants en sciences de la nature, qui travaillent en partenariat avec du personnel du CIRADD, vont nous faire des propositions pour revaloriser nos retailles de matériaux. »

 Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

« Ça prend une petite dose de naïveté. Pose-toi pas trop de questions. Essaie, vas-y! », suggère Laura-Anne. « Je pense que ce qui fait notre succès et que ça fonctionne, c’est qu’on est passionnés. Mais il faut que tu saches que tu ne vas pas tout le temps, tous les jours, faire ce qui te passionne. » L’ouverture et la collaboration sont aussi essentielles. « C’est important de ne pas avoir peur de demander de l’aide quand il y a des choses qu’on maîtrise un peu moins et de bien s’entourer. »

 


 

À propos de Laura-Anne Lamarche et Ghislain Dea

Cofondateurs de Maille Atelier collaboratif, Laura-Anne Lamarche et Ghislain Dea ont des expertises complémentaires au sein de l’entreprise. Membre de l’Ordre des architectes du Québec, Laura-Anne est chargée de projet et architecte. Ghislain est quant à lui membre de l’Ordre des ingénieurs du Québec et il œuvre à titre de concepteur technique et d’ingénieur mécanique.

Portrait d’entreprise – La belle vie sailing

Marie-Pier Grenier et Adrien Bernier Nadeau ont créé La belle vie sailing à Paspébiac, en 2019. Et depuis, l’engouement ne cesse de croître pour leur entreprise de voile. Le couple a d’ailleurs obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs en 2021 pour assurer son expansion. À bord du catamaran Vanamo accosté à Bouillante, en Guadeloupe, Marie-Pier a répondu à nos questions pour vous faire découvrir l’entreprise et le duo d’entrepreneurs qu’elle forme avec son conjoint. 

 

L’entreprise, en bref 

Profitant du fort achalandage touristique pendant l’été, La belle vie sailing propose des cours de voile, mais aussi des sorties de 3 h ou encore de 24 h avec nuitée et repas sur la baie des Chaleurs. En hiver, elle offre des séjours d’une semaine en mode « vacances à voile » dans les Caraïbes. 

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle? 

La belle vie sailing constitue, selon Marie-Pier, l’une des rares ou même la seule entreprise au Québec à offrir ses services toute l’année. « C’est notre voilier qu’on descend [dans les Caraïbes] et ça rend notre entreprise originale, unique! » Autre élément distinctif : « le fait qu’on soit un couple d’entrepreneurs. On est les deux à temps plein sur le bateau pour offrir nos services. Nos compétences et forces sont très complémentaires. » Le couple en tire profit pour proposer une expérience client au service personnalisé, avec nuitées et repas à bord. 

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat? 

« La crise de la trentaine, je pense, mentionne Marie-Pier d’entrée de jeu. Métro, boulot, dodo ne nous convenait pas. Le point initial était le désir de partir une entreprise, de bâtir quelque chose de viable, de nouveau, de distinctif. » Le couple avait aussi le désir de voyager et de découvrir le monde autrement. « L’idée de la voile est venue grâce à Adrien, qui voulait vivre de sa passion, poursuit-elle. Moi, ça a toujours été un rêve de me partir en affaires. Tous les deux, on souhaitait avoir la liberté de choix pour nos actions. Avoir du pouvoir décisionnel sur notre vie et ce qui nous fait vivre. » 

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté? 

« Ça nous a permis de réaliser une première phase de l’expansion de l’entreprise, affirme Marie-Pier. On est allés chercher du financement pour faire l’acquisition d’un voilier de type multicoque catamaran habitable, pour accueillir plus de clients à la fois et répondre à la forte demande. Dans un deuxième temps, on va vouloir acquérir d’autres voiliers. » 

Parlez-nous d’un récent « bon coup » dont vous êtes particulièrement fiers comme entrepreneurs (ex. : en matière de développement durable). 

« À la base, on est une entreprise qui, de par ses activités et son équipement, est très écologique, fait remarquer Marie-Pier. On utilise des ressources renouvelables pour notre énergie à bord. On crée notre propre eau et notre propre électricité, de manière autonome. » Marie-Pier explique que des panneaux solaires permettent de créer de l’énergie qui s’emmagasine dans leurs batteries pour alimenter lumières, instruments de navigation, etc. Ces batteries alimentent aussi leur dessalinisateur, qui pompe l’eau de mer, en retire les particules, dont le sel, et fait ressortir de l’eau douce et potable.  

« Dans les derniers mois, on a réussi à aller chercher un partenaire majeur : Volthium, une entreprise québécoise – encourager le local fait aussi partie de nos valeurs! – qui développe des batteries au lithium. C’est plus écologique que les batteries à l’acide, beaucoup plus durable dans le temps. » 

Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs? 

« Ne pas hésiter à faire des contacts avec les autres entreprises, organisations de la Baie-des-Chaleurs », mentionne Marie-Pier. « Il faut créer des liens et des partenariats avec les gens locaux. Avec la force de plusieurs, on peut aller plus loin et plus vite! » 

 


 

À propos d’Adrien et Marie-Pier 

Originaire de Lévis, Marie-Pier Grenier a été conseillère en entrepreneuriat et consultante en gestion, en plus d’avoir œuvré 10 ans en restauration. Titulaire d’un bac en administration des affaires et d’un MBA en gestion internationale, elle s’occupe du service client de La belle vie sailing. 

 

Natif de Carleton-sur-Mer, Adrien Bernier Nadeau a appris la navigation sur le voilier de ses parents dans la baie des Chaleurs. Ingénieur mécanique de formation, il a aussi acquis différents brevets et certificats qui lui ont permis de devenir capitaine et instructeur de voile à La belle vie sailing. 

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ANNUELLE 2023-2024 DE LA SADC DE LA MRC DE RIVIÈRE-DU-LOUP

Vous êtes invité à participer à l’Assemblée générale annuelle de la SADC de la MRC de Rivière-du-Loup qui aura lieu le mercredi 26 juin 2024, de 16 h à 18 h, à l’Auberge de la Pointe (10, boul. Cartier, Rivière-du-Loup). 

Au programme :
– Présentation du rapport annuel 2023-2024
– Mini-conférence sur les services de la SADC en économie circulaire avec Alexandre Jolicoeur, conseiller en économie circulaire à la SADC de la MRC de Rivière-du-Loup
– Discussion et réseautage

Veuillez vous inscrire afin de réserver votre place et avoir accès au cocktail et aux bouchées. Merci de compléter le formulaire avant le 20 juin. 

Si vous désirez porter votre candidature au conseil d’administration, veuillez le signifier par écrit avant le 17 juin prochain à mjdorval@sadcmrcrdl.ca.

Au plaisir de vous y voir !

AGA SADC VALLÉE-DE-LA-GATINEAU, des résultats très satisfaisants.

Le 28 mai 2024 s’est tenue l’Assemblée Générale Annuelle de la SADC Vallée-de-la-Gatineau.  À cette occasion, la trentaine de personnes présentes ont pu constater que la SADC-VG a effectué, dans la Vallée-de-la-Gatineau, des investissement de plus de près de 1.2M$ provoquant ainsi des investissements totaux générés de plus 2,6M$.  Sur une période de 5 ans, les investissements totaux générés sont de près de 3,4M$ pour des investissements totaux générés de plus de 12,8M$.

Tous les détails Rapport annuel 2023-2024- SADC

 

19 juin 2024 : Assemblée générale annuelle

C’est avec plaisir que la SADC du Kamouraska vous convie à assister à sa trentième (30e) assemblée générale annuelle qui se tiendra le mercredi 19 juin 2024 à 16 h au Motel Le Martinet de La Pocatière (120, route 230 Ouest). Nous profiterons de l’événement pour faire le lancement de la nouvelle planification stratégique de la SADC.
Déroulement :
15 h 30 – Accueil et réseautage
16 h 00 – Assemblée générale annuelle
17 h 30 – Poursuite du réseautage
Confirmez votre présence d’ici le 14 juin 2024 : https://forms.office.com/r/US15GKpgQx
Par le fait même, nous vous invitons à devenir membre ou à renouveler votre membership, si ce n’est pas déjà fait. Nous vous remercions d’avance de votre adhésion. https://forms.zohopublic.com/…/tXVpBC8ckG1Yh7wjaDOFjvDi…
En terminant, nous vous informons que les sièges 1, 3 et 5 de notre conseil d’administration seront en élection. Pour les personnes intéressées à poser leur candidature, le formulaire de mise en candidature doit être complété avant le 7 juin 2024 à 12 h. https://www.sadc-cae.ca/…/Formulaire-de-mise-en…
Au plaisir de se rencontrer le 19 juin prochain!
Anik Briand, directrice générale

Desjardins, commanditaire majeur du projet Mobil’eau

Rivière-du-Loup, le 22 mai 2024 – La Société d’aide au développement de la collectivité (SADC) du Kamouraska et la SADC de la MRC de Rivière-du-Loup sont fières d’annoncer un nouveau partenariat majeur avec les quatre caisses Desjardins de leur territoire. Cette entente assure le financement du projet Mobil’eau pour les cinq prochaines années.

Les Caisses Desjardins Centre-Est-du-Kamouraska, de l’Anse de La Pocatière, de Rivière-du Loup et Viger et Villeray vont financer le projet Mobil’eau pour un montant total de 50 000 $, à raison de 10 000 $ par année jusqu’en 2028.

Le projet d’unités mobiles d’eau potable et de lavage de vaisselle Mobil’eau a pour objectif d’offrir des solutions de réduction des produits à usage unique lors de différentes activités telles que des festivals, fêtes municipales ou compétitions sportives, et d’améliorer, de manière plus globale, la gestion des matières résiduelles lors d’événements d’envergure.

« Pour les 4 Caisses de la MRC de Rivière-du-Loup et du Kamouraska, ce partenariat illustre parfaitement notre engagement envers l’environnement. En effet, la mise en place de bonnes pratiques en développement durable est une cause qui nous touche et qui fait écho aux valeurs du Mouvement Desjardins. C’est donc avec beaucoup de fierté que nous unissons nos couleurs à celles des SADC afin de propulser les activités du Mobil’eau dans notre région. »
– Christiane Castonguay, directrice générale, au nom des Caisses Desjardins

« Nous sommes particulièrement reconnaissantes envers les caisses Desjardins de notre région pour ce précieux soutien financier, qui va permettre le déploiement du projet Mobil’eau sur plusieurs années à plus grande échelle. Ce partenariat démontre notre souci commun envers le développement durable et renforce nos actions respectives en matière d’environnement. » – Anik Briand et Marie-Josée Dorval, respectivement directrices des SADC du Kamouraska et de la MRC de Rivière-du-Loup.

En 2023, lors de la phase pilote, 10 événements ont accueilli un Mobil’eau dans la MRC du Kamouraska et de Rivière-du-Loup et 6 800 bouteilles d’eau en plastique ont été évitées. Au moins 20 événements bénéficieront des unités mobiles d’eau potable en 2024.

Créatrice de valeur, la SADC du Kamouraska a pour mission de stimuler le développement de son territoire d’une façon durable en accompagnant les entrepreneurs et les acteurs du milieu dans leurs projets par son expertise et ses outils financiers.
La SADC de la MRC de Rivière-du-Loup oriente et supporte le développement et la réussite de projets entrepreneuriaux et collectifs sur son territoire, un conseil à la fois.

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Sources :
Sources :
Anik Briand, directrice générale
SADC du Kamouraska
418 856-3482 poste 110
abriand@sadckamouraska.com

Marie-Josée Dorval, directrice générale
SADC de la MRC de Rivière-du-Loup
418 867-4272 poste 202
mjdorval@sadcmrcrdl.ca

AVIS DE CONVCATION – ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ANNUELLE

AVIS DE  CONVOCATION

L’assemblée générale annuelle de la Société d’aide au développement des collectivités de la Vallée-de-la-Gatineau se tiendra le mardi 28 mai 2024, à 17 h 00 au Refuge 1128.  Pour y assister, vous devez obligatoirement vous inscrire au préalable par téléphone au 819-449-1551,  en cliquant ici ou en utilisant le code QR ci-bas.

Projet d’ordre du jour

  1. Ouverture de l’assemblée ;
  2. Adoption de l’ordre du jour ;
  3. Adoption du procès-verbal de l’assemblée du 30 mai 2023 ;
  4. Présentation et adoption du rapport-annuel 2023-2024 ;
  5. Nomination du vérificateur ;
  6. Nomination des représentants au conseil d’administration et présentation des administrateurs ;
  7. Questions diverses ;
  8. Fermeture de la rencontre

 

Donné à Maniwaki, le 13 mai 2024

Kerry Anne Gorman, secrétaire

 

22 et 28 mai 2024 : Conférence sur l’organisation d’un événement extérieur écoresponsable

Les SADC du Kamouraska et de la MRC de Rivière-du-Loup vous invitent à une conférence gratuite portant sur l’organisation d’un événement extérieur écoresponsable, dans le cadre du lancement de la saison 2024 du projet Mobil’eau, qui sera présentée à deux reprises :
  • Mercredi 22 mai, à 16 h, à l’Auberge de la Pointe, à Rivière-du-Loup (10, boul. Cartier)
  • Mardi 28 mai, à 16 h, au Camp Richelieu, à Saint-Pascal (198B, route 230 Ouest)
À vous de choisir la date qui vous convient le mieux.
Au programme :
  • Annonce du nouveau commanditaire majeur du projet Mobil’eau.
  • Dévoilement des événements 2024 qui accueilleront une unité mobile d’eau potable.
  • Conférence portant sur l’organisation d’un événement écoresponsable, présentée par Ophélie Deschamps Lévesque, conseillère en gestion environnementale, Collectivités écologiques Bas-Saint-Laurent (Co-éco).
  • Présentation en primeur du « Guide pratique pour un événement extérieur écoresponsable », qui sera ensuite mis à la disposition des organisateurs d’événements de la région.
  • Démonstration des deux unités mobiles d’eau potable et de lavage de vaisselle Mobil’eau et Mobil’eau+.
INSCRIPTION obligatoire au plus tard le 24 maihttps://forms.office.com/r/H4cXgaFVYP
INFORMATION : Carole Corson, chargée de projets, SADC du Kamouraska | ccorson@sadckamouraska.com | 418 863-3336

Les lauréats du 26e Défi OSEntreprendre de la MRC de Rivière-du-Loup dévoilés!

Les lauréats du 26e Défi OSEntreprendre de la MRC de Rivière-du-Loup sont maintenant dévoilés!

Rivière-du-Loup, le vendredi 29 mars 2024 – C’est avec une grande fierté que nous dévoilons les lauréats locaux de la MRC de Rivière-du-Loup du 26e Défi OSEntreprendre. Ce concours fait rayonner les initiatives et inspire un plus grand nombre de personnes à passer à l’action. Pas de doute que notre région peut en être fière!

Jeudi dernier, lors de la soirée de remise de prix, la présidente d’honneur locale de ce 26e Défi OSEntreprendre, madame Sandra St-Jean, copropriétaire du Casse-croûte Frais Délices et propriétaire du Marché des Îles, s’est dit très inspirée par le dynamisme des lauréats. « L’entrepreneuriat c’est beau et c’est bon mais parfois difficile. Écoutez votre cœur, c’est ça qui est important ». Elle n’a pas manqué de souligner l’importance de croire en soi et de poursuivre ses rêves. Le Défi OSEntreprendre, selon elle, est le tremplin par excellence pour mettre en lumière ce qui se fait de beau dans la région! « L’aventure de participer au Défi est fantastique. Profitez-en parce que vous n’aurez pas toujours cette opportunité. Pour ma part, même après 8 ans, on m’en parle encore! »

Les lauréats

Lors de ce gala, 4 prix ont été remis aux lauréats qui se sont démarqués par leur candidature. Dans le volet « création d’entreprise », les premiers prix des catégories ont été décernés à :

  • Services aux entreprises : Scène’art de Rivière-du-Loup
  • Services aux individus Mélissa Fortin de Rivière-du-Loup
  • CommerceBernadette de Rivière-du-Loup.

Dans le volet « faire affaire ensemble », le premier prix a été décerné au Centre Canin Entre Bonnes Pattes Inc. de Saint-Antonin.

Les partenaires financiers

Nous voulons remercier les généreux partenaires financiers de cette 26e édition. Grâce à eux, nous avons remis des bourses totalisant 1 000 $ à nos lauréats locaux.

Les partenaires OR :

Amélie Dionne, députée de Rivière-du-Loup-Témiscouata | HarveyCorp | Mallette | CLD de la région de Rivière-du-Loup |SADC de la MRC de Rivière-du-Loup |Association des concessionnaires automobiles et de camions de Rivière-du-Loup |Lepage Millwork ! Marché des Îles

Les partenaires ARGENT :

Papiers White Birch – Division FF Soucy | Transport Morneau |Groupe Lebel

Les partenaires BRONZE :

Alain Normand Transport | Salon Jean par Marie-Pier Tremblay

Un partenariat gagnant

Si le Défi OSEntreprendre de la MRC de Rivière-du-Loup est devenu un incontournable pour propulser l’esprit d’entreprendre sur le territoire de Rivière-du-Loup, c’est grâce à l’étroite collaboration des organisations de développement économique et du milieu entrepreneurial. Rappelons que le CLD de la région de Rivière-du-Loup et la SADC de la MRC de Rivière-du-Loup sont les organismes responsables locaux depuis le tout début de cet évènement. Pour inspirer le désir d’entreprendre dans la région, il peut compter sur de nombreux collaborateurs et partenaires!

À propos du Défi OSEntreprendre

La principale activité d’OSEntreprendre, le Défi OSEntreprendre, est un grand mouvement québécois qui fait rayonner annuellement les initiatives entrepreneuriales de quelque 75 215 personnes : des jeunes du préscolaire jusqu’à l’université appuyés par leurs intervenants scolaires avec son volet Scolaire, de nouveaux entrepreneurs avec son volet Création d’entreprise, des entrepreneurs au cheminement inspirant avec son volet Réussite inc. et des modèles d’approvisionnement d’ici avec son volet Faire affaire ensemble. Il se déploie et s’enracine aux échelons local, régional et national. Pour sa mise en œuvre, plus de 300 responsables se mobilisent dans les 17 régions du Québec afin de mettre en lumière les projets issus de leur milieu.

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Source :

Jenny Pouliot, coresponsable locale

CLD de la région de Rivière-du-Loup

418 862-1823 poste 102, jpouliot@cldrdl.com

Première saison réussie pour le projet Mobil’eau : 6 800 bouteilles d’eau en plastique évitées!

La Pocatière, le 16 novembre 2023 – Les Sociétés d’aide au développement de la collectivité (SADC) du Kamouraska et de la MRC de Rivière-du-Loup tirent un bilan très positif de la phase pilote du projet Mobil’eau, visant à offrir des solutions de réduction des produits à usage unique lors d’événements extérieurs.

Grâce au soutien financier de RECYC-QUÉBEC et un investissement des SADC du Kamouraska et de la MRC de Rivière-du-Loup, deux unités mobiles d’eau potable et de lavage de vaisselle ont été mises à la disposition de différents promoteurs d’événements dans la région de juin à octobre 2023.

10 événements ont accueilli un Mobil’eau : (Voir photos)

  • Fête de la Saint-Jean-Baptiste, Saint-Pacôme
  • Tournoi de baseball, Saint-Pascal
  • Festival Bonjour la visite, Saint-Pascal
  • Compétition de BMX, Saint-Modeste
  • Tour de la Pointe, Rivière-du-Loup
  • L’École au Sommet, Rivière-du-Loup
  • 100e anniversaire de Premier Tech, Rivière-du-Loup
  • Grande marche Pierre Lavoie, Rivière-du-Loup
  • Grande fête familiale du 350e de Rivière-du-Loup
  • Halloween, La Pocatière

Mentionnons que les unités mobiles sont disponibles en deux versions. L’unité autonome Mobil’eau est une remorque fermée équipée d’un réservoir de 1 000 litres, de trois distributrices d’eau comprenant abreuvoirs et remplisseurs de gourdes, de batteries et de panneaux solaires. Elle peut également être raccordée aux réseaux d’aqueduc et d’électricité.

L’unité Mobil’eau+ est, quant à elle, équipée de trois distributrices d’eau comprenant abreuvoirs et remplisseurs de gourdes, ainsi que d’un lave-vaisselle commercial à cycle rapide et de verres réutilisables. Elle doit être branchée aux réseaux d’aqueduc et d’électricité pour fonctionner.  (Les 2 Mobil’eau)

« La première saison du projet Mobil’eau a été couronnée de succès notamment grâce à la précieuse collaboration des villes de Rivière-du-Loup, Saint-Pascal et La Pocatière, tant au niveau de leur expertise en eau potable que sur le plan logistique. Ensemble, nous contribuons à rendre les événements plus écoresponsables, un incontournable qui rejoint un nombre grandissant de participants », soulignent d’une même voix Anik Briand et Marie-Josée Dorval, respectivement directrices des SADC du Kamouraska et de la MRC de Rivière-du-Loup.

Collectivités écologiques Bas-Saint-Laurent (Co-éco), partenaire de ce projet, a offert, entre autres, un accompagnement complémentaire aux organisateurs d’événements grâce à la présence d’une agente en environnement lors de certaines activités et un jeu-questionnaire de sensibilisation sur l’enjeu des bouteilles de plastique.

Selon Manon Ouellet, chargée de projets et directrice du développement des affaires : « Participer à ce projet écoresponsable et réfléchir avec les acteurs de développement indispensables à nos collectivités, que sont les SADC, allait de soi pour Co-éco. »

« La présence des unités mobiles d’eau potable a permis d’éviter 6 800 bouteilles de plastique de 500 ml et plus de 700 kg de GES lors de ces événements cette année! », mentionne avec fierté Carole Corson, chargée de projet Mobil’eau.

Le déploiement du projet se poursuivra en 2024. Les unités Mobil’eau seront mises à la disposition d’un plus grand nombre de promoteurs d’événements au Kamouraska et dans la région de Rivière-du-Loup. Les modalités de réservation seront dévoilées en début d’année 2024.

Rappelons que la mission de la SADC du Kamouraska est de stimuler le développement de son territoire d’une façon durable et innovante en accompagnant les entreprises et collectivités dans des projets permettant de maintenir et d’accroître la vitalité du milieu.

 La SADC de la MRC de Rivière-du-Loup oriente et supporte le développement et la réussite de projets entrepreneuriaux et collectifs sur son territoire, et ce, un conseil à la fois.

 

– 30 –

 

Sources :

Marie-Josée Dorval, directrice générale, SADC de la MRC de Rivière-du-Loup, 418-867-4272 poste 202, mjdorval@sadcmrcrdl.ca

Isabelle Chouinard, conseillère en développement économique, SADC du Kamouraska, 418-856-3482 poste 102,    ichouinard@sadckamouraska.com

Coordonnées de la chargée de projet : Carole Corson, 418-863-3336, ccorson@sadckamouraska.com

 

Version pdf du communiqué

 

Partenaires :

Collectivités écologiques Bas-Saint-Laurent (Co-éco)

Développement économique Canada pour les régions du Québec appuie financièrement les SADC et les CAE     

14 mai 2024 : Café- rencontre de Solidarité rurale du Kamouraska

Parlons changements climatiques : démystifier, agir et s’adapter!

  • Mardi 14 mai 2024
  • 9 h à 10 h 30
  • Au restaurant Mikes de La Pocatière (225, avenue Industrielle)

Presque tous les jours maintenant, nous sommes touchés ou exposés à des bouleversements climatiques, tels que des vagues de chaleur extrême, des pluies diluviennes ou de violentes tempêtes et cette situation suscite de nombreuses questions, autant à l’échelle mondiale que locale. Puisque les conséquences sont préoccupantes et omniprésentes, il est important de s’y attarder afin de démystifier le phénomène, identifier des pistes d’action à notre portée et voir ce qui peut être fait pour s’adapter et limiter les effets dans nos milieux.

Alors, qu’en est-il des changements climatiques au Bas-Saint-Laurent? Quels sont les impacts réels et anticipés pour notre territoire? Que peut-on faire pour s’adapter et atténuer les effets sur notre population? Y-a-t-il des initiatives, des programmes ou des projets qui ont pour objectifs de mobiliser les acteurs et d’aider les communautés?

M. Étienne Parent, agent de projets en changements climatiques au Conseil régional en environnement (CRE) du Bas-Saint-Laurent, sera le conférencier invité pour présenter les différentes initiatives régionales pilotées par son organisation, ainsi que la démarche actuelle réalisée en collaboration avec la Santé publique. Monsieur Parent présentera également quelques exemples d’actions mises en place en adaptation et en atténuation.

La rencontre se terminera par une période d’échanges avec les participants. Le comité prévoit aussi un moment à la fin pour recueillir les commentaires et les propositions quant aux prochaines thématiques à aborder.

Activité gratuite. Commandes à vos frais/à votre discrétion.

Inscription obligatoire en cliquant ICI, au plus tard le vendredi 10 mai 2024

Information : 418-492-1660 poste 236 | mcouturierdube@mrckamouraska.com

Comité organisateur :

 

NEW APPOINTMENTS AT THE RÉSEAU DES SADC ET CAE

NEW APPOINTMENTS AT THE  RÉSEAU DES SADC ET CAE 

Board of Administrators is proud to announce the appointment of Pascal Harvey as president-general director and Pierre-Olivier Colas as assistant general director. These appointments are in line with governance changes aiming to put new wind in the sails of our network and ensure its position in Quebec’s economic development ecosystem.

“I would like to congratulate Pascal and Pierre-Olivier on their new positions,” said Vallier Daigle, President of the Board of Administrators. “As the Réseau’s general director for the past three years, Pascal has been an inspiring leader, rallying both our members and our board behind him. Pierre-Olivier has also been instrumental in the Réseau’s development, particularly by implementing major programs to address a range of economic challenges, such as sustainable development and the digital shift, and by catalyzing the development of partnerships and impactful programs.”

The Réseau des SADC et CAE is a highly active organization with a solid team, which is set to grow over the next few weeks. New positions are opening up to help support both our internal objectives and the needs of our external clients, entrepreneurs and partners. We are also lucky to count on the work, knowledge and dedication of the 400 professionals and 600 volunteers who drive our efforts and our mission: to be a central player in local economic development.

Pascal Harvey: President-General Director of the Réseau des SADC et CAE

In addition to his experience as Executive Director for the SADC de Charlevoix and in strategic positions in politics, Pascal is a seasoned communicator who has deftly thrown his leadership and public speaking skills behind our network. A passionate sports buff and sports writer on his own time, he understands team dynamics and knows how to guide a team to success. 

“SADCs and CAEs exist to support the economy in Quebec regions,” said Pascal. “Our employees’ and volunteers’ collective intelligence, both at the Réseau itself and in all of our locations across Quebec, will make us ever more present and responsive to the needs of entrepreneurs and communities.”

Pierre-Olivier Colas: Assistant General Director

A rallying leader, Pierre-Olivier was a strategic planning consultant for businesses and economic development organizations for nearly 10 years before joining the Réseau in 2019. Over the past five years, he has harnessed his vast experience and strategic mind to successfully lead a great number of projects and support and mobilize SADCs and CAEs to embrace and leverage a renewed sense of vibrancy. His credentials include a master’s in management and a specialization in sustainable development.

“Over the past five years, I’ve been lucky enough to collaborate with all 67 SADCs and CAEs and work with the Réseau’s team to build powerful solutions to drive the economic vitality of our regions,” said Pierre-Olivier. “The Réseau’s potential is endless, and I am so proud to be part of it all.”

 

ABOUT THE RÉSEAU DES SADC ET CAE  

The 57 SADCs (Sociétés d’aide au développement des collectivités) and 10 CAEs (Centres d’aide aux entreprises) have been working in community economic development for more than 40 years. The Réseau des SADC et CAE is made up of more than 1,000 professionals and volunteers who support and provide funding to more than 10,000 entrepreneurs and 1,500 local economic development projects every year. SADCs and CAEs offer entrepreneurs personalized, sustained support and flexible financing products that are tailored to their needs.

SADCs and CAEs receive financial support from Canada Economic Development for Quebec Regions.

Follow the Réseau on Facebook.

INFORMATION 

Christine Pilote, Director, Communications | Phone: 581-999-6363 | cpilote@sadc-cae.ca

Les lauréats du 26e Défi OSEntreprendre MRC de Kamouraska sont maintenant dévoilés

Saint-Pascal, le 4 avril 2024 — Le 26e Gala local du Défi OSEntreprendre MRC de Kamouraska se tenait le mardi 2 avril où cinq lauréats locaux ont été honorés. Ils poursuivront leur parcours à l’échelon suivant, dont les lauréats seront annoncés au gala régional le 1er mai 2024 à Matane.

La détermination et la passion des entrepreneurs pour leur domaine d’activité ont été saluées lors de la remise des prix. En tout, des bourses totalisant 1 500 $ ont été allouées aux lauréats, afin de les soutenir dans la poursuite de leur projet entrepreneurial.

« Un parcours entrepreneurial est différent pour chacun. C’est une aventure extraordinaire qui demande du courage et de l’ambition. Nous sommes fiers de pouvoir compter sur des citoyens engagés qui par leur entreprise, dynamisent et font rayonner notre région. Le Défi OSEntreprendre MRC de Kamouraska permet de souligner leur détermination et leur désir de faire une différence. Pour la plupart, leur parcours ne fait que commencer et nous leur souhaitons tout le succès qu’ils méritent dans la poursuite de leurs projets. », déclarent d’une même voix, le préfet élu, M. Sylvain Roy et M. Olivier Lambert, président du conseil d’administration de la SADC du Kamouraska.

Lauréats du volet Création d’entreprise :

  • Pour la catégorie Innovation technologique et technique : ProMécaTech par Alexandre Duguay-Smith
  • Pour la catégorie Commerce : Fumoir de Saint-André S.E.N.C. par Grégoire Bergeron-Carrière et Léa Cloutier
  • Pour la catégorie Services aux entreprises : Le moment social inc. par Coralie Lepage et Gabrielle Desjardins
  • Pour la catégorie Services aux individus : Services CourtePointe par Corine De Repentigny

Lauréat du volet Faire affaire ensemble :

  • Boulangerie Du pain…c’est tout! par Émilie Vallières et Charles Létang

Finalistes du volet Réussite inc.

Le volet Réussite inc. fait rayonner des modèles diversifiés d’entreprises ayant déjà participé au Défi OSEntreprendre, encore en affaires après cinq ans et dont le cheminement inspire. Pour le Kamouraska, la Ferme Vigo et Créations Vitalis sont finalistes régionales.

Un partenariat gagnant

Si le Défi OSEntreprendre est devenu un incontournable pour propulser l’esprit d’entreprendre du territoire, c’est grâce à l’étroite collaboration qui perdure depuis plusieurs années entre les milieux de l’éducation et des affaires. Rappelons que la SADC du Kamouraska et la MRC de Kamouraska sont partenaires dans l’accompagnement de ces entrepreneurs et dans l’organisation de l’échelon local.

À propos du Défi OSEntreprendre

La principale activité d’OSEntreprendre, le Défi OSEntreprendre, est un grand mouvement québécois qui fait rayonner annuellement les initiatives entrepreneuriales de quelque 57 000 personnes : des jeunes du préscolaire jusqu’à l’université appuyés par leurs intervenants scolaires avec son volet Scolaire, de nouveaux entrepreneurs avec son volet Création d’entreprise, des entrepreneurs au cheminement inspirant avec son volet Réussite inc. et des modèles d’approvisionnement d’ici avec son volet Faire affaire ensemble. Il se déploie et s’enracine aux échelons local, régional et national. Pour sa mise en œuvre, plus de 300 responsables se mobilisent dans les 17 régions du Québec afin de mettre en lumière les projets issus de leur milieu.

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Crédit photo : Jean-François Lajoie

Vignette photo : Les lauréats locaux du 26e Défi OSEntreprendre MRC de Kamouraska

De gauche à droite;

Derrière :

  • M. Olivier Lambert, président du conseil d’administration de la SADC du Kamouraska
  • Mme Gabrielle Desjardins, de Le moment social inc.
  • M. Grégoire Bergeron-Carrière de Fumoir de Saint-André
  • M. Sylvain Roy, préfet élu de la MRC de Kamouraska

Devant :

  • Mme Anik Briand, directrice générale de la SADC du Kamouraska
  • Mme Corine De Repentigny, de Services CourtePointe
  • Mme Coralie Lepage, de Le moment social inc. 
  • Mme Léa Cloutier, de Fumoir de Saint-André
  • M. Alexandre Duguay-Smith, de ProMécaTech
  • Mme Émilie Vallières et M. Charles Létang de la Boulangerie Du pain…c’est tout!
  • M. Charles De Blois Martin, directeur du Service de développement territorial à la MRC de Kamouraska

APPOINTMENT NOTICE

 

SADC Vallée-de-la-Gatineau is pleased to welcome Mr. Anas Elkandoussi to its team as Business Advisor.  His solid training in finance, management control and information systems will enable him to effectively support businesses in the Gatineau Valley territory.

All members of SADC’s permanent staff and Board of Directors wish him a warm welcome and every success in his new role.

AVIS DE NOMINATION

AVIS DE NOMINATION

 

La SADC Vallée-de-la-Gatineau est heureuse d’accueillir dans son équipe M. Anas Elkandoussi à titre de conseiller aux entreprises.  Sa solide formation en finance et contrôle de gestion et systèmes d’information lui permettra d’appuyer efficacement les entreprises du territoire de la Vallée-de-la-Gatineau.

Tous les membres des permanents et du conseil d’administration de la SADC lui souhaitent la bienvenue et du succès dans ses nouvelles fonctions.

Lancement de la 26e édition du Défi OSEntreprendre Outaouais

La SADC de Papineau-Collines donne le coup d’envoi de la 26e édition de la compétition entrepreneuriale

La SADC de Papineau-Collines donne le coup d’envoi de la 26e édition du Défi OSEntreprendre Outaouais

 

Gatineau, le 7 décembre 2023 – L’équipe de la SADC de Papineau-Collines est ravie d’annoncer le lancement de la 26e édition du Défi OSEntreprendre Outaouais. En dirigeant le volet régional de cette grande compétition entrepreneuriale québécoise, nous sommes fiers de faire rayonner des jeunes et des entrepreneurs passionnés et audacieux, qui animent quotidiennement l’esprit entrepreneurial dans notre région. Les gens de l’Outaouais ont jusqu’au 14 mars, 16 h pour déposer leur candidature au Défi OSEntreprendre.

 

Le Rond-Point- Milieu de jeux : Un trio dynamique à la présidence d’honneur

Pour cette 26e édition, Majorie Marcotte, Caroline Labelle et Myriam Campeau, les trois entrepreneures déterminées du Rond-Point-Milieu de jeux, ont accepté avec joie la coprésidence d’honneur. Lauréates nationales du volet Création d’entreprise l’année dernière, elles considèrent le Défi OSEntreprendre comme plus qu’un simple concours. Il représente une plateforme exceptionnelle pour les jeunes et les entrepreneurs en devenir, offrant une occasion de présenter leurs idées novatrices et de bénéficier d’un soutien important via des bourses et de la visibilité.

« Nous sommes extrêmement fières d’accepter ce défi pour inspirer et mobiliser la prochaine génération d’entrepreneurs », partagent les coprésidentes. « Ayant nous-mêmes participé au Défi OSEntreprendre récemment, nous savons l’importance de son impact. Il a été un jalon clé dans notre parcours, offrant un soutien financier et une visibilité accrue pour notre entreprise, ainsi que la chance de nouer des liens avec d’autres entrepreneurs partageant nos préoccupations. Nous encourageons vivement les milieux scolaires et tous les entrepreneurs en phase de création à soumettre leur candidature ! »

 

Le compte à rebours est commencé!

Les élèves, étudiants, intervenants scolaires et entrepreneurs sont invités à s’inscrire d’ici le 12 mars 2024, 16 h. Tous les critères d’admissibilité, ainsi que la liste des catégories et des prix spéciaux, sont accessibles en ligne sur osentreprendre.quebec. Une activité de remise de prix couronnera les lauréats à l’échelon régional, le 1er mai prochain.

 

À propos du Défi OSEntreprendre

Le Défi OSEntreprendre est un grand mouvement québécois qui fait rayonner les initiatives entrepreneuriales de plus de 57 000 personnes annuellement : des jeunes du préscolaire jusqu’à l’université appuyés par leurs intervenants scolaires ainsi que des entrepreneurs. Il se déploie et s’enracine aux échelons local, régional et national. Pour sa mise en œuvre, plus de 300 responsables se mobilisent dans les 17 régions du Québec afin de mettre en lumière les projets issus de leur milieu.

OCCASION D’AFFAIRES Banque de consultants

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Travailleurs autonomes | Professionnels | Petites entreprises

Devenir un partenaire d’affaires stratégique de la

SADC Vallée-de-la-Gatineau vous intéresse ?

Nous cherchons présentement à constituer une banque de consultants externes, experts de divers domaines, prêts à travailler avec nous dans le cadre de mandats ponctuels.


TYPES D’EXPERTISES RECHERCHÉES :

  • Gestion de projet
  • Communications
  • Marketing
  • Développement des affaires
  • Analyse financière
  • Soutien administratif

 

CETTE RELATION D’AFFAIRES VOUS INTÉRESSE ?

Faites-nous parvenir, par courriel, à info@sadc-vg.ca:

OCCASION DE DÉFI PROFESSIONNEL

Conseiller·ère

aux entreprises et en développement économique

En tant que conseiller·ère, tu rencontres les promoteurs pour les soutenir dans le développement de leur projet d’affaires, tant sur le plan technique que financier. Tu participes également aux projets de développement économique pilotés par la SADC Vallée-de-la-Gatineau et ses partenaires.

Notre conseillère actuelle prend sa retraite et nous cherchons à passer le flambeau à une nouvelle personne, avec une transition sur plusieurs mois afin de bien intégrer et accompagner notre nouveau·elle collègue.

On cherche quelqu’un qui a une vision et qui se passionne pour le développement de la MRC, qui aime le travail d’équipe, et qui veut mettre ses connaissances et talents au profit des entrepreneurs de chez nous!

 

Depuis plus de 40 ans, la SADCVG, c’est : 

  •  Un organisme ancré au cœur du développement de sa communauté De la concertation et du partenariat
  • Un accompagnement personnalisé pour les entrepreneurs
  • Du financement et des programmes sur mesure
  • Une expertise en matière d’innovation et de changement
  • Un milieu de travail riche et propice au développement de ta carrière 

La SADC, c’est aussi des conditions de travail de rêve : 

  • Salaire selon la politique en vigueur
  • Base de travail de 35 heures par semaine avec flexibilité d’horaire
  • Mode de travail hybride
  • Entre 4 et 6 semaines de vacances selon l’ancienneté 
  • 14 jours fériés
  • 10 congés maladie + 5 congés conciliation travail-vie personnelle
  • Assurance collective payée à 50 % par l’employeur 
  • Régime de retraite

Ça t’intéresse? On veut te connaître!

Fais parvenir ton CV accompagné d’une lettre de motivation à info@seguindaoust.com. 


Les 4 grands « R » de ton nouveau défi
(« R » pour « responsabilités »!) 

R1 : SAVOIRS-ÊTRE 

  • Esprit d’analyse critique et aptitude à la
    communication
  • Honnêteté et intégrité
  • Doigté et discrétion
  • Proactivité, créativité et innovation
  • Orientation client
  • Persévérance et adaptabilité

R3 : PROJET DE FINANCEMENT

  • Participer à la saine gestion des portefeuilles
  • Analyser les dossiers pour en établir la faisabilité technique et financière, et en démontrer la rentabilité et la viabilité
  • S’assurer de la préparation des documents et suivis nécessaires (faire signer les documents, faire les demandes d’analyse de crédit, rédiger l’autorisation de financement, préparer les documents légaux, etc.)
  • Présenter le dossier à la direction, ensuite au comité d’investissement
  • Effectuer le suivi avec les promoteurs Prendre les mesures nécessaires si le prêt est en défaut

R2 : AIDE TECHNIQUE ET SERVICE-CONSEIL 

  • Rencontrer les clients (promoteurs) et déterminer avec eux les différents services de la SADC qui peuvent les aider
  • Qualifier les promoteurs et leur projet, évaluer leurs besoins, les conseiller puis les accompagner dans la réalisation de leur projet
  • Élaborer ou analyser les prévisions financières 
  • Cibler les différentes ressources utiles aux promoteurs (partenaires financiers, experts sectoriels, etc.) et établir le lien d’affaires
  • Effectuer une veille stratégique pour les entreprises et diffuser l’information

R4 : DÉVELOPPEMENT LOCAL 

  • Rester à l’affut d’occasions de développement pour la région
  • Développer et maintenir des partenariats avec les différents intervenants locaux
  • Travailler en collaboration avec divers partenaires et participer à la mise en place des projets de développement économique de la région et d’initiatives de la SADCVG
  • Représenter l’organisme dans différents évènements et activités

Exigences spécifiques de l’emploi

FORMATION ET EXPÉRIENCE 

  • Baccalauréat en administration des affaires (option finance ou comptabilité, ou l’équivalent)
  • Expérience en financement d’entreprises, un atout

CONNAISSANCES ET APTITUDES 

  • Maîtrise des principaux logiciels informatiques nécessaires au travail de bureau et aisance avec les nouvelles technologies
  • Bonne capacité à communiquer verbalement et maîtrise du français écrit (anglais, un atout) Bonne connaissance du milieu de la MRC de la Vallée-de-la-Gatineau, un atout
  • Permis de conduire valide et voiture

Offre d’emploi : Conseiller.ère en commerce électronique

Offre emploi étudiants numérique

La recherche permanente d’alternatives pour contribuer au développement économique et social du Québec a mobilisé la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) et le Réseau des Sociétés d’aide au développement des collectivités et les Centres d’aide aux entreprises (SADC+CAE) pour soutenir des activités qui facilitent l’adoption de la technologie numérique par les petites entreprises du Québec et qui offrent des possibilités d’emploi et de formation aux jeunes et finissants.
Pour contribuer à la mise en place de ce nouveau projet, nous recherchons des étudiants et nouveaux diplômés partout au Québec faisant preuve d’une grande proactivité, d’un sens aigu de l’amélioration continue et d’une capacité enviable de travail en équipe pour assumer le rôle de conseiller.ère en commerce électronique.

Une opportunité à ne pas manquer pour développer et mettre en oeuvre vos compétences
Cette expérience vous permettra de recevoir de la formation, notamment pour :

• Vous familiariser avec les diverses solutions de commerce électronique et les outils connexes.
• Comprendre les fondements de la cybersécurité.
• Comprendre la subvention « Développez vos activités commerciales en ligne ».
• Développer vos compétences en communication persuasive verbale.
• Faire preuve d’autonomie et de dynamisme.
• Mettre en oeuvre votre sens d’analyse et de synthèse.
• Renforcer votre sens de l’organisation ainsi que d’établir vos priorités et en soulever les enjeux.

Exigences spécifiques à l’emploi :


• Avoir obtenu un diplôme d’études secondaires et prévoir poursuivre ses études au niveau postsecondaire.
• Être présentement inscrit à un programme d’études postsecondaires ou avoir récemment obtenu un diplôme d’études postsecondaires.
• Avoir une connaissance de la réalité des employeurs québécois serait un atout.

Rôle et responsabilités


En tant que conseiller.ère, le ou la candidat.e idéal.e devra offrir son expertise afin de soutenir les entreprises du Québec, notamment les PME, dans l’identification de leurs enjeux en matière de commerce électronique et des ressources humaines. Il ou elle participera à l’analyse des besoins des entreprises à l’aide d’un diagnostic et facilitera la participation de ces dernières au Programme canadien d’adoption du numérique (PCAN) et aux différents projets en fonction de leurs besoins.

Sommaire des tâches :

• Réaliser le démarchage des entreprises afin de les mobiliser à participer dans le Programme canadien d’adoption du numérique (PCAN).
• Faciliter la réalisation d’un diagnostic, afin d’identifier les enjeux des PME en matière de commerce électronique et de main-d’oeuvre.
• Contribuer à l’analyse des besoins des entreprises et à l’identification des programmes et projets en cohérence avec les besoins identifiés.
• Faciliter la mise en relation des entreprises avec les différents programmes et les prestataires de service régionaux pouvant subvenir à leurs besoins.
• Faciliter l’obtention de la subvention « Développez vos activités commerciales en ligne ».
• Toute autre tâche connexe.
Conditions de travail et avantages :
• Travail à temps plein ou temps partiel.
• Possibilité de rencontrer des entreprises en présentiel ou en virtuel.
• Contrat de travail.
• Rémunération globale compétitive (congés de maladie, horaire d’été, etc.).
• Environnement de travail dynamique offrant de nombreux défis et occasions d’apprentissage.

Comment postuler ?

Veuillez nous faire parvenir votre curriculum vitae à l’adresse suivante :
rh@pcan-quebec.ca

Seules les personnes dont la candidature est retenue seront contactées.

Flexipreneures inspirantes: la force de la famille

Lysandre a grandi aux Iles. En 2020, en pleine pandémie, Lysandre et son conjoint ainsi que sa sœur Sandrine acquièrent Conrad Miousse & Fils, un commerce implanté aux Iles depuis 60 ans. Rebaptisé Meubles & Moi, l’entreprise ouvre en pleine pandémie. «L’opportunité s’est présentée à nous. J’étais en plein congé de maternité mais je n’ai pas voulu laisser passer cette chance», précise Lysandre qui est aussi inhalothérapeute pour le CIUSSS des Iles. «J’adore mon métier, mais j’ai aussi la fibre entrepreneuriale. Dans le meilleur des mondes, j’aimerais continuer de combiner les deux.»

ENTREPRISE : MEUBLES & MOI
Où :  Iles de la Madeleine
Qui : Lysandre et Sandrine Chiasson, et Maxime Leblanc
Quoi : Vente au détail de grandes marques: meubles, matelas, électroménagers et accessoires de décor.

Lysandre est reconnaissante de pouvoir travailler avec sa famille. «Même nos parents donnent un coup de main au magasin.» À son retour de congé de maternité, l’entrepreneuriat offrira à Lysandre la flexibilité nécessaire pour jouer son rôle de maman. «Le télétravail, c’est génial.»

Pour maximiser les chances de succès, la SADC des Iles-de-la-Madeleine a supporté financièrement les jeunes associés afin de bonifier et de diversifier leur inventaire lors de l’ouverture. La SADC leur offre aussi le soutien d’un mentor. «Avec lui, on veut se dépasser, réfléchir, trouver des pistes de solution. C’est vraiment génial d’être encadrés par des gens d’expérience», se réjouit Lysandre.

www.facebook.com/meublesetmoiauxiles 


À PROPOS DU RÉSEAU SADC ET CAE

Les SADC et CAE, ce sont plus de 400 professionnels et au-delà de 1000 bénévoles qui travaillent depuis 40 ans au développement économique des régions du Québec. Leur mission ? Soutenir des projets et des entreprises innovantes pour des collectivités prospères. Pour le Réseau dont la force est la proximité avec le milieu et une présence assidue sur le terrain, l’entrepreneuriat féminin est aussi une priorité. Développement économique Canada appui financièrement les SADC et CAE.

Flexipreneure, c’est le terme créé par la SADC Shawinigan pour parler des femmes entrepreneures qui, souvent, cumulent la gestion de leur entreprise avec un autre emploi, des études ou de l’aide à un proche. Afin d’améliorer l’accompagnement qui leur est offert, la SADC Shawinigan a lancé l’initiative Entreprendre au féminin autrement, financée par le ministère Femmes et Égalité des genres Canada. Entre 2018 et 2021, plusieurs projets-pilotes ont ainsi rejoint un grand nombre de flexipreneures de toutes les régions du Québec.

Flexipreneures inspirantes: la passion avant tout

Jade est une leader née. Petite, elle aide déjà à l’organisation de tous les partys de famille. Très jeune, elle sait ce qu’elle veut. Elle monte sur scène pour la première fois à 5 ans. «Faire ce que j’aime est la seule chose qui m’intéresse». Passionnée, elle fonde sa propre entreprise de gestion d’évènements et de production de spectacles à 18 ans. «J’en ai 28 aujourd’hui et je peux dire que c’est plus qu’une passion, c’est ma vie», affirme la jeune femme diplômée de l’École du showbusiness.

ENTREPRISE :  PRODUCTIONS JADOR
Où : Saint-Jean-sur-Richelieu
Qui : Jade Marcoux 
Quoi : Gérance artistique/organisation d’évènements/production de spectacles.

Depuis peu, elle fait aussi de la gérance d’artistes. «Je suis aussi chanteuse. C’est un atout pour comprendre la réalité des artistes.» En parallèle, Jade a longtemps occupé divers emplois dont plusieurs comme pigiste. Actuellement en congé de maternité – elle a deux enfants – elle a pris la décision de se consacrer à 100% à son entreprise. 

Sa participation au Comité administratif de l’aile jeunesse de la Chambre de Commerce du Haut-Richelieu l’a convaincue. «La Cohorte de soutien de la Chambre est parrainée par le CAE Haute-Montérégie. Grâce à eux, j’ai pu bénéficier d’un mentor et suivre diverses formations.» Plus solide que jamais, la voilà prête à passer de flexipreneure à entrepreneure à part entière.

www.productionsjador.com 


À PROPOS DU RÉSEAU SADC ET CAE

Les SADC et CAE, ce sont plus de 400 professionnels et au-delà de 1000 bénévoles qui travaillent depuis 40 ans au développement économique des régions du Québec. Leur mission ? Soutenir des projets et des entreprises innovantes pour des collectivités prospères. Pour le Réseau dont la force est la proximité avec le milieu et une présence assidue sur le terrain, l’entrepreneuriat féminin est aussi une priorité. Développement économique Canada appui financièrement les SADC et CAE.

Flexipreneure, c’est le terme créé par la SADC Shawinigan pour parler des femmes entrepreneures qui, souvent, cumulent la gestion de leur entreprise avec un autre emploi, des études ou de l’aide à un proche. Afin d’améliorer l’accompagnement qui leur est offert, la SADC Shawinigan a lancé l’initiative Entreprendre au féminin autrement, financée par le ministère Femmes et Égalité des genres Canada. Entre 2018 et 2021, plusieurs projets-pilotes ont ainsi rejoint un grand nombre de flexipreneures de toutes les régions du Québec.

Flexipreneures inspirantes: à la santé des moms

Kathryne est kinésiologue certifiée en périnatalité. Au printemps 2020, dès le début de la pandémie, la clinique où elle travaille ferme ses portes. «L’idée de Momki Bouge, je l’avais depuis 2018. Je me suis lancée.» Offerts alors exclusivement en mode virtuel, ses services connaissent vite du succès.

ENTREPRISE : MOMKI BOUGE
Où : Trois-Rivières
Qui : Kathryne Gervais
Quoi : Service de mise en forme pour mamans, pré et postnatal.

Aujourd’hui, Kathryne peut également offrir ses services en présentiel. «J’adore prendre soin de mes moms. Je les trouve hot de se déplacer avec leur bedaine, d’autres avec leurs bébés, pour assister à mes entrainements dans le but de se remettre en forme», s’enflamme Kathryne, elle-même maman de deux enfants. Maître de l’organisation, elle réussit à combiner ces activités avec un emploi à temps partiel comme kinésiologue en oncologie.

 
Kathryne Gervais 

En mars 2021, vu son statut de temps partiel, elle hésite à participer Défi OSEntreprendre en Mauricie. Elle pose malgré sa candidature et se retrouve finaliste du Prix spécial Flexipreneur.e dans le cadre d’un projet pilote de la SADC Shawinigan mettant en valeur cette nouvelle forme d’entrepreneuriat dans laquelle elle se reconnait davantage. Sa participation au Défi lui permettra d’avoir accès gratuitement à une formation en gestion d’entreprise et à un mentor durant un an.

Depuis septembre, Kathryne se consacre entièrement à son entreprise. À ce jour, plus de 200 femmes sont devenues des moms qui bougent. «Je viens de développer un cours innovateur pour les 50 ans et plus. À la ménopause, la santé pelvienne est aussi importante qu’après un accouchement.»

www.momkibouge.com



À PROPOS DU RÉSEAU SADC ET CAE

Les SADC et CAE, ce sont plus de 400 professionnels et au-delà de 1000 bénévoles qui travaillent depuis 40 ans au développement économique des régions du Québec. Leur mission ? Soutenir des projets et des entreprises innovantes pour des collectivités prospères. Pour le Réseau dont la force est la proximité avec le milieu et une présence assidue sur le terrain, l’entrepreneuriat féminin est aussi une priorité. Développement économique Canada appui financièrement les SADC et CAE.

Flexipreneure, c’est le terme créé par la SADC Shawinigan pour parler des femmes entrepreneures qui, souvent, cumulent la gestion de leur entreprise avec un autre emploi, des études ou de l’aide à un proche. Afin d’améliorer l’accompagnement qui leur est offert, la SADC Shawinigan a lancé l’initiative Entreprendre au féminin autrement, financée par le ministère Femmes et Égalité des genres Canada. Entre 2018 et 2021, plusieurs projets-pilotes ont ainsi rejoint un grand nombre de flexipreneures de toutes les régions du Québec.

Flexipreneures inspirantes: encore plus de branches à leur arc

Sarah est cinéaste et réalisatrice de métier. En 2020, dès le début de la pandémie, elle perd tous ses contrats. «J’ai vu ça comme une opportunité de lancer la petite entreprise dont je rêvais depuis longtemps», se souvient la jeune femme qui en moins de deux, écrit son plan d’affaires. «En un mois, on avait trouvé le financement.»

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Flexipreneures inspirantes: quand le plaisir est essentiel

Elles sont sœurs, amies, et mamans. À elles deux, elles ont six enfants. Adeptes de slow living, elles désirent pouvoir s’accorder du temps pour soi et la famille. En 2017, elles font pourtant le saut en entrepreneuriat. Leur souhait? Encourager une consommation plus respectueuse de la nature. Pour elles, les huiles essentielles et leurs dérivés produits – savons moussants, baumes à lèvres, bougies et parfums d’ambiance – se sont imposés comme un naturel.

                                                               

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OCEAN-CAM, un accompagnement qui mène loin

 

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Meg-Guy Rembourre: la fée de Péribonka

Elle a des doigts de fée et une conscience environnementale qui a du ressort. Après un changement de carrière pour le moins insolite qui l’amène du journalisme au rembourrage, Meghann Dionne est fière de perpétuer un savoir-faire qui se perd en donnant une seconde vie à ce qui prend de l’âge.

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AIDE AUX JEUNES ENTREPRENEURS : LA FERME PLEINE LUNE, DES GENS DE CULTURE

 

http://www.fermepleinelune.ca/

Un portrait des jeunes entrepreneurs du Québec

 

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ENTREPRISE INNOVANTE : NEUROFEEDBACK

Une entreprise innovante en Estrie qui gagne à être connue ! Découvrez Valérie Martel, du Centre santé Martel qui offre le service de neurofeedback. / Chronique de Janick Actil 16 juin 2017.

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Capital Réseau

OUR FINANCIAL VEHICLE

TO BETTER MEET THE NEEDS OF COMMUNITIES

Capital Réseau is a financial vehicle that SADCs and CAEs created to pool the liquid assets in order to allow continual access to capital to better meet the needs of their areas. Its assets total close to $75 million.

Thanks to Capital Réseau and the financial contributions of Canada Economic Development for Quebec Regions (CED):

  • In more difficult economic periods, SADCs and CAEs have been able to give their clients access to working capital through the Business Support Fund, which has helped 151 businesses to date.
  • The Fund for Succession and Business Start-Ups was created in order to bring more venture capital into the regions of Quebec. Thanks to this fund, $23 million in capital has been loaned to 83 businesses in start-up or recovery phases. The fund also allowed for the completion of financing for venture capital companies.

Board of Administrators

  • Raymond Cimon, President, SADC de L’Amiante
  • Réal Turgeon, Vice-President, SADC de Lotbinière
  • Jean-Claude Larocque, Treasurer, SADC de la Neigette
  • Nathalie Dallaire, Secretary, SADC Antoine-Labelle
  • Gilles Goulet, Administrator, SADC de la MRC de Rivière-du- Loup

OUR ANNUALS REPORTS

NEW APPOINTMENTS AT THE RÉSEAU DES SADC ET CAE

NEW APPOINTMENTS AT THE  RÉSEAU DES SADC ET CAE 

Board of Administrators is proud to announce the appointment of Pascal Harvey as president-general director and Pierre-Olivier Colas as assistant general director. These appointments are in line with governance changes aiming to put new wind in the sails of our network and ensure its position in Quebec’s economic development ecosystem.

“I would like to congratulate Pascal and Pierre-Olivier on their new positions,” said Vallier Daigle, President of the Board of Administrators. “As the Réseau’s general director for the past three years, Pascal has been an inspiring leader, rallying both our members and our board behind him. Pierre-Olivier has also been instrumental in the Réseau’s development, particularly by implementing major programs to address a range of economic challenges, such as sustainable development and the digital shift, and by catalyzing the development of partnerships and impactful programs.”

The Réseau des SADC et CAE is a highly active organization with a solid team, which is set to grow over the next few weeks. New positions are opening up to help support both our internal objectives and the needs of our external clients, entrepreneurs and partners. We are also lucky to count on the work, knowledge and dedication of the 400 professionals and 600 volunteers who drive our efforts and our mission: to be a central player in local economic development.

Pascal Harvey: President-General Director of the Réseau des SADC et CAE

In addition to his experience as Executive Director for the SADC de Charlevoix and in strategic positions in politics, Pascal is a seasoned communicator who has deftly thrown his leadership and public speaking skills behind our network. A passionate sports buff and sports writer on his own time, he understands team dynamics and knows how to guide a team to success. 

“SADCs and CAEs exist to support the economy in Quebec regions,” said Pascal. “Our employees’ and volunteers’ collective intelligence, both at the Réseau itself and in all of our locations across Quebec, will make us ever more present and responsive to the needs of entrepreneurs and communities.”

Pierre-Olivier Colas: Assistant General Director

A rallying leader, Pierre-Olivier was a strategic planning consultant for businesses and economic development organizations for nearly 10 years before joining the Réseau in 2019. Over the past five years, he has harnessed his vast experience and strategic mind to successfully lead a great number of projects and support and mobilize SADCs and CAEs to embrace and leverage a renewed sense of vibrancy. His credentials include a master’s in management and a specialization in sustainable development.

“Over the past five years, I’ve been lucky enough to collaborate with all 67 SADCs and CAEs and work with the Réseau’s team to build powerful solutions to drive the economic vitality of our regions,” said Pierre-Olivier. “The Réseau’s potential is endless, and I am so proud to be part of it all.”

 

ABOUT THE RÉSEAU DES SADC ET CAE  

The 57 SADCs (Sociétés d’aide au développement des collectivités) and 10 CAEs (Centres d’aide aux entreprises) have been working in community economic development for more than 40 years. The Réseau des SADC et CAE is made up of more than 1,000 professionals and volunteers who support and provide funding to more than 10,000 entrepreneurs and 1,500 local economic development projects every year. SADCs and CAEs offer entrepreneurs personalized, sustained support and flexible financing products that are tailored to their needs.

SADCs and CAEs receive financial support from Canada Economic Development for Quebec Regions.

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INFORMATION 

Christine Pilote, Director, Communications | Phone: 581-999-6363 | cpilote@sadc-cae.ca

LOCAL ECONOMIC DEVELOPMENT: Government of Canada invests $245 million in renewal of commitment to SADCs and CAEs

LOCAL ECONOMIC DEVELOPMENT: Government of Canada invests $245 million in renewal of commitment to SADCs and CAEs

At its annual congress, the Réseau des SADC et CAE joined the Honourable Soraya Martinez Ferrada, Minister of Tourism and Minister responsible for Canada Economic Development for Quebec Regions (CED) in announcing new five-year funding agreements concluded between CED, the Réseau and Quebec’s 67 SADCs (sociétés d’aide au développement des collectivités) and CAEs (centres d’aide aux entreprises).

These investments, totalling $245 million, will ensure that our organizations can continue to operate and to equitably deliver the main business lines of the SADCs and CAEs (local economic development and support and funding for entrepreneurs) throughout rural and semi-urban Quebec. The SADCs and CAEs will also be able to strengthen their work at the local level and enhance their efforts to address the economic issues that entrepreneurs are currently facing.

“Quebec’s regions are dealing with their own particular economic challenges, and the SADCs and CAEs are here to help them rise to meet those challenges,” said Pascal Harvey, President and General Director of the Réseau des SADC et CAE. “We have great ambitions for our regions. With our main business partner, Canada Economic Development for Quebec Regions, and in collaboration with local partners, we will continue to drive collective and business projects forward to success.”

 

Targeted investment to address issues facing entrepreneurs

This new agreement with the Government of Canada will enable SADCs and CAEs to create new financial products to help entrepreneurs tackle their priority economic issues, such as the digital and green transition and various aspects of business transfers and youth entrepreneurship.

 

Funding to strengthen our local efforts and draw on the Réseau’s vast network of national expertise

Each SADC and CAE will have access to $335,000 in additional funding to support its work in local economic development and technical support for entrepreneurs. The Réseau will receive an envelope as well, so it can strengthen its advisory role and provide more services to the 67 SADCs and CAEs, including by hiring new shared resources and providing increased support for optimizing business processes.

“SADCs and CAEs make a real difference in our communities and our businesses, all across Quebec,” said the Honourable Soraya Martinez Ferrada, Minister of Tourism and Minister responsible for CED. “For 29 years now, CED has been proud to be able to count on the Réseau and its members as true key partners in achieving prosperity in our regions and their businesses. Bravo to the professionals and volunteers in your organizations who are such attentive stewards of Quebec’s entrepreneurial ecosystem.”

Overall, these new agreements will enable SADCs and CAEs to carry out their missions close to home while drawing on the expertise of the Réseau’s vast network to assist their local communities and entrepreneurs. Their efforts are skilled, personalized and people-focused, and they make a real difference to the development, the success and ultimately the survival of businesses. Just ask Pascale St-Amand, owner of Crèmerie du Potager in Rivière-du-Loup: “I got funding from the SADC, but more importantly, I got supportive guidance I could count on. I was impressed by my advisor, Sylvie, and her ability to look at the big picture. She helped me find a huge range of potential solutions for my business project.”

 

Some SADC and CAE impacts on Quebec’s economy

Investing in SADCs and CAEs pays off! According to an Aviseo Conseil study, between 2019 and 2023, SADCs and CAEs increased Quebec’s real GDP by $458 million. Of that total, $85 million came from our loan investments and $273 million was generated by the improved five-year survival rate of companies supported by SADCs and CAEs. A Statistics Canada study found that the five‑year survival rate for SADC and CAE clients was more than double that of other businesses.

 

About the Réseau des SADC et CAE

The Réseau des SADC et CAE is a network of 57 SADCs (sociétés d’aide au développement des collectivités) and 10 CAEs (centres d’aide aux entreprises) that have been working in community economic development for more than 35 years. More than 1,000 professionals and volunteers support and provide funding to more than 10,000 entrepreneurs and 1,000 local economic development projects every year.  www.sadc-cae.ca

 

Community Futures Program (CFP)

This Canada-wide program supports local economic development and strengthens communities’ capacity to sustainably achieve their full potential. Its main objectives are:

  • Stability, economic growth and job creation
  • Diversified, competitive local economies in rural areas
  • Developing sustainable communities

For this program, CED provides financial support to the SADCs and CAEs that are working in community development in Quebec’s regions.

 

INFORMATION 

Christine Pilote, Director, Communications | Phone: 581-999-6363 | cpilote@sadc-cae.ca

Assemblée Général Annuelle

Le 28 mai 2024 se tenait l’Assemblée Générale Annuelle de la SADC-Vallée-de-la-Gatineau.  La trentaine de personnes présentes à cette rencontre ont pu constater les résultats plus que probent de la Société au cours de l’année 2023-2024.  En effet, sur cette période, tout près de 1,2M$ ont été investis dans les entreprise du territoire entraînant ainsi des investissements totaux générés de plus de 2,6M$.  Pour la période de 5 ans, se terminant au 31 mars 2024, les investissements totaux générés sont de l’ordre de près de 13M$ pour des investissement d’un plus de 6,3M$.

Tous les détails sont disponibles ici  Rapport annuel 2023-2024- SADC